Eric Verhaeghe a consacré un article, il y a quelques jours aux liaisons dangereuses des Winsor avec le nazisme. Aujourd'hui, nous aimerions souligner l'implication du nouveau roi d'Angleterre dans le pire de l'ordre progressiste occidental. Charles III est un des piliers de la diffusion du Great Reset. Un engagement idéologique qui est en même temps très lucratif. Et qui, conjugué à la russophobie fanatique du Premier ministre Elisabeth Truss, constitue une menace sur la souveraineté britannique plus redoutable que l'appartenance à l'Union Européenne naguère.
#TheGreatReset initiative is designed to ensure businesses and communities ‘build back better’ by putting sustainable business practices at the heart of their operations as they begin to recover from the coronavirus pandemic.
🎥Watch to find out more.@wef pic.twitter.com/io9sa7LTDL— Clarence House (@ClarenceHouse) June 3, 2020
« C’est le moment favorable » (Charles, prince de Galles, le 3 juin 3020)
Sur le site inernet du Prince Charles – aujourd’hui roi d’Angleterre – on lisait le 3 juin 2020 : « Aujourd’hui, par le biais de l’initiative des marchés durables de Son Altesse Royale et du Forum économique mondial, le prince de Galles a lancé une nouvelle initiative mondiale, The Great Reset« . Effectivement, une vidéo en témoigne, qui vaut son pesant de drôlerie, puisqu’on y voit le Prince de Galles – aujourd’hui roi d’Angleterre – prend la parole ce jour-là devant un magnifique paravent de style japonais.
« Nous n’avons pas d’autre choix, car si nous ne prenons pas les mesures nécessaires et ne reconstruisons pas d’une manière plus verte, plus durable et plus inclusive, nous finirons par avoir [plus] de pandémies et [plus] de catastrophes qui accéléreront le réchauffement de la planète et le changement climatique« , déclarait Charles, reprenant le refrain du WEF selon lequel des interventions mondiales majeures dans les pratiques commerciales et les habitudes de consommation sont nécessaires pour éviter une « catastrophe imminente« .
Un tweet princier du 3 juin 2020 disait : « L’initiative #TheGreatReset est conçue pour garantir que les entreprises et les communautés « reconstruisent mieux » en plaçant les pratiques commerciales durables au cœur de leurs opérations alors qu’elles commencent à se remettre de la pandémie de coronavirus« .
Un des promoteurs les plus actifs du Great Reset
Le média britannique winter oak commentait il y a quelques mois: « Cela peut surprendre ceux qui voient en Charles un personnage maladroit mais affable, qui parle à ses plantes, aime l’architecture traditionnelle, protège la nature et essaie d’aider les jeunes à s’en sortir dans la vie. (…)
Charles a été très actif au cours des 50 dernières années environ, établissant une alliance d’organisations appelée The Prince’s Charities, qui se décrit elle-même comme « la plus grande entreprise caritative multi-cause du Royaume-Uni ».
Ces organisations se sont également étendues à l’étranger pour créer un réseau mondial déconcertant de trusts, de fondations et de fonds.
Pour simplifier les choses, nous nous concentrerons ici sur quelques-unes des organisations les plus connues, en commençant au Royaume-Uni par Business in the Community.
Cet organisme se décrit comme « la plus grande et la plus ancienne organisation de membres dirigée par des entreprises et dédiée à l’entreprise responsable », ayant été initialement créée en 1982 sous le nom de The Prince’s Responsible Business Network.
Son programme est tout à fait conforme à tous les éléments clés de la Grande Réinitialisation.
Il déclare, par exemple, que « Business in the Community (BITC) travaille avec les entreprises pour accélérer le rythme et l’ampleur des actions visant à atteindre les objectifs mondiaux des Nations unies, également connus sous le nom d’objectifs de développement durable (ODD) ». »
Et les auteurs de l’enquête d’ajouter, ironiquement: « La bonne nouvelle pour l’entourage de Charles qui aime l’argent, c’est que « gérer leurs entreprises de manière responsable » en accord avec les ODD de l’ONU « ouvre également des opportunités de marché pour les entreprises« ».
