Nicolas Bonnal continue son investigation sur les origines du "Great Reset". Aujourd'hui, l'un des personnages les plus néfastes - les plus trompeurs aussi! Maurice Strong (1929-2015)
BFM annonce tout content que plus d’un automobiliste sur deux ne pourra plus rouler. Un petit rappel s ’impose sur fond de bonne humeur générale. Jamais l’inconscience française n’a été si extraordinaire.
Le Reset de l’humanité, un vieux plan des années 1970
Comme je l’ai expliqué déjà, le Reset est un vieux plan datant des années 70, de Soleil vert (à la fin on regarde des paysages TV avant de mourir – voyez en pensant aux vieux Sol les « scenic relaxations » tournés partout avec des drones sur You Tube).
Dans les années 70 donc les cerveaux anglo-saxons et malthusiens du dépeuplement se mettent à l’œuvre : on a Kissinger (n’est-il pas devenu à cent ans une bouche inutile ?) et David Rockefeeller qui accélère le tempo en créant la Trilatérale. On a aussi l’effrayant Licio Gelli et le Club de Rome qui annonce comme dans un mauvais film de SF ce qui va se passer. Rappelons toutefois que la population terrestre a doublé depuis cette époque : comme le dit Vincent Held, n’est-ce pas un effet recherché ? Pour arriver à leurs fins (faims), créer une catastrophe pour résoudre la crise par une guerre et/ou une extermination massive ? C’est exactement le chemin qu’ils ont suivi en Ukraine et ailleurs. Laisser faire le pire pour pouvoir proposer la solution la pire. C’est le reproche que fait de Gaulle dans un passage central des Mémoires de guerre à Harry Hopkins : « vous avez laissé faire… Le résultat ce fut Hitler”.
“Vous avez laissé faire…Le résultat ce fut Hitler” (De Gaulle à Harry Hopkins).
C’est que ces disciples palladiens (voyez le film de Mark Robson La Septième victime) ne veulent construire que sur du chaos !
Reprenons notre ami William Engdahl, un des rares analystes à avoir une approche historique de nos problèmes (cf. la guerre des Anglo-saxons contre l’Allemagne après la défaite de Sedan) :
« Pour comprendre le double langage de la durabilité, il faut remonter à Maurice Strong, un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations unies pour l’environnement et, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour étudier exclusivement le CO2 d’origine humaine. »
Strong, milliardaire crapuleux du pétrole et bienveillant humanitaire (nos riches sont puritains écologiquement mais ils veulent leurs jets et leurs milliards), ne se paie pas de mots. Quel dommage qu’on ne le lise que dans nos milieux ; car c’est un officiel de l’ONU pas un Blofeld caché dans les maontages suisses.
“Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrielles s’effondrent?”
Engdahl :
« En 1992, Strong a déclaré, « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? » Au Sommet de la Terre de Rio Strong, la même année, il a ajouté : « Les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une consommation élevée de viande, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de climatisation et de logements de banlieue – ne sont pas durables. »
La décision de diaboliser le CO2, l’un des composés les plus essentiels à la survie de toute vie, humaine et végétale, n’est pas le fruit du hasard. Comme le dit le professeur Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère au MIT… »
Dans mon texte sur l’occident et le démon des organisations, j’ai parlé du facteur temps pour la mise en place de ces légions devenues globales de décideurs apocalyptiques. Engdahl ajoute – on est au début de la crise interminable du Covid :
« La déclaration du Forum économique mondial de faire un grand retour en arrière [textuellement The Great Reset ou la Grande Réinitialisation] est, à tous les égards, une tentative à peine voilée de faire avancer le modèle dystopique « durable » de l’Agenda 2030, une nouvelle donne verte mondiale (global « Green New Deal ») dans le sillage des mesures de lutte contre la pandémie de COVID-19. Leurs liens étroits avec les projets de la Fondation Gates, avec l’OMS et avec les Nations unies laissent penser que nous pourrions bientôt être confrontés à un monde bien plus sinistre après la fin de la pandémie de COVID-19. »
Parlons du Club de Rome et de ses provocations verbales ; Rome devenue avec ce pape, son Mammon et son vaccin un des chefs-lieux de la mondialisation satanique (là aussi on ne pourra pas dire qu’on n’avait pas été prévenus depuis les années 1830 et autres) :
« En 1968, David Rockefeller a fondé un groupe de réflexion néo-malthusien, The Club of Rome, avec Aurelio Peccei et Alexander King. Aurelio Peccei, était un cadre supérieur de la société automobile Fiat, propriété de la puissante famille italienne Agnelli. Gianni Agnelli de Fiat était un ami intime de David Rockefeller et membre du comité consultatif international de la Chase Manhattan Bank de Rockefeller. Agnelli et David Rockefeller étaient des amis proches depuis 1957. Agnelli est devenu membre fondateur de la Commission trilatérale de David Rockefeller en 1973. Alexander King, chef du programme scientifique de l’OCDE, était également consultant auprès de l’OTAN. Ce fut le début de ce qui allait devenir le mouvement néo-malthusien « les gens polluent ».
