On se souvient tous de la sortie de Benjamin Griveaux à propos des électeurs de Laurent Wauquiez, supposément fumeurs de clopes qui roulent au diesel. Ce proche du Président avait superbement synthétisé en une seule formule l'arrogance méprisante de la caste qui arrivait au pouvoir avec Emmanuel Macron. Depuis 2017, ces petits marquis ont consciencieusement ostracisé tous ces Français ordinaires qui ne partageaient pas leur fascination puérile pour les "start-up nation" et ses paillettes illusoires. Le moment est peut-être arrivé où, à force d'être méprisée, cette France de tous les jours a décidé de prendre sa revanche.
SVP ne RT pas cette vidéo d’Agnès Pannier-Runacher que les macronistes veulent cacher tellement ils ont honte!😂
— ❗️𝙴𝚗𝙼𝚘𝚍𝚎𝙼𝚊𝚌𝚊𝚛𝚘𝚗™️❗️ (@EnModeMacaron) October 9, 2022
Alors surtout ne RT pas!😉 pic.twitter.com/B7PKd747iG
L’anthologie de l’arrogance méprisante, Emmanuel Macron et son petit gang de managers vulgaires et suffisants nous l’ont égrenée, récitée, depuis 2014. On se souvient ici de la fameuse sortie du jeune ministre sur les “illettrées” de Gad. Elle fut comme libératrice du mépris si profond porté par la France bourgeoise qui a fait le macronisme.
Le macronisme est-il autre chose que le mépris de caste ?
Jamais probablement un Président de la République n’avait à ce point incarné le mépris social ordinaire d’une caste qui connaît si mal la France et la pense comme une nation obsolète, à la limite du barbare. Avec lui est arrivée au pouvoir la France des managers zélés et obtus, des employés qui se croient patrons, des courtisans et des petits marquis insolents, de tous ces esprits médiocres si satisfaits de leur petite réussite sociale, de leur BMW, de leur montre en or et de leurs vacances sur l’île de Ré. Et nous connaissons tous leur rengaine à vomir, servie tous les jours avec des sauces différentes, mais avec une opiniâtreté étrange par les valets de la presse subventionnée et de son cartel.
La rengaine de ces faux-monnayeurs qui jouent aux aristocrates alors qu’ils ne sont que des parvenus, est fondée sur un simplisme binaire d’une pauvreté confondante : eux, ils sont les Lumières, la raison, la pensée, l’intelligence, le progrès. Nous, nous sommes l’obscurantisme, le complotisme, le conspirationnisme, la passion aveugle, la bêtise, l’erreur, l’arriération. Macron l’a suffisamment répété dans ses discours, en ajoutant qu’il était pour “l’Europe des cafés” contre “l’Europe des nationalismes”.
N’oublions jamais cette phrase du discours de la Sorbonne :
Car cette Europe où chaque Européen reconnaît son destin dans le profil d’un temple grec ou le sourire de Mona Lisa, qui a pu connaître des émotions à travers toute l’Europe en lisant MUSIL ou PROUST, cette Europe des cafés, dont parle STEINER, cette Europe dont SUARES disait qu’elle est « une loi, un esprit, une coutume », cette Europe des paysages et des folklores, cette Europe dont ERASME, dont on disait qu’il en était le précepteur, disait qu’il fallait demander à chaque jeune, déjà, de « parcourir le continent pour apprendre d’autres langues » et « se défaire de son naturel sauvage », cette Europe, parcourue par tant de guerres, de conflits : ce qui la tient, c’est sa culture.
L’Europe de Macron, c’est une construction cérébrale de la caste, faite de Musil, de Proust, de Steiner, d’Erasme, une abstraction de fils à papa, de nanti hors sol et mondialisé, loin du “nationalisme, identitarisme, protectionnisme, souverainisme de repli”, visés dans le même discours.
Lorsque Macron a décidé que seuls les vaccinés pourraient, à l’avenir, fréquenter les cafés, le sens de ce bannissement était clair : les “anti-vax” ne faisaient plus partie de la culture européenne.
Une cécité du mépris, sans limite
J’ai rappelé plus haut les propos caricaturaux tenus par l’une des chouchoutes de Macron, Agnès Pannier-Runacher, pour qui être ouvrier sur une ligne de production, “c’est la magie”. Cette fille de banquier illustre à la perfection la fausse monnaie méprisante battue chaque jour par le macronisme : des privilégiés donnent des leçons de vertu et d’humilité à des ouvriers éberlués par autant de bêtise suffisante. Et, lorsqu’ils font part de leur mécontentement, la police du régime sort les LBD et menacent de leur crever les yeux.