Business et Idéologie – les deux faces d’une même monnaie
Business et idéologie sont les deux faces d’une même monnaie: « Business in the Community se targue d’avoir son propre « Future Leaders Board » à la manière du WEF et, en 2017, insistait déjà, comme Klaus Schwab, sur le fait que « les entreprises doivent assurer une révolution numérique inclusive ».
Son rapport intitulé « A Brave New World ? » reprend toutes les « priorités » familières de la Grande Réinitialisation, telles que l’inclusivité (« Construire l’accès, les capacités et la confiance numériques pour permettre à tous de bénéficier de l’économie numérique ») et l’apprentissage tout au long de la vie (« Préparer les employés. Fournir des compétences numériques et un apprentissage tout au long de la vie pour créer une main-d’œuvre adaptable »).
Elle se projette dans une quatrième révolution industrielle (« Anticiper l’automatisation. Créer de nouveaux rôles, où la technologie complète l’homme, et aider les communautés à gérer la transition »), l’objectif étant naturellement d’accroître les marges bénéficiaires (« Passer à de nouveaux modèles d’entreprise qui réduisent le gaspillage et augmentent la productivité des actifs »).
L’expression « track and trace » (suivi et traçage), devenue si familière pendant les lockdowns (« Track, trace and resolve »), est mentionnée dès le début du rapport (…)
Le rapport promeut l’agriculture intelligente sous la forme de la plateforme éducative mobile Marcatus d’Unilever, « une collaboration entre Unilever, Oxfam et la Fondation Ford pour former les petits exploitants agricoles dans les zones rurales » qui vise « des revenus agricoles supplémentaires de 1 500 milliards de livres sterling d’ici 2030 ».
Il conclut en remerciant « nos entreprises partenaires, Barclays et Fujitsu, pour leur soutien à notre programme de travail visant à créer une révolution numérique inclusive ». »
Le vieil Empire britannique comme terrain de jeu du nouveau roi
La puissance de l’enquête de winter oak vient de ce qu’il fait comprendre l’importance du lien entre la fonction princière/aujourd’hui royale de Charles et le Great Reset – . le Commonwealth « Le Prince’s Trust Group étend ce même programme au Commonwealth, la vaste sphère d’influence autrefois connue sous le nom d’Empire britannique.
Il se décrit comme « un réseau mondial d’organisations caritatives » qui met en œuvre « des projets d’éducation, d’emploi, d’entreprise et d’environnement permettant aux jeunes et aux communautés de s’épanouir ».
Il s’agit, semble-t-il, de « transformer des vies et de construire des communautés durables ».
Un de ses rapports nous dit : « Au cours de l’année 2020/21, avec nos partenaires, nous avons soutenu 60 146 jeunes dans 16 pays du Commonwealth et au-delà : Australie, Barbade, Canada, Ghana, Grèce, Inde, Jamaïque, Jordanie, Kenya, Malaisie, Malte, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Rwanda, Trinité-et-Tobago et Royaume-Uni. Nous avons également commencé notre travail à Sainte-Lucie et aux États-Unis ».
Le réseau mondial de Charles d’Angleterre
Entreprises partenaires:
Accenture – AstraZeneca – Bank of America – BBC – British Petroleum – British Airways – – Glaxo-SmithKline- Google – McKinsey – Meta- Morgan Stanley – NatWest – PepsiCo- Pfizer – Rolls Royce – Thalès- Shell – Sky – Unilever
« L’organisation est dirigée par un conseil d’administration. Celui-ci est présidé par Gavin Patterson, président et directeur des recettes de Salesforce, l’entreprise d’informatique dématérialisée dirigée par le milliardaire Marc Benioff, propriétaire du magazine Time et président inaugural du Centre pour la quatrième révolution industrielle du Forum économique mondial à San Francisco.
Un autre directeur est Dame Vivian Hunt, associée principale, Royaume-Uni et Irlande, de la société McKinsey mentionnée plus haut. Membre de la Commission trilatérale, elle est l’ancienne présidente de British American Business, un groupe exclusif de réseautage commercial transatlantique.
L’un des vice-présidents est Sir Mark Weinberg, « un financier britannique d’origine sud-africaine qui a cofondé J. Rothschild Assurance, devenu par la suite St James’s Place Wealth Management, et est président de la société blockchain Atlas City Global ».