Les gens comprenez : vous, moi, pas eux. Les vols en avion sont interdits pour la masse, pas pour l’élite (cf. la vidéo d’Idriss sur RI) ; les superyachts sont permis à Di Caprio ou Cotillard (ancienne théoricienne du complot repentie) mais les bateaux de pêche sont interdits aux pécheurs du Sri Lanka, ancien paradis devenu pays martyr depuis son tsunami trafiqué (cf. Naomi Klein).
Mettre fin au progrès pour faire s’effondrer la démographie
Dès 1971 on veut mettre fin au progrès – ce qui mettra fin à la population :
« En 1971, le Club de Rome a publié un rapport profondément erroné, Limits to Growth, qui prédisait la fin de la civilisation telle que nous la connaissions en raison d’une croissance démographique rapide, combinée à des ressources fixes telles que le pétrole. Le rapport a conclu que sans changements substantiels dans la consommation des ressources, “le résultat le plus probable sera un déclin assez soudain et incontrôlable de la population et de la capacité industrielle“.
Si l’homme est un virus pour l’ancien mari de la reine, il est un cancer pour le gang des industriels italiens (voyez Chesterton, il avait tout prévu dans Un nommé jeudi : les conspirations ne seraient que milliardaires et mondiales). Engdahl ajoute dans un autre texte :
« En 1974, le Club de Rome a déclaré avec audace : « La Terre a un cancer et le cancer, c’est l’homme. Ensuite : « le monde est confronté à un ensemble sans précédent de problèmes mondiaux imbriqués, tels que la surpopulation, les pénuries alimentaires, l’épuisement des ressources non renouvelables [pétrole-nous], la dégradation de l’environnement et la mauvaise gouvernance ». Ils ont fait valoir que, une restructuration “horizontale” du système mondial est nécessaire… des changements drastiques dans la strate des normes – c’est-à-dire dans le système de valeurs et les objectifs de l’homme – sont nécessaires pour résoudre les crises énergétiques, alimentaires et autres, c’est-à-dire les changements sociaux et des changements dans les attitudes individuelles sont nécessaires pour que la transition vers la croissance organique ait lieu. »
C’est un peu la méthode des shadoks tournés à la même époque remarquez : « quand il n’y a pas de solution c’est qu’il n’y a pas de problème ». en supprimant l’Homme (en particulier la classe moyenne européenne ou américaine) on supprime le problème ! Il nous restera les stations suisses et les yachts (cf. le film 2012).
Le rapport annonce aussi la gouvernance mondialiste qui elle est apparue avec le méphitique empire britannique mais aussi et surtout avec les deux guerres mondiales avec finalement les mêmes acteurs : Russie, Chine et les dominateurs de la thalassocratie palladienne anglo-saxonne.
Je termine avec Engdahl :
« Dans leur rapport de 1974, Mankind at the Turning Point , le Club de Rome a en outre soutenu:
L’interdépendance croissante entre les nations et les régions doit alors se traduire par une diminution de l’indépendance. Les nations ne peuvent être interdépendantes sans que chacune d’elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins en reconnaisse les limites. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial basé sur l’allocation mondiale de toutes les ressources limitées et sur un nouveau système économique mondial. C’était la première formulation de l’Agenda 21 des Nations Unies, de l’Agenda 2030 et de la Grande réinitialisation de Davos en 2020. »
Sources:
https://www.mauricestrong.net/
http://www.williamengdahl.com/
Mon émission sans carbone sur l’inconscience française :
https://www.youtube.com/watch?v=CEHxpr2l5zo
Die grosse Schwaberei
Ils vont parvenir à ‘un nouveau système économique mondial’. Il sera multipolaire et les patries européennes, pour survivre et éviter l’esclavage, auront toutes dit : ‘US go Home’. Tant que vous avez des bases américaines sur votre sol vous ne pouvez pas prôner l’indépendance de votre pays. Protection / sujétion équivaut à dhimmitude. C’est classique avec les empires ou l’oumma. Annalena ou Scholtz naviguent dans leur patrie entre bases américaines, éoliennes et minarets ; cela crée des prêts-à-penser paresseux et compatibles avec la sobriété intellectuelle.