Une autre fausse monnayeuse macroniste, Laurence Boone, ministre de l’Europe, a poussé la bêtise jusqu’à viser les Italiens dans ce mépris moraliste. Elle a indiqué, après les élections italiennes, que la France surveillait désormais le respect de l’Etat de droit chez ses voisins du Sud.
Le manichéisme binaire des petits marquis macronistes n’est donc pas seulement une pièce mal jouée devant les Français. Il s’inspire d’un scénario auquel les acteurs de la pièce croient vraiment, et qu’ils dupliquent à l’étranger, jusqu’à se ridiculiser et à discréditer la France.
On se demande comment tant de gens diplômés peuvent être aussi bêtes et bouffis d’un orgueil pathétique. Laurence Boone, par exemple, sort de la London Business School. Son mari est polytechnicien. Elle fut admnistratrice du groupe Kering (François Pinault). Elle incarne, elle aussi, cette bourgeoisie managériale, qui, à force de connivence, a pris le pouvoir sans réviser ses valeurs étroites de bonne élève bien née qui confond les manuels scolaires avec la réalité.
La révolte gronde, les lanternes sont prêtes
Les macronistes n’ont peut-être pas mesuré l’ampleur du rejet, de la haine, de l’écoeurement, de la nausée, que l’étalage de leur médiocrité hautaine a nourri chez les Français depuis 5 ans. Il faut dire que l’omerta imposée par le cartel de la presse subventionnée sur la réalité du pays a participé à la dissimulation des dégâts, et à la sous-estimation de la colère qui gronde.
Depuis 5 ans, toute divergence d’opinion sur les bienfaits de l’Europe, de la mondialisation, de l’atlantisme aveugle, expose à des accusations infamantes. Vous vous étonnez de la promptitude avec laquelle le COVID a, en quelques jours, autorisé une violation générale des libertés ? Vous êtes complotiste, forcément, conspirationniste, ou d’extrême-droite, et vous devenez infréquentable.
Il existe même une officine digne de la Stasi, appelée Conspiracy Watch, dans la mouvance de Bernard Henri-Lévy, chargée de ficher tous les opposants et de diffuser urbi et orbi dans la caste le nom des suspects.
Face à cette militarisation évidente de l’information, face à ce fascisme gris qui s’est mis en place, les benêts qui sont arrivés au pouvoir dans les valises de Macron se sont laissés prendre à leur propre piège. Ils sont réellement convaincus, parce qu’ils l’ont lu dans un journal possédé par un milliardaire, que seule une infime minorité d’excités complotistes les déteste. Très sincèrement, ces petits marquis en dentelle sont absolument certains que les Français sont des veaux obéissants prêts à renoncer à leurs libertés et à leurs droits naturels pour prendre un verre en terrasse ou recevoir une allocation.
Tant de naïveté confond.
La réalité est tout autre. Le macronisme, avec sa police, ses BRAV à moto, ses journaux aux ordres, ses sourires méprisants pour le peuple, ses mensonges éhontés qui nous expliquent que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes quand le pays manifestement s’effondre, a semé la haine et la colère. Et comme Macron a été suffisamment incompétent pour faire taire, grâce à la presse détenue par ses amis, toute expression contraire à ses fantasmes, il n’a pas vu la vague monter.
La colère a-t-elle commencé à s’exprimer ?
Les grèves dans les raffineries constituent un sérieux avertissement sur l’état moral du pays, et sur la capacité de la détestation à faire tache d’huile désormais. J’ai souligné hier comment Macron a dangereusement laissé faire cette grève, nourrie, aiguisée, par le mépris de Patrick Pouyanné pour le sens de l’exemplarité qui devrait guider sa conduire.
Les jours qui viennent vont être un test : soit les soudaines concessions de Total éteignent l’incendie. Soit le régime s’expose à une contamination virale de la colère, qui pourrait, dans les mois qui viennent, constituer une cause majeure de déstabilisation.
Et le macronisme aura montré ce qu’il est : une idéologie de grenouille qui se croit boeuf.