Le conseil consultatif est composé de Sir Ian Michael Cheshire, ancien président de Barclays UK et actuellement président de Menhaden plc,
Aux côtés de ce banquier se trouve Frances O’Grady, secrétaire générale du Trades Union Congress (TUC) britannique. Comme il sied à une représentante de la classe ouvrière britannique, O’Grady est également un directeur non exécutif de la Banque d’Angleterre.
Enfin, au sein du Community Leadership Board du BITC, nous trouvons nul autre qu’Owen Marks, de chez Pfizer.
Il y incarne le chevauchement frappant entre le monde de Big Pharma et le monde de l’impact « woke » – l’intersectionnalité, en coprésidant le Pfizer UK Inclusive Diversity Group, qui se concentre sur « OPEN (LGBTQ), l’ethnicité, le genre, le handicap et la mobilité sociale et transgénérationnelle ». »
+ The Prince’s Trust, (réseau mondial d’organisations soutenant l’entrepreneuriat des jeunes, fondé par Charles en 1976).
Entreprises partenaires: Alvarium – Bank of America – Bank Scotia -Finistra – HSBC -KPMG – Lockheed Martin – Macquarie –
« Son conseil est présidé par John Booth, un « entrepreneur et philanthrope » qui peut se targuer d’avoir « une série d’intérêts en capital-risque dans le commerce électronique, les médias et les télécommunications ».
Il compte deux anciens associés de Goldman Sachs : Michelle Pinggera et Ian Mukherjee, qui ont ensuite fondé Amiya Capital, un « fonds mondial pour les marchés émergents ».
On y trouve également Suzy Neubert, ancienne responsable mondiale de la distribution chez JO Hambro Capital Management, et Mark Dearnley, précédemment conseiller en « transformation numérique » auprès de la société mondiale de conseil en gestion Bain & Company.
Le vice-président du conseil est Michael Marks, ancien président de Merrill Lynch Investment Managers et associé fondateur de MZ Capital et NewSmith Capital Partners LLP ».
« Le président du conseil d’administration est le banquier d’affaires Lord Jitesh Gadhia, qui a travaillé pour Barclays Capital, ABN AMRO et Baring Brothers.
Il était auparavant directeur général de la société d’investissement Blackstone à Londres. (…).
Gadhia a également été un jeune leader mondial du Forum économique mondial ».
Le « Club 1001 » du WWF (Fonds mondial pour la nature)
Toujours au nom de son intérêt pour la sauvegarde de la planète, Charles III d’Angleterre est membre du ‘Club des 1001″ du World Wildlife Fund, où il a pu compter sur le le soutien pour ses projets d’Aga Kahn ou de David Rockfeeller (mort en 2017). Le club a été créé dans les années 1970 par le prince Philip, père de Charles, et le prince Bernhard des Pays-Bas, par ailleurs créateur du Club de Bilderberg et parrain du troisième symposium européen sur le management organisé par Schwab à Davos en 1973, lorsque l’organisme qui allait devenir le Forum économique mondial a adopté pour la première fois une position plus ouvertement politique, en adoptant un document connu sous le nom de « manifeste de Davos ». Charles est président du WWF-UK et « fier » de l’être.Il déclare sur le site du WWF : « J’admire depuis longtemps ses efforts pour lutter contre les nombreuses menaces qui pèsent sur la faune, les rivières, les forêts et les mers du monde. Et j’ai pu constater l’efficacité avec laquelle il utilise son expertise et sa portée internationale pour s’attaquer aux causes de la dégradation, telles que le changement climatique et l’utilisation non durable des ressources naturelles ».
Le nouveau roi: une plus grande menace pour la souveraineté britannique que l’Union Européenne naguère
Depuis au moins la Glorieuse Révolution de 1688-89, le roi d’Angleterre est, selon l’expression consacrée, « Roi dans son Parlement ». Au XXè siècle, les rois britanniques se sont toujours plus clairement coulés dans un rôle de monarque constitutionnel, se gardant d’intervenir dans la politique au quoitdien. De ce point de vue, la reine Elisabeth II a été exemplaire. En particulier, au moment du Brexit, elle n’a cédé à aucune sirène invoquée par ceux qui voulaient la faire parler.