Les yankees — ce n’est pas d’aujourd’hui — sont frappadingues et acharnés. Capables de vous convaincre de toutes sortes de choses qui varient, à l’encontre de votre intérêt jamais du leur. Les Français n’y voient que du feu, trop tendres. Les Allemands restent leurs protégés en Europe quoi qu’il arrive; contre tous les autres mais essentiellement la Russie. On a beau dire, seuls les Russes et les Chinois sont de force à les contrer et jamais définitivement. VVP a bien du mérite.
Ils sont écoeurants. C’est certainement les cactus du désert, l’impala ou le varan de Komodo qui les a rendus milliardaires. Ils considèrent que la planète est leur propriété avec piscine et doivent expulser ceux qu’ils considèrent de trop.
Pauvres fous aveugles et arrogants qui rêvent d’immortalité terrestre et richesse matérielle comme un enfant attardé rêve de jouer toute sa vie à la gameboy.
ils ont les moyens de rendre l’humanité meilleure et la vie sur terre comme une agréable école, mais non, ils choisissent la voie des pourceaux en appelant cela l’élitisme.
Ils s’étoufferont par leur voracité et leur paradis artificiel deviendra une souffrance infernale.
STRONG vs SPIRIT : and the winner is…
Le Fonds pour l’environnement mondial (FEM), « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
Le FEM est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale que les élites bancaires globalistes contrôleront, et qui débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
Le FEM a précisément pour objet de prêter de l’argent aux pays les plus pauvres afin qu’ils atteignent les objectifs fixés dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, la Convention sur la diversité biologique, etc. L’idée est que l’argent du FEM retourne ensuite pour rembourser les donations de nos gouvernements en prêts (c’est-à-dire nos impôts). Mais lorsqu’un pays ne peut rembourser ses emprunts au FEM, il doit céder une partie de son territoire aux banquiers : FEM, FMI, Banque Mondiale. La superficie totale des terres concernées peut atteindre 30% de la surface de la Terre. Si la terre ne peut être offerte en garantie, on fait en sorte que le pays meurt de faim : telle est la véritable origine de la pénurie alimentaire ayant eu lieu en Argentine et à Haïti, entre autres, en 2007 et 2008.
Le coup de génie des banquiers fut donc d’avoir fait passer leur FEM par le biais du système des Nations Unies, lors du « Sommet de Rio », grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays, entérinant ainsi le vol du monde.
À l’origine, le FEM est issu du 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par le président de la Banque privée Edmond de Rothschild, le Baron Edmond de Rothschild lui-même, et parrainé par l’« International Wilderness Foundation » dont il était l’un des administrateurs. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès présidé par l’homme d’affaires, homme politique et multimilliardaire canadien, Maurice Strong (1929-2015), agent de « N. M. Rothschild & Sons à Londres », et Directeur de l’« Earth Council », créé par lui en 1992 au Costa Rica pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », élaborés au sein du « Sommet de Rio » ; un « Earth Council », dont Klaus Schwab, président du World Economie Forum de Davos (« Mr Grand Reset »), était membre-fondateur.
Maurice Strong, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement, et membres fondateurs du Groupe « d’experts » Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) créé en 1988, a été visé personnellement par l’enquête sur le scandale du programme « Pétrole contre nourriture » de l’ONU en Irak.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html
Ils savent créer les problèmes pour imposer les solutions. Et ces solutions sont l’objectif de toutes leurs manipulations.
“Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d’un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l’espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs.” (Zbigniew Brzezinski, ministre des affaires étrangères de Ronald Reagan et créateur, en 1972, avec David Rockfeller, de la Commission trilatérale.)
