Avec sa culture scientifique solide, Jean Goychman démonte un à un les sophismes défendus part les théoriciens du "réchauffement anthropique". Ce texte est un vigoureux plidoyer pour un retour à l'esprit scientifique. Celui-ci ne semble pas moins menacé que la démocratie par notre classe dirigeante et les services de communication de nos Etats que sont devenus trop de médias mainstream.
Les prêtres du réchauffement anthropique s’en donnent à coeur-joie. Octobre 2022 n’était pas encore arrivé à son terme que déjà, il était qualifié « d’octobre le plus chaud de tous les temps », preuve s’il en fallait que le « dérèglement climatique » redoublait d’intensité et que nous rentrions dans une urgence catastrophique qui allait se révéler fatale pour notre planète.
Une hirondelle ne fait pourtant pas le printemps
Nos anciens, dans la sagesse que confère l’expérience du vécu, demeuraient plus modérés dans les prévisions météorologiques, et se gardaient bien de tirer des conclusions hâtives face à des phénomènes isolés. Il est vrai que, jusqu’à un passé récent, notre système d’enseignement professait le doute, préférable aux affirmations péremptoires souvent non-étayées. Sans aller jusqu’à la logique mathématique qui considère que toute proposition non démontrée ne peut-être, sauf cas très particulier des postulats, utilisée pour démontrer un résultat, une sorte de « juste milieu » serait souhaitable. Cette logique est d’ailleurs impitoyable pour les théories car il suffit de trouver un seul cas dans laquelle elle se révèle fausse pour l’anéantir totalement. L’exception qui confirme la règle ne peut donc être soutenue dans certains domaines et particulièrement en mathématique.
On parle beaucoup (beaucoup trop à mon avis) d’un consensus scientifique qui validerait la théorie du réchauffement climatique qui serait dû uniquement à l’activité humaine.
Même si, selon Winston Churchill, la démocratie « est le pire des systèmes à l’exclusion de tous les autres », ce qui revient à dire d’une façon humoristique qu’il est le meilleur, je conçois mal qu’on fasse appel à elle pour décider de la véracité d’une théorie présentée comme scientifique.
Cela s’inscrit dans une autre logique, celle du « qui ne dit mot consent »
Tout ceci ne représente que des éléments de langage, enfants certes chéris par ces prêcheurs modernes appelés « communicants », mais qui ne peuvent se substituer à la vérité.
La planète doit être considérée comme un tout
Parler de la température moyenne de la planète suppose à-priori qu’on soit capable de la définir, et, par-delà, de la calculer. Vous voyez l’étendue de la difficulté. Comment définir la température moyenne de la planète ? On peut définir la température d’un point de mesure, éventuellement envisager une certaine continuité de proximité, à l’intérieur d’une pièce fermée sans source de chaleur ponctuelle de type « radiateur », mais comment faire pour de vastes étendues soumises à des conditions fluctuantes en permanence (nuages, masses d’air, nature du sol ou de la surface, etc)
Les pilotes de planeurs savent que l’air des basses couches est agité par toutes sortes de mouvements dus au relief ou à la nature du sol. Bien-sûr, on ne passera pas brutalement d’une température de +25°C à celle de -15°C en quelques centaines de mètres, mais peut-on en dire autant s’il s’agit de milliers de kilomètres ?
Or, force est de constater que certains de nos commentateurs, de la presse écrite ou audiovisuelle, ne s ‘embarrassent pas de ce genre de considérations. On préfère nous dire que « 30°C à Toulouse un 27 octobre, c’est bien la preuve que le dérèglement (terme utilisé aujourd’hui pour parler du réchauffement) climatique planétaire s’accentue et qu’il faut d’urgence des mesures de plus en plus coercitives. Tout est fait pour « dramatiser » une situation qui, par ailleurs, peut se révéler normale sur un intervalle de temps étendu à l’échelle géologique. Il y a quelques années, une controverse est née au sujet des températures données par les tours de contrôle des aéroports aux pilotes avant la mise en route. Cette information essentielle permettait de calculer la longueur de piste nécessaire pour décoller et la masse maximum de l’avion.
Or, la température lue sur le thermomètre dépendait de l’endroit où il se trouvait, et celle qui importait était la température juste au-dessus de la piste. Il pouvait y avoir plusieurs degrés d’écart entre les deux. Du temps des moteurs à pistons, moins sensibles à la variation de température extérieure, cela n’était pas très important, mais les réacteurs, et particulièrement les plus récents, sont très sensibles à ce paramètre et il a été décidé de mesure la température du seuil de piste.