Les réseaux du nouveau roi, son fils, vont à l’encontre du devoir de réserve des rois d’Angleterre. Il est sans aucun doute l’un des parrains du Great Reset aux côtés de Klaus Schwab. Il a des contacts dans tous les milieux financiers internationaux, peut appeler à tout moment les décideurs les plus puissants du monde occidental. Et l’on peut être sûr que cet homme influençable, frustré de ne monter sur le trône qu’à 74 ans, aura tendance à vouloir rattraper le temps perdu et entrer dans l’histoire comme un « homme de progrès ». Ceci se produit au moment où est entrée à Downing Street une femme non moins vindicative, Elisabeth Truss, russophobe et atlantiste fanatique. Evidemment, le souverain idéologue du Great Reset et le Premier ministre porte-parole de Washington convergeront pour constituer une menace sur la souveraineté britannique bien plus grave encore que celle que constituait l’Union Européenne, dont les Britanniques se sont péniblement libérés.
Excellent. Ce raté d’opérette a toujours été un danger public et privé. Mais comme disent les lecteurs : « que faire ? »
Fascisme de dépeuplement en occident ; phase finale : https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/09/14/le-grand-reset-a-marches-forcees-et-comme-a-la-parade-surtout-le-prince-charles-comme-tous-les-windsor-et-les-familles-regnantes-est-un-fan-du-depeuplement-et-de-davos-les-supermarches-se-viden/
Une reine parasite qui enfante une descendance engendre forcément un nouveau parasite roi sur ce coup là.
Ceux-là même qui se sont goinfrés en pillant les ressources, en tuant, en spoliant des pays, martyrisant des peuples pour leur grandeur monarchique de sa sérénissime reine et maintenant roitelet..veulent nous faire gober qu’on doit nous les gueux se serrer la ceinture? non mais oh! charles tu crois que poutine et tous les pays souverains vont vous laisser faire? …c’est bientôt la fin de la récré mon petit charles! GAME OVER
Dans « révolution numérique inclusive”, le mot important est « révolution ». L’ancêtre du Great reset s’appelait « révolution mondiale », avant d’être le « Nouvel Ordre Mondial », vieux projet d’unification totalitaire du monde.
Programme inchangé, si ce n’est que les théories eugénistes y ont été intégrées il y a un siècle et qu’après la deuxième guerre mondiale, il a bien fallu les rendre présentables..
Pour rappel, le prince Philip, lui aussi président du WWF, s’exprimait ainsi, en décembre 1995: «Si j’étais réincarné, je souhaiterais renaître sur terre sous forme de virus mortel afin de faire baisser le niveau de la population mondiale…».
L’un des buts fondamentaux du WWF est depuis ses débuts, de fournir des informations à la presse mondiale et aux médias de masse…. quelles informations?
Sir Julian Huxley, son co- fondateur (avec le prince Bernhard des Pays-Bas…) fut vice-président de la Société eugénique britannique de 1937 à 1944 et en était président au moment de fonder le WWF en 1961.
Avec l’UICN (Union Mondiale pour la Conservation de la Nature), le WWF fut le cheval de Troie des idées écolo-malthusiennes, en insistant dur l’écologie et la préservation de la nature, sous le parrainage de la monarchie britannique, la reine étant patronne de la Société pour la préservation de la faune de l’Empire, ancêtre de l’UICN…
Autant dire qu’avec Charles III et son rôle dans le Great Reset, la « menace » risque de ne pas être circonscrite à l’empire britannique…
Voilà ce qui se trouve derrière le petit panda et la belle idée de « développement durable »…
La suite est connue: après l’échec de l’épuisement des ressources (dont il n’a subsisté que le peak oil), du refroidissement (années 70), du trou dans la couche d’ozone, le développement des médias de masse a permis l’implantation du réchauffement anthropique dans les cerveaux – y compris des politiciens – et l’écologie totalisante que nous connaissons aujourd’hui. En ce sens que le CO2 est devenu le principal, sinon l’unique critère de décision, excluant la viabilité économique, l’acceptation sociale et morale. Des détails…
Maintenant que les populations ont accepté que leurs droits soient mis sous conditions, c’est le passe climatique qui va être le sésame de la citoyenneté. Il va charrier avec lui les objectifs anti-humains de développement durable et donc, « la grande bascule » que Charles, Schwab et consorts appellent de leurs voeux.