Leur gros problème, c’est que nous sommes trop nombreux face à eux…
Il faut être réaliste, bien des gens sont trop cons, il n’y a qu’à regarder autour de nous, cf “crise sanitaire et piquouses”…
Donc, pas sûr que notre nombre suffise à contrebalancer leurs plans.
Le Donald de retour sur Twitter. Musk épure. L’UE fulmine.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/28/le-donald-de-retour-sur-twitter-esperons-quil-soit-cette-fois-le-candidat-du-ko-et-non-du-chaos-lue-va-tenter-dinterdire-toute-la-plateforme-en-europe-rappel-on-a-ete-les-pr/
L’écologisme est le nouveau cheval de bataille des cénacles mondialistes, dans lesquels on retrouve toujours les mêmes personnages.
https://reseauinternational.net/thibault-kerlirzin-comprendre-lecologie/
Mon général : “Vous avez laissé faire…Le résultat est l’ENA, le commissariat Général au Plan et Macron le taré.”
La mortalité infantile et la stérilité des hommes et des femmes augmente de manière inquiétante depuis deux ans. Gates doit éructer de joie du génocide qui vient.
Ces gens très laids, qui veulent faire le monde à leur image, réveillent bien des Géronimos dès le frais du joli matin. Des autorités des Indiens d’Amérique avaient déclaré une modération, à propos de leur ancêtre illustre: il n’hésitait pas à assassiner.
Il n’est pas du tout “complotiste” de citer le rapport du club de Rome de 1972, le rapport Meadows, dont figurez vous que lycéen, j’avais eu connaissance avec mes copains hippies…
On en avait déduit que la contraception et l’avortement étaient nécessaires au niveau national (à l’époque on en avait un besoin vital vu nos galipettes) et surtout au niveau global, on avait anticipé ce qui est la vraie raison du réchauffement climatique : l’expansion démographique asiatique.
L’influence du Co2 sur le réchauffement est connu depuis Fourier et on ne voit donc vraiment pas ce qui heurte le bon sens le plus épais dans les dénonciations de l’article.
Pour finir, et pour vous rassurer, sachez que toute la zone équatoriale terrestre devrait devenir inhabitable au début du siècle prochain, ce qui provoquera (avec le mur anti-migrants qu’on devra construire) l’extermination mentionnée qui se trouve dores et déjà non seulement absolument nécessaire, mais absolument inévitable.
Ça c’est de la stratégie.
Je vous conseille la lecture de “Fake, invisible catastrophes, threats of doom ” de Patrick Moore, un des fondateurs historiques de Greenpeace. Vous y apprendrez entre mille autres choses que le taux de CO2 dans l’atmosphère n”est pas responsable de la hausse de température mais que c’est l’élévation de celle-ci qui libère cet oxyde de carbone tant décrié et qui avec l’eau est le compsant indispensable à toute vie sur terre. Alors vous ferez sûrement le lien entre réduction massive de CO2 et réduction massive de population.
Sunak et sa famille enrichie par le contrôle orwellien. Bernard Antony contre Poutine et l’eurasisme.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/29/nouvelles-bizarres-bonnes-pour-halloween-meloni-trahit-en-restant-europeenne-etc-mais-elle-reprend-ses-personnels-medicaux-vires-la-pologne-continue-de-provoquer-scholz-et-ses-tares-en-exige/
Droit de réponse à :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/28/maurice-strong-genocideur-a-visage-humain-par-nicolas-bonnal/
L’espérance, on la doit aux générations futures.
Puisqu’on leur a emprunté leur avenir par nos dettes.
« L’espérance est le songe d’un homme éveillé. La mort est l’espérance de qui n’en a plus. »
Tout cela avait été lu et su dès la fin des années 1990, quand « Soleil Vert » était une bluette à cacahuètes vertes pour nous effrayer certains soirs d’hivers, film d’autant plus détesté par la Caste qu’il était supporté à l’écran par le Diable des progressistes, Charlton Eston, défenseur acharné du IIème Amendement soit un agent actif de la National Riffle Association – en gros du Far West honni par les progressistes. Dès lors, le propos ne pouvait être que ridicule comme prospective, le film fit un flop au box office, face au progressisme de Star Wars complètement déconnecté du réel mais instructif au niveau anthropologique !