Macron qui a déclaré le 17 février 2017 à Lyon, deux mois avant son élection, “qu’il n’y a pas de culture française” – ce qui en soi aujourd’hui finit par être vrai bien que cela n’ait pas toujours été le cas – et qui lui a d’ailleurs sûrement permis de gagner encore quelques voix auprès des Français qui adorent servir de paillasson.
Emmanuel Macron qui a déclaré le 17 février 2017 à Lyon, deux mois avant son élection, “qu’il n’y a pas de culture française” – ce qui en soi aujourd’hui finit par être vrai bien que cela n’ait pas toujours été le cas – et qui lui a d’ailleurs sûrement permis de gagner encore quelques voix auprès des Français qui adorent servir de paillasson.
Bien vu Musil et Proust.
Mais c’est Orwell hélas qui inspire cette caste :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/13/guerre-orwellienne-et-grand-reset/
Total a lâché? Paskeu j’aimerais bien remplir le réservoir de ma diesel, moi. Une Alfa Romeo Giulietta de 2014 boite TCT, d’occase bien sûr. J’en suis content, finition Executive et quelle ligne! Blanche, la couleur écraserait le dessin. Pour les grands trajets yapa mieux, un vrai chameau. ???? Je recommande; j’achète pas boche de toute façon, jamais, réputation surfaite voiture de cacous.
Voiture boche, je sais pas pour mrdesses ou bmv mais Audi = daube. Étanchéité moteur aléatoire, résultat soupapes, alternateur etc. pètent et ça donne 5000 euros de réparation sans aucune garantie de ne pas se répéter un an après.
Les italiennes ont des problèmes de fiabilité mais généralement pas le moteur: câblage électrique ou pièces d’habitacle qui cassent. C’est documenté sur internet, beaucoup de propriétaires achètent neuf et sont déçus. Du coup privilégier les évolutions 2 quand le constructeur corrige et les occasions bien entretenues. Les allemandes sont peu fiables, surfacturées et d’un coût d’entretien prohibitif. Pour gogo uniquement. Les japonaises bien sûr. Jamais eu de souci avec ma Daihatsu Trevis de 2006. Sentimentalement je suis Renault car enfant de Billancourt.
Une Alfa, quelle note de bon goût ! Pas comme ces allemandes au style agressif sur lesquelles tout le monde se rue.
A ce train là.. c’est pas un boomerang qui va finir par se prendre le psychopathe!
Puissiez vous avoir raison.
Se débarrasser du Roy n’a jamais été le problème, non, LE problème, c’est à ce moment-là d’avoir dans sa musette un projet de nouvelle société super-bien ficelé de façon a obtenir très rapidement la fin de l’horreur, sinon, ça fera comme 1789 (révolution fomentée par les FM pour les FM), l’horreur sans fin reviendra prendre la place vacante immédiatement.
Le plus grave c’est que cette caste dévalorise la culture par la définition ridicule qu’elle en a…Suis-je le seul à me rendre compte que le discours de la sorbonne n’est qu’un amas de poncifs enfilés comme des perles par un stagiaire aspirant à l’ENA??? Les gens au pouvoir sont encore plus incultes que ce stagiaire en réalité !!! Et c’est bien là le problème… Nous nous en étions parfaitement rendus compte bien avant 2017 lorsque FR3 avait tenté de nous vendre Édouard Philippe devenu par la suite 1er ministre après l’élection du petit malin…Tout en lui respirait la médiocrité par écran interposé…Bien sûr, les autres ne valent guerre mieux ! C’est d’ailleurs cette ignorance qui les fait se dévoiler et apparaître pour ce qu’ils sont. Personne n’est dupe ! Et c’est cette médiocrité généralisée que les français ont élu ??? Stop andouilles !
La corruption mène à ça : des élites pistonnées qui se font écrire leur discours par des stagiaires eux-mêmes pistonnés. Ces élites sont évidemment incapables de voir la médiocrité car elles sont encore plus médiocres que les médiocres.
L’exemple le plus éclatant de ce système est celui du F-35 : un avion au prix et au coût exorbitants pensé et construit par des incapables qui passe 60% de son temps en maintenance ou en réparation.
Le plus grave, hélas, est que cette forme de corruption touche tous les secteurs.
Ils vont se prendre une gamelle en Ukraine et ne comprendront jamais pourquoi.
J’en connais au moins un qui pense la même chose que vous!!!!!!!!!