Le « Nous n’avons pas d’autre choix » de Charles rappelle singulièrement les paroles de Sarkozy: « nous irons ensemble vers le Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien: personne, ne pourra s’y opposer ». Les faire mentir suppose une prise de conscience large autant qu’urgente.
Les Windsor ne sont probablement pas à la remorque du Great Reset, mais à son avant-garde.
Dans son livre « Conspirators hierarchy: the story of the committee of 300 », publié en 1992, le Dr John Coleman (qui se présente comme un ancien officier de renseignement), expose la nébuleuse qui dirigerait le monde: un mariage entre les financiers anglo-américains et les vieilles familles de noblesse noire d’Europe (Londres, Venise, Gênes).
Page 64 (s’agissant du contrôle des médias et de l’opinion):
« Ces artistes de la transformation des médias et manipulateurs de l’information font directement rapport au club de Rome qui, à son tour, fait rapport au comité des 300, à la tête duquel se trouve la reine d’Angleterre, qui règne sur un vaste réseau de sociétés étroitement liées qui ne paient jamais d’impôts et n’ont de comptes à rendre à personne, qui financent leurs instituts de recherche par le biais de fondations dont les activités conjointes ont un contrôle presque total sur notre vie quotidienne. »
http://odysee.com/@cv19:b/Monopoly—Suivez-l'argent—un-aper%C3%A7u-du-Grand-Reset:4
2 détails, tout d’abord les Windsor n’avait aucune lien avec Hitler, mais les Bettenberg famille du Duc d’Edimbourg.
2e chose, si vous êtes commercant, vous voyez vite que les gens vous demande d’être de plus en plus « nature » dans vos produits.
Si vous êtes agriculteur et commerçant, vous voyez vite que le changement climatique est là et bien là et qu’il va falloir faire avec.
Par ailleurs, la guerre en Ukraine nous ramène aux dures réalités, l’engrais c’est fini ou alors à un prix qui fera bondir les prix agricoles.
Alors peut-être que le Great Reset est mauvais, mais c’est bien la seule solution pour vivre dans un environnement où les pluies sont torrentielles et le soleil jamais autant chauffé !!
Que l’on soit pour ou contre, il y a une vraie demande de la part du consommateur : rien que sur les oeufs : fini les oeufs en batterie : les gens veulent des poules en liberté dans les prairies et donc des poules plus saines : les oeufs couteront plus cher mais peu importe, les gens en consommeront moins.
Le bio c’est bien, les produits de l’agriculture raisonnée aussi.
Cela dit il me semble que le livre du Great Reset n’apporte pas les solutions au « changement climatique », il se contente de formules creuses (appel à la durabilité, et à la responsabilité).
Le Great Reset, le vrai, vous êtes en train de le vivre en ce moment: c’est l’explosion du prix de l’énergie, ce qui va contraindre les moins fortunés à moins, voire ne plus consommer d’énergie. Les émissions carbones seront ainsi réservées à l’élite.
Remarque: les sanctions supposées affaiblir la Russie, favorisent au contraire les producteurs d’énergie (dont la Russie fait partie). Qui sont au contraire les perdants de cette décision politique: les classes moyennes et inférieures des peuples occidentaux. Par conséquent on devrait dès lors se poser une question simple: qui est en guerre contre qui en réalité !
S’agissant des engrais: soit il n’y aura plus d’engrais (= effondrement des rendements) soit ils seront infiniment plus chers, différentiel ce qui sera nécessairement répercuté dans les prix de la production = explosion des prix des denrées alimentaires.
QUI EST EN GUERRE CONTRE QUI?
ps: selon Brzezinski, dans son livre de 1970 « Technetronic era », le climat fait partie des champs de bataille du futur, page 57: « même la météo peut être trafiquée ». Puisque nous sommes en guerre depuis février 2022, nous sommes en droit de nous demander si la météo de l’été 2022 est naturelle ou pas…