Nous nous disions : « Quelle imagination ! Les dystopies contemporaines sont les équivalentes de l’Apocalypse de Jean dans l’Antiquité Romaine, de répulsives métaphores sur leurs Quatre Cavaliers pour édifier la conscience des Peuples… »
Mais aux temps de la splendeur des Trente Glorieuses, les prescripteurs de ces horreurs existaient déjà bel et bien chez les élites, « quand il avait fallu tout reconstruire » car tel était le problème récurrent des cycles économiques par la Courbe de Gauss. On cantonnait alors généreusement ces disciples du Mammon aux strapontins des fonds de salle pour bien montrer que la Démocratie était tellement forte qu’elle pouvait se permettre de tolérer les intolérants en son sein (Karl Popper), Hyde Park laissait ainsi s’exprimer tous ces Philippulus de l’Apocalypse, c’est un spectacle très couru et gratuit à Londres.
Et puis patatras ! Fukuyama nous dit que l’Histoire est finie après la Chute du Mur et du Pacte…
Qui dit « fin de l’Histoire » dit « fin de l’économie », car il n’y a pas de croissance ni de profits en paradigme stable ou de stagnation, ou de stagflation. Truisme.
Que nenni !
L’Histoire n’est jamais finie pour les banquiers, eux ont le thermomètre à la main, les fameux ratios, et quand ceux du profit baissent inexorablement sur une pente savonneuse, ils savent qu’ils vont devoir « éponger » des pertes abyssales. Alors il faut regonfler l’économie, même artificiellement, même si le ballon est percé de toutes parts : la relance keynésienne des doucereux homéopathes, la planche à billet pour les allopathes embourgeoisés qui ont besoin d’une clientèle, la guerre pour les chirurgiens quand l’ablation de l’organe malade devient la seule solution. Alors imaginez un peu ce que peuvent être les objectifs des grands économistes curatifs quand tout le corps est malade, thromboses, cancers métastasés à l’ensemble, AVC et crises cardiaques à répétition, malgré les défibrillations qui deviennent de plus en plus inefficaces.
Tabula rasa.
On le sait plus ou moins, on en observe les échos par la science économique et la presse financière : les milliardaires de la planète ont des ratios spéciaux, qui nous échappent, ou pas… qui sont un peu comme ceux du panier de la ménagère et ses fins de mois difficiles… Oui certes, mais avec 9 zéros en plus à la fin des unités de mesure du commun !
La ménagère va optionner sur des choix dans les linéaires, comparer les prix, analyser la concurrence, faire le tri, choisir, sacrifier.
Le banquier 10 puissance 9 fait exactement la même chose. Mais le sacrifice ultime est la guerre.
Pourquoi ?
C’est évident.
Quand l’économie est au ralenti, voire pousse à l’abîme, une seule relance réellement efficace existe : détruire, reconstruire.
Et la seule solution à jamais trouvée par les élites et leurs banquiers internationaux (aujourd’hui BlackRock et The Vanguard Group, à l’époque de Philippe Le bel et du Pape Clément V, c’étaient les Templiers) est l’arme absolue de destruction massive : la guerre.
C’est de la vente à la découpe mais à l’échelle des Nations.
Pour le banquier, la guerre n’est jamais une calamité, c’est une opportunité d’enrichissement, un investissement très productif, quoi ! Matériaux, transports, industrie de l’armement et de la chimie, progrès médicaux et scientifiques évidents sans être pas le moins satanique d’esprit, plein emploi, etc. La guerre génère une période euphorique (après les millions de morts), même pour les croque-morts… De plus, le banquier international est content (le banquier local est sa petite main mais possède le même logiciel dans la tête), la guerre élimine naturellement les indigents, les vieux, les entreprises en faillite par l’hypothèque, ça assainit les comptes sociaux, moins de retraites et de soins à payer, toutes et tous sont « des charges non productives qui finissent par trop impacter les profits »…
Ce n’est pas mon discours.