Vous remarquerez également qu’on donne aussi, avant les course de formule 1, la température de la piste et que celle-ci diffère souvent de celle de l’air ambiant.
De quelle température partons-nous ?
Enfin, on nous parle de variation, de réchauffement, de dérèglement, sans jamais nous donner la moindre température de référence pour savoir d’où nous sommes partis, ce qui est quand-même assez étrange. Beaucoup de courbes sont publiées ayant comme origine l’année 1980. Connaissez-vous la température moyenne, au degré près, de la planète en 1980 ? Moi, non.
Je pense tout bêtement que cette température moyenne de la planète n’est ni mesurable, ni calculable, en l’état actuel de nos moyens. On nous parle pourtant de variation de 1 ou 2°C, quelquefois plus, par siècle, alors qu’on ne sait apparemment pas d’où l’on part.
Imaginez que l’on vous dise que vous avez commis un excès de vitesse de 4km/h et qu’on ne vous donne pas la limite que vous ne deviez pas dépasser ? Nous sommes dans un cas analogue.
Seul coupable : le dioxyde de carbone
Toutes les mesures qui vont bouleverser nos existences futures sont adoptées aujourd’hui en fonction de cet unique paramètre : la concentration en dioxyde de carbone de la basse atmosphère.
On ne sait pas si cette concentration est uniforme tout autour de la planète, mais peu importe, nous avons le coupable. Dire, preuves à l’appui, qu’il y a pourtant eu des périodes où la terre se réchauffait indépendamment de la concentration en CO2 n’ébranle absolument pas les partisans de cette théorie. N’étant plus à une incohérence près, on nous laisse entendre qu’il y a des effets de ce gaz qui pourraient varier avec l’origine de son émission…
Celà revient à dire que nous avons un système dont l’état ne dépend que d’un seul paramètre, mais dont l’action pourrait varier en fonction des circonstances. Et c’est la-dessus que nous devons accepter une profonde remise en question de nos existences quotidiennes.
Tout ceci relève plus du dogme religieux que de la démarche scientifique mais nous devons y croire. Tant pis pour les « hérétiques » car le fait d’avoir rendu cette croyance obligatoire en la légalisant les mettra dans l’obligation d’en subir tous les effets, même si ceux-ci ne sont pas démontrés. Et tout ceci sur la foi de quelques mesures ponctuelles, non corrélées au niveau planétaires, et faisant abstraction de toutes les causes naturelles qui pourraient avoir une influence prépondérante sur les phénomènes évoqués.
Mais le prétendu « consensus scientifique » doit l’emporter.
Tout ça est voulu par la caste,pointez le réchauffement climatique pour obligez les gueux à réduire leurs consommation d’énergie.. Exemple parmi tant d’autres les ZFE (zones à faible énergie) qui exclus principalement les gueux qui n’ont pas les moyens d’acheter des véhicules électriques..
Le consensus scientifique est une phase d’obscurantisme théorique qui se termine le jour où l’on démontre la fausseté de celle-ci.
Un exemple fameux me revient à ‘esprit.
Auparavant, il était acquis que les comètes étaient constituées essentiellement de glace. On voyait d’ailleurs leur panache quand elle apparaissaient épisodiquement dans le ciel.
Puis, je cite L’Express, « ll y a dix ans, l’Agence spatiale européenne lançait la sonde Rosetta en direction de la comète Tchourioumov-Guérassimenko. Elle y a déposé un robot du nom de Philea. C’est la première fois qu’un engin créé par l’homme est mis en orbite autour d’une comète, et c’est aussi la première fois qu’un robot en explore une. »
Tout le monde se souvient de ce jour.
Je me souviens aussi des commentaires des chercheurs européens assis dans le centre de contrôle de l’ESA, qu’on vit tourner casaque en moins d’une heure sur cette théorie glaciaire de la comète. En effet, le robot descendit immédiatement ses sondes dans le sol de l’astéroïde et envoya ses résultats. Le sol était constitué de cailloux, d’eau gelée, et de tous les composants qu’on trouve sur la terre, puis de quelques rareté métalliques comme toujours…
Il serait erroné de dire que le consensus scientifique avait sauté en moins de 24 heures ce jour-là, suite à de multiples controverses. Non, les médias étaient présents, fauves attendant comme toujours les premiers commentaires suite à l’atterrissage. Le consensus a sauté en moins de 10 minutes grâce à eux. Les scientifiques avaient du commenter le but en direct.