La confiture d’étrons dans toute sa gamme…
Macron réquisitionne QUATRE PERSONNES pour débloquer le France.
Il se moque de nous ouvertement et aucune journaliste n’a relevé ce fait.
Macron VEUT bloquer la France.
C’est vrai qu’Agnès est bien placée pour ravir à Marlène la place de “1ère dinde” !! Quel suspence !
A l’inverse de Taiichi Ono, – l’homme qui propulsa Toyota au firmament de l’automobile -, elle ne doit pas fréquenter avec assiduité les usines !!
La Caste qui veut régner sur ce monde est à l’image du macronisme ici si bien décrit. Quel homme éveillé voudrait l’avoir au pouvoir ?
“l’ampleur du rejet, de la haine, de l’écœurement, de la nausée,” : description exacte.
Amen !
Quelques mots : un très bel article qui dessine très bien la situation que nous traversons. Cette lecture de la société est très éclairante de ce que sont nos ZELITES
La conclusion est admirable, elle remet ses gens à leur place, dans la marre …
Eric a tout compris du drame qui se profile.
C’est pour ça qu’on est ici, par admiration sincère de son talent de synthèse.
Pas pour lire des insultes dirigées contre le Peuple.
“Lorsque Macron a décidé que seuls les vaccinés pourraient, à l’avenir, fréquenter les cafés, ”
Et partir à l’étranger fantasmé par son discours…
JP Pernaut est mort : sa femme accuse le vaccin. Grève générale en vue.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/13/greve-generale-en-vue-les-routiers-rejoignent-le-mouvement-jean-pierre-pernaut-est-mort-cest-a-cause-du-vaccin-sa-femme-devenue-veuve-accuse-la-troisieme-dose-le-sondage-de-bfm-etait-truque/
Une grève générale serait en effet une bonne manière de rappeler les “hors-sol” aux réalités.
Les grèves massives et révolutionnaires récentes ont toujours commencé autour des raffineries et des pompes, car elles sont les lieux où le peuple puise l’énergie de la liberté.
Je sais, c’est primaire. Mais Henri IV avait fort bien compris en son temps que la poularde du dimanche institutionnalisée allait apaiser les tensions plus que n’importe quel apparat d’État. N’est pas Henri IV qui veut, ou qui peut ! Paris vaut bien une messe.
Entre un roi qui adorait son peuple et un “président” qui le méprise, la photo contrastée pour l’Histoire millénaire de la France sera saisissante. Qui voudra à l’avenir s’appeler Emmanuel, et encore moins Macron ? Mon prénom a été ainsi souillé par des présidents français pathétiques et médocres. Je leur en garde une rancune tenace.
Hier au sud de Toulouse, le gasoil était à 2, 60 €.
Des parvenus, c’est exactement ça. Des gens incultes, grossiers avec des goûts de chiottes qui nous demandent désormais de défendre des types qui arborent fierement des croix gammées.
Le dernier paragraphe me fait sourire. Les grévistes de la CGT n’ont que faire de la situation en France. Ils étaient où, ces bons à rien quand on suspendait les salariés qui ne voulaient pas être vaccinés? Ils en avaient rien à cirer, vos copains de la CGT. Vous avez la mémoire courte. Les syndicats ont été les complices de Macron. Ces revendications catégorielles n’ont rien à voir avec celles des gilets jaunes, qui je rappelle ne voulaient surtout pas que les syndicats pourrissent le mouvement. Il faudrait peut-être arrêter de prendre ses désirs pour des réalités. Et ceux qui se plaignent dans les raffineries ne sont certainement pas les plus à plaindre parmi les salariés du privé. Les syndicalistes valent-ils mieux que les bobos macronistes?
Les syndicats de tous bord, y compris les patronaux ont été les complices de Macron pendant la crise Covid, la plupart des partis aussi sauf exceptions notables, toujours incapables d’obtenir la réintégration des soignants.
Il n’en reste pas moins qu’une grève même minoritaire et critiquable, peut faire boule de neige dans tous les secteurs, car la hausse à 2 chiffres de l’inflation énergétique associée aux pénuries, le tout étant dû aux embargos et règles débiles Françaises et Européennes, devient insupportable à l’ensemble des salariés toutes catégories confondues.
Pendant que certains se gavent sans vergogne….