J’analyse seulement celui du banquier international qui voit l’économie mondiale péricliter : lui le voit bien dans la balance des coût et des profits, plus une société vieillit, moins elle consomme. Les plus gros prescripteurs de consommation, les plus gros consommateurs, sont les enfants et les mères de familles à enfants. La majorité des publicités est orientée vers cette niche de consommation, qui n’est plus une niche, c’est le zoo des directeurs du marketing ! Une vieille société, c’est comme une terre appauvrie qu’il faut rénover, amender sans arrêt, fertiliser par l’azote, alors on va débroussailler, couper les vieux troncs qui gênent les jeunes pousses par leurs pourritures et autres champignons. Une société jeune est un biotope tropical, tout pousse tout seul sans effort avec un peu d’eau et de soleil. Quel gestionnaire de forêts ne ferait-il pas ainsi ?
Voilà, les banquiers internationaux sont des gestionnaires de forêts… sauf que leurs arbres sont les humains.
Dans ce contexte économique, car seul le contexte économique génère l’idéologie idoine comme l’arbre fait le fruit, et non l’inverse ! on voit fleurir toutes ces folies de « l’écologie, du néo mathusianisme, du keynesianisme, du communisme »… Pourquoi en fait ? Et bien parce que le modèle économique contemporain de l’Occident, celui qui dirige réellement le monde par le G20, les davosiens, son OCDE et son OMC, etc. est en perte de vitesse comme une bagnole hors d’âge. Ce sont de vieux dirigeants, des gérontocrates perclus de rhumatismes intellectuels et physiques. Croyant faire des économies, on a différé la décision fatale, on a fait des travaux de maintenance et de rénovation, on a changé des pièces, informatisé et passé en atelier la vieille machine de multiples fois. Mais comme l’URSS, elle bringuebale, elle couine, les rouages sont vieux et usés, elle rouille sur place, elle n’est plus qu’un théâtre d’ombres. Qui ne le sent ? On finit par se rendre compte que les réparations coûtent un bras plus que l’achat d’une nouvelle caisse. On a tous connu ça !
Les banquiers internationaux font pareil, ils veulent mettre la vieille bagnole de l’économie mondiale capitaliste (en vérité sociale-démocrate et capitaliste de connivence) au rebut, depuis quand même 40 ans ! parce que la Richesse des Nations des Trente Glorieuses induisit naturellement le socialisme, qui à son tour a fini par induire la Pauvreté des Nations… Cycles infernaux de la Courbe de Gauss qu’on ne cesse de déplorer tout au long des temps humains, sauf les banquiers et investisseurs boursiers mondiaux qui font toujours « des paris à la hausse et à la baisse » en misant peu, tant que « Pourvou qu’ça doure ! »
Dans ce contexte donc, le banquier international va mettre en œuvre des solutions de transition longue – qu’il voudrait bien courte mais comment bouger le mammouth ? – pour résoudre son équation de « baisse de régime de son automobile mondiale par vieillissement » en plantant et arosant des idéologies nouvelles porteuses d’efficience marketing : écologie, néo malthusianisme, nazisme, communisme, qu’on sait toutes avoir été financées par « Wall Street », la reine de la tendance, ainsi que l’apprennent les historiens de l’économie, parce qu’un jour il faudra bien changer de bagnole ; quand les disciples de ces idéologies sont leurs idiots utiles naturels… « Ils vont nous permettre d’occulter le plan profond (le Great Reset) en diffusant massivement dans le Peuple ces cacahuètes idéologiques pour gogos ». Comme les communistes iraniens furent les idiots utiles des islamistes lors de la Révolution de 1979… L’idiot utile, un classique des Grandes Révolutions, chez qui on semble voir le pur réformateur quand il n’est que la marionnette des Grands Argentiers. Les banquiers mondiaux pourront au passage faire quelques profits mirifiques sur des artifices énergétiques : pompes à chaleur, éoliennes, panneaux solaires. Ça occupe le commentateur et le consommateur un temps, c’est l’apéritif des avant matches, jusqu’à l’effondrement de l’escroquerie… On avait déjà observé ce phénomène au début des Pyramides de Ponzi, une copie de la Crise des Tulipes, de l’effondrement de la Bourse de Law (rue Quincampoix à Paris), puis de Suez, de Panama, des Emprunts Russes. On n’a fait que rempiler dans l’escroquerie écologiste. On n’est pas encore sorti d’affaire…
Dans toute escroquerie, il y a essentiellement deux rôles, un escroc et des pigeons.
La banque est toujours dans la première catégorie.