Sur le Réchauffement Climatique, il est étonnant que les journalistes ne lisent pas Christian Gerondeau, un des spécialistes du sujet – qui s’est vu depuis affubler du tampon « extrême droite » suite à ses prises de positions « controversées »… Un autre Didier Raoult ! Lui a depuis longtemps écrabouillé toutes ces fausses théories « de réchauffement climatique anthropique » (comme Didier Raoult), et de réchauffement tout court, période contemporaine qui n’est qu’une des « grandes » (1°C en 100 ans) fluctuations de la température de surface de la terre corrélées aux cycles solaires depuis la naissance de notre planète.
La raison de la persistance médiatique de cette fausse théorie est simple, le fait est documenté, elle rapporte encore beaucoup d’argent aux propriétaires des médias, qui sont aussi des milliardaires qui investissent massivement dans l’éolien, le solaire et les pompes à chaleurs, subventionnés massivement par les États européens et la Grosse Commission, et on ne pourra pas me contredire sur le fait que les financiers internationaux ont le nez fin concernant l’odeur de l’argent. Ils sont comme les chiens, ils sentent et suivent celle-ci à la trace 800 fois plus que nos congénères.
Le Réchauffement climatique est donc l’argument scientifique de pompe à finance des deniers publics par les milliardaires amis des technocrades dirigeant nos pays. D’ailleurs, des parachutes dorés sont prévus pour ceux-ci à la fin de leurs mandats dans les banques (actuellement Barroso chez Goldman Sachs, Fillon et Schröder chez des énergiciens russes) et autres organismes (dans un futur proche Macron chez BlackRock et Van der Leyen chez Pfizer), pour remerciements de leurs bonnes actions en faveur de la finance internationale.
L’unique science qui dirige ces actions climatistes est purement économique : l’appât du gain qui est la seule boussole climatique du lobbying de ces grandes industries.
La morale économique du problème est articulée autour de trois grandes questions, qui génèrent à leur tour une multitude de sous questions :
1. Est-il décent de continuer et d’amplifier un modèle écologico-economique dont les effets néfastes d’organisation politique de pénurie contribuent à casser le tissu économique ?
2. Est-il indécent (ou naïf) de demander que nos élus ne soient plus des lobbyistes de minorités économiques mais redeviennent les lobbyistes du bien commun et de l’intérêt général, alors qu’on voit ce dernier foulé aux pieds par quelques intérêts particuliers ?
3. Combien de temps tiendra l’argumentation fallacieuse des Grands Travaux écologistes (éolien, solaire, pompes à chaleurs, modèle de la voiture électrique qu’on décorrèle de la production nucléaire alors qu’il ne peut exister sans elle !) quand une majorité de citoyens seront jetés sur les routes comme sont jetés à la poubelles les « vieilles industries polluantes » qui les employaient ?
Ce modèle totalement inefficient a toutes les apparences d’un courtermisme mensonger.
On en revient donc naturellement au sujet de la guerre, qui est la suite habituelle d’une crise économique.
La tabula rasa est-elle donc organisée pour tout Great Reseter jusqu’à zéro ?
Le Courrier des Stratèges apporte (ou subodore) chaque jour ici des preuves de l’existence d’une volonté organisée de tabularaser la société ancienne pour faire advenir la nouvelle souhaitée par les élites protégées (Soleil Vert).
La mauvaise nouvelle est que ce projet écologiste « non polluant » (en fait on exporte notre pollution vers les pays pauvres) prévoit un étiage maximum de 700 millions de personnes sur la terre pour que Gaïa soit en équilibre avec les humains (restants).
Il n’aura pas échappé à celui qui a suivi tous les détails de la Crise du Covid-19 qu’un des objectifs était d’éliminer le maximum de populations – virus et vaccin, que les dirigeants de ce projet (Great Reset) ont une idéologie malthusienne, eugéniste, génocidaire, donc néo-nazie.
Tout CQFD.