La crise Covid, les vaccins frelatés, les effets secondaires, les agissements frauduleux de Mme VDL, les confinements, les affaires….dont Alstom, qui ressemblent à la grande braderie des intérêts de la France, la mauvaise élection de Macron, viennent ajouter au climat général qui pourrait devenir insurrectionnel, avec des médias qui n’ont plus la moindre crédibilité à force de cirer les chaussures de la caste mondialiste.
A refuser et ostraciser les contradicteurs « complotistes », quand le débat n’existe plus, tout étant décidé en conseil de défense dans l’opacité, le débat se poursuit alors dans la rue.
Voilà à quoi nous conduit notre assujettissement aux US, à la perte de notre souveraineté et être dirigé par un canard sans tête.
les syndicalistes sont payés par l’Etat (et nos impôts)…
La CGT faisait ce que faisaient les communistes le 18 juin 1940 : ils collaboraient avec les Boches en vertu du mariage des rouges avec les bruns.
Le rapport Perruchot a rappelé ce pourquoi la CGT se battait : un magot de plus de 4 milliards.
La CGT rackette les salariés sur certains chantiers pour avoir le droit de travailler.
La CGT est une association de malfaiteurs.
La CGT a été clairement pendant plus de 50 ans financée par les relais économiques bancaires du Komintern (Moscou, Politburo, KGB, Soviet Suprême), via la Banque de l’Europe du Nord, et ici le racket organisé sur le Comité d’Entreprise d’EDF (CE financé par le 1% légal contractuel de la masse salariale) dont le budget est estimé à 400 millions d’Euros. Relire Jean Montaldo, journaliste essayiste ultra documenté déjà récusé par la presse pour “opinion d’extrême droite”. Méthode d’ostracisation classique de la gauche et de ses médias dominateurs, déjà opérationnelle à son époque, contre leurs opposants.
Les Secrets de la banque soviétique en France, Jean Montaldo, (Albin Michel, 1979) : https://www.leslibraires.fr/livre/11410175-les-secrets-de-la-banque-sovietique-en-france-jean-montaldo-albin-michel
Quatrième de couv :
Des milliers de pièces originales ont permis à Jean Montaldo d’écrire ce livre sur Les secrets de la Banque soviétique en France. Les moindres détails sont tirés des documents mêmes de la banque.
Elle a la réputation d’être la plus secrète, la plus impénétrable. L’enquête stupéfiante de l’auteur n’a pas été simple : “Je me suis heurté à l’extraordinaire système de précautions propre aux Soviétiques. Mais la machine la plus parfaite a toujours une faille : je l’ai trouvée. Je puis maintenant affirmer, preuves à l’appui, que, contrairement à leurs déclarations, le P.C.F. et la C.G.T. demeurent aux mains de Moscou.”
Dès 1948, en pleine “guerre froide”, alors que des grèves politisées et insurrectionnelles mettaient en danger l’économie de la France, le ministre de l’Intérieur socialiste, Jules Moch, dénonçait à l’Assemblée nationale le financement du Parti communiste français par la Banque commerciale (soviétique) de l’Europe du Nord. Jean Montaldo, auteur d’ouvrages chocs et irréfutés, Les Finances du P.C.F. et La France communiste, rouvre aujourd’hui le dossier de cet établissement vraiment pas comme les autres. II démonte ses mécanismes, révèle son influence considérable et prouve que “rien n’a changé” depuis trente ans. Cette véritable ambassade financière assure à l’Union soviétique le contrôle du P.C.F., de sa presse, de sa propagande, de ses réseaux d’affaires. Mieux : de la C.G.T. et des Comités d’entreprise les plus riches de France.
Jean Montaldo éclaire d’une lumière pénétrante les activités et les ramifications de cette multinationale marxiste.
Voici un document explosif.
Et en plus payés avec notre argent.
Très bonne question. Une administrative travaillant dans un hôpital, elle-même encartée CGT, était furibarde contre la passivité de son syndicat face à la tyrannie sanitaire. Elle-même, ne pouvant se passer de revenu, n’a pas pu éviter le poison ARN, et depuis elle est malade.