Il y a quelques décennies, le pigeon rentre comme un poisson dans la nasse des Crédits à la Consommation.
C’est le gros lot pour les banques, le lot de consolation pour le pigeon (qui a tout perdu même sa chemise et souvent sa baraque) est son inscription au fichier de la Banque de France pour endettement.
Le Crédit à la Consommation est un peu l’arnaque du siècle pour les individus comme l’Obligation d’Etat empilée par les Fonds de Pension est l’arnaque du siècle pour les États. C’est de l’argent frais à faible taux pour appâter, puis tuer l’emprunteur par une simple relève des taux. Une stratégie simple : j’ouvre la nasse en grand pour appâter, puis je la referme quand le gogo à branchies s’est fait prendre, alors j’augmente le taux d’usure. Souvent le poisson pris au piège ne peut même pas rembourser le principal, il devra rembourser en nature par ses bijoux de famille au faible prix : Alstom, Tecnip, etc. En fait l’État agit comme l’individu. Appauvri, il va quasiment brader ses biens contre trois sous au Mont de Piété, aujourd’hui Cash Converter.
A un détail près :
– Le pékin finit à la Banque de France ;
– L’État finit à la Banque du Monde ;
Dans ce maelström où personne ne peut nager ni avancer, car aucune capacité natatoire ni aucune propulsion, quelles que soient leurs puissances à disposition, ne se maintiennent à flot dans ce nuage de bulles à la surface de l’océan qu’est l’économie de marché contemporaine, fleurissent de très bonnes nouvelles : oui da ! C’est Wall Street, encore lui ! qui annonce la couleur. Wall street n’a plus confiance dans la Nouvelle Économie (l’Internet), et elle le fait savoir. Elon se met de la partie et rachète Twitter, réhabilite le compte du Donald en virant tous les anciens dirigeants de la firme à l’idéologie goebbelsienne – ça s’est passé cette dernière semaine d’octobre 2022 ; puis le Manu vitrifie comme des déchets nucléaires pour 50 ans sous le Secret Défense toutes les informations publiques concernant la Crise du Covid – ça pue l’adrénaline à plein nez, la panique des élites, les chiens de meute hurlent à l’hallali, c’était la semaine dernière, source Le Figaro ; enfin les actions des GAFAM dévissent sur une pente raide apparemment orientée ainsi pour un long moment : Alphabet Inc., maison mère de Google et Microsoft, perd entre 5 et 10 points en une semaine ; pire pour le champion de la Nouvelle Économie, Meta (Facebook) annonce une perte abyssale de CA de 15 milliards de $, de -5 milliards de bénéfices pour l’exercice 2022, bien pire encore le titre dévisse de 50% depuis le début de l’année.
Du jamais vu (sauf en 1929) !
L’on pressentait ce chaos quand on voyait tous les milliards virtuels déjà au paradis aller se réfugier sur le Bitcoin, avec un droit d’entrée de plus en plus élevé, et des échanges de patates chaudes dans l’Art Contemporain, qui est certes un non art mais avant tout « un moyen d’échange pérenne de valeurs sonnantes et trébuchantes entre riches », tant que « Pourvou qu’ça doure ! »
Donc l’idéologie, la doxa dominante, est au service des banquiers.
Oui, depuis toujours.
Qui peut vivre sans le banquier ?
L’Homme de Neandertal de la Papouasie Nouvelle Guinée.
Bon, « en même temps » c’est pas un modèle très attrayant pour la ménagère, et son panier !
Notre simple question : jusqu’où vont aller ces Docteurs Follamour ?
J’ai bien peur que leur folie soit terminale, dans le spectre de la camisole de force.
Une chance pour nous : ils sont peu nombreux.
On peut donc se saisir physiquement d’eux et les mettre au frais avec l’aide de quelques escouades de « forces spéciales ».
On dit que ces hommes puissants sont « un système » fort de sa solidarité.
Croyez-vous ?
Le nazisme était un système – de solidarité entre élites.
Le communisme était un système – de solidarité entre élites.
Les résistants, à l’Est et à l’Ouest, par leur seule volonté, firent tomber le premier.
Soljenitsyne par ses seuls écrits, le Pape Jean-Paul II par sa seule pensée, firent tomber le deuxième.
Aucun combat n’est jamais perdu.