Luc Ferry : « La tentation de la violence écologiste existe depuis des années » : https://www.lepoint.fr/societe/luc-ferry-la-tentation-de-la-violence-ecologiste-existe-depuis-des-annees-21-08-2019-2330884_23.php
Le Nouvel Ordre écologique – l’arbre, l’animal et l’homme, de Luc Ferry : https://www.amazon.fr/Nouvel-Ordre-%C3%A9cologique-larbre-lanimal/dp/2253943363
La morale économique du problème est articulée autour de trois grandes questions, qui génèrent à leur tour une multitude de sous questions :
1. Est-il décent de continuer et d’amplifier un modèle écologico-economique dont les effets néfastes d’organisation politique de pénurie contribuent à casser le tissu économique ?
2. Est-il indécent (ou naïf) de demander que nos élus ne soient plus des lobbyistes de minorités économiques mais redeviennent les lobbyistes du bien commun et de l’intérêt général, alors qu’on voit ce dernier foulé aux pieds par quelques intérêts particuliers ?
3. Combien de temps tiendra l’argumentation fallacieuse des Grands Travaux écologistes (éolien, solaire, pompes à chaleurs, modèle de la voiture électrique qu’on décorrèle de la production nucléaire alors qu’il ne peut exister sans elle !) quand une majorité de citoyens seront jetés sur les routes comme sont jetés à la poubelles les « vieilles industries polluantes » qui les employaient ?
Ce modèle totalement inefficient a toutes les apparences d’un courtermisme mensonger.
On en revient donc naturellement au sujet de la guerre, qui est la suite habituelle d’une crise économique.
La tabula rasa est-elle donc organisée pour tout Great Reseter jusqu’à zéro ?
Le Courrier des Stratèges apporte (ou subodore) chaque jour ici des preuves de l’existence d’une volonté organisée de tabularaser la société ancienne pour faire advenir la nouvelle souhaitée par les élites protégées (Soleil Vert).
La mauvaise nouvelle est que ce projet écologiste « non polluant » (en fait on exporte notre pollution vers les pays pauvres) prévoit un étiage maximum de 700 millions de personnes sur la terre pour que Gaïa soit en équilibre avec les humains (restants).
Il n’aura pas échappé à celui qui a suivi tous les détails de la Crise du Covid-19 qu’un des objectifs était d’éliminer le maximum de populations – virus et vaccin, que les dirigeants de ce projet (Great Reset) ont une idéologie malthusienne, eugéniste, génocidaire, donc néo-nazie.
Tout CQFD.
Sources :
Article de Luc Ferry sur Le Point : « La tentation de la violence écologiste existe depuis des années »
Le Nouvel Ordre écologique – l’arbre, l’animal et l’homme, livre de Luc Ferry (Grasset, 1992)
Pas que… De même, on ne peut pas dire que l’objectif de la crise Covid est uniquement les bénéfices des labos.
Il est assez surprenant de voir que ces sujets font l’objet de mélanges savants de points de vues qui restent éloignés voire sans rapports. Les questions sont en fait:
1) que signifie 1 ou 2 degrés d’augmentation moyenne des températures ?
2) le climat est-il en train de changer sur terre actuellement ?
3) l’homme est-il responsable du changement climatique s’il a lieu ?
4) l’homme peut-il inverser le changement climatique en cours ?
5) est-ce que bruler des hydrocarbures réchauffe l’atmosphère du fait du CO2 produit ?
6) y aura-t-il suffisamment d’hydrocarbures disponibles pour nous climatiser à l’avenir?
1) Rien. Les moyennes sont arbitraires, estimées à +- 10. On ne mesure que de faibles écarts.
Tout ce qu’on sait c’est que 4° en moyenne sépare la grande glaciation d’il y a 20 000 ans de maintenant. Il y avait de la glace sur toute l’Europe, et l’indonésie et l’amérique s’explorait à pied.
Ca donne une idée des effets d’un changement moyen de température.
2) OUI. Des espèces végétales migrent vers le nord, les coraux meurent là où ils sont, le niveau des mers monte partout, les chaleurs et les incendies augmentent partout, le passage du nord ouest s’ouvre, les glaciers fondent à toute vitesse. Ca bouge.
3) On s’en fout complètement. C’est possible, mais après la croissance démographique démente du siècle dernier (multiplication par dix de la population), cela ne serait pas étonnant. Il faut d’urgence fournir à la planète pilules et capotes, c’est chimique et plastique mais ça ferait du bien.
4) NON. Personne ne peut rien faire. Les COP ne servent à rien et les délires écolos ne sont que de pitoyables plaintes impuissantes. Le réchauffement ne se limite pas, les émissions de CO2 qui le causent continuent grand train à cause des indiens et des chinois et c’est comme ça.