Je me demande si le gros vilain moustachu a reçu le vrai produit…
Premier actionnaire de Total : les salariés 8% du capital
Se plaindre du dividende alors que cela fait trente ans que l’on entend la même chanson… si c’est si simple d’être actionnaire et de toucher un dividende pourquoi les gens n’achètent pas quelques actions chaque année de Total pour aussi profiter de cet argent soit disant facile (ah oui c’est vrai il faudra avoir le mindset d’un investisseur patriote qui investit dans une entreprise française et qui verra le cours de l’action monter mais aussi baisser) pas si simple finalement de voir son capital fondre comme neige au soleil. Voilà pourquoi un actionnaire est rémunéré. On entendait pas grand monde se plaindre en 2020 lorsque le baril était coté sur les marchés futures en négatif et d’avoir pu garder son travail malgré tout… les actionnaires ont vu le cours de leur action à moins de 20€. Il fallait avoir les nerfs solides à ce moment là …
Total ne fait quasiment plus de bénéfices en France mais continue d’y payer de l’impôt sur la société. Veut-on qu’elle se barre définitivement ? Comme ça on sera tranquille il n’y aura plus de super profits du tout et plus de profit tout cours
Concernant le diesel : pourquoi cela existe ? Car en bon écolo qui ne jette rien, lorsque le pétrole était auparavant extrait on rejetait en mer la partie inutilisée pour produire l’essence. Plutôt que de jeter dans la mer et polluer, on a décidé de récupérer ce résidu qui a permis de faire un combustible supplémentaire ! Quelle innovation mais non on n’est pas content. Pourtant en France nous sommes devenus les meilleurs concepteurs de moteurs diesel. Pour une quantité inférieure de combustible, on a un rendement meilleur. Mais non toujours pas content. Dommage de scier encore une branche sur laquelle on était assis mais nous ne sommes plus à cela près
D’accord sur toute la ligne, cependant il faut tempérer le côté actionnariat par le manque cruel de culture économique, car ça n’est pas en continuant à enseigner une économie marxiste que ça va s’arranger – et encore, ça c’est plutôt en troisième cycle, car en dessous, on peut dire que c’est le néant total.
Charles Gave a goupillé un truc intéressant et très simple sur la question, depuis des lustres il achète et vend une dizaine d’actions de grosses sociétés n’ayant rien à voir avec l’état (pas de gros marchés, pas de capitalisme de connivence) et il ne les regarde qu’une fois par trimestre, moment où il équilibre son portefeuille, c’est à dire qu’il vend une partie de celles qui ont “trop pris” pour rester à peu près à 10%/action. Rien que sur les dix dernières années, il a doublé la mise avec ce schéma archi-simple (mais pas simpliste;), et ça, c’est sans compter les dividendes.
Bravo pour Charles Gave
Je suis fan de sa stratégie également
J’ai créé la mienne à partir de là (en améliorer) et la sérénité est de retour
Bonne continuation à vous
Au malheur le mépris! c’est la devise des heureux ; à celui dont le pied chancelle est réservé le mépris.
Il y a insouciance sous la tente pour les pillards, sécurité pour ceux qui offensent Dieu, pour quiconque se fait un dieu de sa force.
Il est sans doute trop tard pour Macron de traverser la rue pour aller se trouver un Job.
Je cite : “ces petits marquis en dentelle sont absolument certains que les Français sont des veaux obéissants prêts à renoncer à leurs libertés et à leurs droits naturels pour prendre un verre en terrasse ou recevoir une allocation”.
C’est pourtant la triste réalité. Après la mise en place du programme de l’Éducation nationale pour fabriquer des crétins, initialisé dans les années 60, est venue l’époque plus récente de la décérébration par le smartphone, dont la contemplation non-stop du contenu souvent nauséabond est devenue l’unique centre d’intérêt des masses, désormais incultes et ignorantes. La preuve de cet état de fait est que lesdites masses, lorsqu’elles manifestent leurs revendications dans la rue, restent toujours centrées sur Macron et le “non” qu’elles lui opposent par leurs cris et leurs pancartes. Jusqu’à une époque récente, le peuple prenait la rue et imposait sa volonté au pouvoir en place, par une certaine violence si nécessaire ; il ne se contentait pas de crier “non, non, non !”. On l’a encore vu sous Hollande. En arrivant au pouvoir, Macron a supprimé le droit de grève au moyen d’une répression policière brutale et systématique, digne d’une république bananière, traitant les manifestants comme des délinquants. Or, lorsque le peuple est composé de délinquants il est évident qu’il n’est plus pris au sérieux. Les “marquis en dentelle”, forts du pouvoir de coercition qu’ils ont acquis sur lui, ne prennent même plus la peine d’écouter ses beuglements, qu’ils confondent avec ceux des veaux.