Vladimir nous montre le chemin : c’est la fin du Dieu $.
En toute logique, la fin du Dieu $, du Bretton Wood interfacé sur le Dieu Pétrole du Golf à 18 trous, c’est aussi la fin de ces idéologies parce qu’elles ont fleuri en même temps que naissait le règne du pétrole depuis l’Accord du Quincy.
Que faire alors ?
Il nous reste à suivre une injonction historique et fameuse : « N’ayez pas peur » mais munissez vous d’urgence d’une paire de couilles. Elles sont disponibles en magasin, là, sur le Courrier des Stratèges et autres Riposte Laïque, en vente sur le net !
« Les dystopies contemporaines sont les Apocalypses de Jean de l’Antiquité romaine ».
Apocalypse signifie Renaissance, Renouveau.
C’est mon mantra et vous ne me l’enlèverez pas, car je ne suis pas nihiliste, je suis au contraire rempli d’espérance sous les nuages sombres. Je n’invente rien, c’est juste l’esprit des survivants, des Résistants.
L’espérance, on la doit aux générations futures.
Puisqu’on leur a emprunté leur avenir par nos dettes.
On a toujours ce qu’on mérite.
En bien.
En mal.
Nous aurons ce que nous aurons le plus désiré.
La paix, la guerre…
L’avenir c’est la jeunesse, ils veulent grandir en paix ainsi que leurs enfants.
Le pire est de ne rien faire.
« Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien. »
faussement attribuée à Edmund Burke (1729-1797), homme politique et philosophe irlandais, député à la Chambre des Communes britannique, membre du parti whig
François !
Je vous savais bon mais là vous vous dépassez. Bravo. Tout est dit et vous nous laissez même de l’espoir.
Merci beaucoup.
Ça fait du bien de ne pas se sentir seul comme un vieux con. La lucidité et le courage de ses opinions n’ont pas toujours le destin de s’éteindre. L’esprit de créativité et de survie de l’homme sont bien plus fort que l’étalage des turpitudes de la majorité de ceux qui se prennent pour des guides de la multitudes des Gueux qu’il faut mater. Les civilisations sont mortelles, mais d’autres renaissent sur les cendres de celles qui se sont effondrées et l’occident semble l’avoir oublié.
Je rejoins Ivano-Petro pour vous féliciter et vous remercier de conforter ceux qui résistent, se battent et espèrent malgré tout.
Il se dit dans le Donbass que les hélicoptères et les bi réacteurs genre Dassault abordent de façon négative la rencontre avec un Manpad. Ce qui est étonnant, c’est que les banquiers apprécient les transports volants personnels, et les indépendantistes de tous les pays les Manpads. Il parait en outre que les gentils ukrainiens en vendent par centaines à tout demandeur ? Savoir quelles seront les premières rencontres volant/manpad ??
Merci infiniment de cette recherche historique qui montre combien la recherche scientifique incarnée par le GIEC n’est qu’au service du projet politique global. A ce succédané de science manquent l’objectivité, le souci d’expliquer les faits réels par une théorie explicite et cohérente, et l’énoncé d’une vérité scientifique vérifiable par tous les laboratoires de la planète. Il s’agit en fait d’un pur projet américain au service des intérêts américains et au détriment du reste de la population mondiale, amené sur la scène internationale depuis 1970 avec Soleil Vert :
la propagande actuelle va jusqu’à modifier l’interprétation des 4 saisons de Vivaldi pour en évoquer la fournaise.
du réel et de la vérité
Aux USA la foule scande FJP, Fuck Joe Biden, devant Obama impuissant.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/31/devant-obama-la-foule-democrate-et-bigarree-hue-et-hurle-fjb-fuck-joe-biden-davos-et-le-mondialisme-ont-du-souci-a-se-faire-macron-ou-pas-reset-ou-pas-au-bout-de-trois-ans-covid-guerre-reset/
Ça n’est pas la première fois que je lis des articles sur ce sujet. C’est intéressant mais je ne suis toujours pas convaincu. Je ne peux pas me contenter de l’hypothèse psychiatrique, ou démoniaque. Par exemple,
un demi-siècle après, est-ce qu’une réfutation scientifique du rapport Meadows a été méthodiquement menée, oui ou non ? Voilà le genre d’information qui m’intéresse maintenant.