Il faut non pas empêcher ça, mais s’adapter à ça. Dot barre.
5) Oui. C’est sans doute la cause principale. Encore une fois c’est la faute aux besoins du tiers monde. On peut pas se plaindre des petits chinois faméliques et leur plaindre les camions qui leur amène leur riz. La question est démographique et le pétrole c’est super utile.
6) C’est la question et je ne sais pas la réponse. Certains disent que non et qu’il y en a largement qui reste, il suffit d’aller le chercher. Dans ce cas, il suffira de l’utiliser pour se climatiser à loisir, et s’habituer à vivre enfermé. Il suffira de s’habituer.
D’autres disent que oui et qu’il faut économiser. Comme dans Mad max, la distribution sera inégalitaire et ceux qui n’en auront pas ou qui ne se débrouilleront pas pour en avoir crèveront, par exemple l’Europe qui fait la guerre à la Russie.
Je me pose une question quant aux comparaisons des relevés de température depuis qu’ils existent.
La plupart des stations météo étaient situés à l’extérieur des agglomérations, mais les villes s’étant étendues, ces mêmes stations se trouvent maintenant environnées de bitume et de béton.
Est-il pertinent d’utiliser ces relevés pour démontrer un réchauffement ?
De même, il a été démontré que les stations de mesure de température océanique étaient présentes à raison de une par carré de 500 kilomètres de côté – soit une station météo sur 250.000 kilomètres carrés sous forme de bouées ancrées ou dérivantes, qui coûtent extrêmement cher, quand elles ne sont pas détruites par les éléments en furie. Les satellites ont certes pris le relai pour les observations infra rouge, les relevés géographiques et biophysiques, mais le balayage des zones reste encore un peu trop lacunaire, épisodique, puisque les principaux satellites sont militaires, de localisation et téléphoniques. La météo, ça rapporte rien, c’est de l’argent public ! Quel financier international va-t-il investir son argent sur un satellite météorologique, et pour quel profit ? Les ordinateurs Cray sont très puissants, mais les données massives au mètre carré et à la seconde sont tout simplement inexistantes. Malgré l’informatique, les calculs sont toujours faits “à la louche”, comme dans les sondages politiques. Peut-on alors affirmer que ces sondages comme ces données météorologiques sont trompeuses ? C’est probable, mais il faudra prouver l’intentionnalité du mensonge. En politique, on a commencé à comprendre dès les écrits d’Edward Bernays (auparavant Sun Tzu et Machiavel). En météo et en climato, on est encore dans le brouillard même si on commence à observer que les modèles climatiques dominants sont profitables aux investisseurs technologiques… Nous sommes juste au début de la prise de conscience.
Maintenant, il faut abonder les preuves ?
Et prouver que cette intentionnalité est néfaste.
Vaste problème.
Ce qu’il faut savoir, c’est que les “mesures de température”, c’est un peu de mesure et beaucoup de calculs statistiques basés sur des corrections (îlots urbains, corrections pour compenser le faible nombre de relevés sur les océans…)
Est-il utile de préciser que ces dernières peuvent être légèrement influencées par le fait que les instituts de recherche sont d’autant mieux financés que leurs résultats sont conformes à ce qu’on attend d’eux?
La corruption (au moins passive) de la science, que l’on a observée durant la crise “sanitaire” existe depuis longtemps dans d’autres domaines de la science, dont le climat depuis que c’est devenu une affaire politique.
Ces malversations ont été notamment révélées lors du “climategate” pour lequel la presse mainstream française s’est illustrée… en n’en parlant pas.
Le Climategate est la mise sur la place publique de 6500 fichiers dont 1073 mails provenant du CRU (Climate Research Unit), organisme majeur au sein du GIEC et dans la publication des courbes de température.
Le hacker qui est derrière cette révélation (sans doute lui-même un chercheur du CRU) s’en est expliqué: “Nous pensons que, dans la situation actuelle, la science du climat est trop importante pour demeurer dissimulée. C’est pourquoi nous mettons dans le domaine public une sélection, prise au hasard, de correspondances de codes et de documents. Nous espérons que cela ouvrira les yeux sur cette science et sur les gens qui sont derrière”. Ces mails et documents scientifiques n’ont pas été démentis par leurs auteurs; leur teneur, leur mode d’expression et leur langage sont le signe d’une authenticité certaine.
Le contenu de ces mails met en évidence:
– le manque de déontologie scientifique et les doutes des chercheurs (“On bidouille carrément les données observées pour qu’elles collent avec la thèse du GIEC. On a des doutes… cachés” ou: “Nous ne savons pas expliquer l’absence de réchauffement actuel et c’est grotesque…/… Les données montrent qu’il devrait y avoir encore plus de réchauffement: mais les données sont certainement fausses. Notre système d’observation est déficient” ou encore: “Je viens juste de terminer l’utilisation de l’astuce de Mike dans Nature qui consiste à ajouter les données réelles de température pour chacune des séries des 20 dernières années (ie de 1981 à 2001) et depuis 1961 avec celles de Keith pour cacher le déclin” – il s’agit du déclin actuel des températures)
– la suppression de données ou le refus de les communiquer, ce qui est contraire aux usages scientifiques (“Pouvez-vous détruire les emails que vous avez pu échanger avec Keith (Briffa) en relation avec l’AR4?” ou: “Les deux MM (Mc Kitrick et Mc Intyre, deux climatosceptiques) cherchent les données des stations du CRU depuis des années…/… Je pense que je détruirai ces fichiers plutôt que de les donner à quiconque”. De fait, V. Courtillot n’a jamais pu les obtenir.
– la volonté de réduire au silence les défenseurs des thèses adverses, en particulier en faisant pression sur les revues scientifiques à relecture pour qu’elles ne les publient pas. (“Je ne vois pas comment un seul de ces articles (climatosceptiques) pourrait figurer dans le prochain rapport du GIEC. Kevin et moi l’empêcherons par n’importe quel moyen même si pour cela, nous devons redéfinir ce qu’est la littérature revue par les pairs” ou: “La prochaine fois que je vois Pat Michaels (un climatosceptique) à une réunion scientifique, je serai tenté de lui casser la gueule. Vraiment tenté”)
Ce ne sont que des morceaux choisis…
Vers la réintroduction des soignants non vaccinés. Le réchauffement climatique nous vaccinera contre la vie et la liberté.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/11/02/le-gouvernement-pourrait-mettre-fin-a-lobligation-vaccinale-et-reintegrer-les-personnels-non-vaccines-1-du-total-pas-plus-de-resistants-quen-juin-40-rappelons-que-vichy-fit-exploser-le-nombre/
Rappel de Ségur et de sa retraite de Russie : le froid n’a jamais commencé en octobre.
Deux crises : 6 novembre et 6 décembre. La Grande Armée (il restait 120 000 hommes au sortir de Moscou, Ségur toujours) fut exterminée au bout de cinq à six semaines…
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/31/hiver-russe-segur-et-les-lecons-de-la-froide-retraite-de-russie-pour-se-preparer-a-un-hiver-de-dictature-et-de-froideur-pas-comme-les-autres-2022-mots-je-sais-cest-long-mais-segur-c/
Le froid est déjà vif EN RUSSIE (là où la retraite à eu lieu). Il commence à neiger dans l’est de l’Ukraine actuellement…
Masses d’air chaud existante venant d’Afrique et remontant vers le sud de l’Europe. C’est n’est pas la première fois depuis 40 ans.
https://www.keraunos.org/actualites/fil-infos/2022/octobre/chaleur-octobre-2022-orages-masse-d-air-tropicale-climatologie-historique
Vous vouliez certainement dire « Ce n’est n’est pas la première fois depuis 40.000 ans ! »
Élévation du niveau de la mer : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89l%C3%A9vation_du_niveau_de_la_mer
Les paléontologues cherchent encore (en vain) les traces des industries polluantes des hommes préhistoriques…
Donc cela doit être autre chose, non ?
TILT !
Bonjour,
Il suffit de lire ” Le changement climatique est’il d’origine humaine” de Joel Cambre aux Ed. Nuvis pour se rendre compte du mirage du rechauffement; dans ce livre on parle science et non demagogie.
Il est possible de telecharger sur Internet la presentation resume du livre.
L’un des points examine concerne les mesures effectuees par les stations terrestres installees en ville et l’auteur demontre que ces mesures sont affectees ( a la hausse) par la chaleur urbaine, ainsi aux USA 91% des stations terrestres implantees sont concernees. Ce dernier point repond a la question de posee par JP Ledoux plus haut.
Ensuite bien entendu chacun se fera sa propre opinion.
Par ailleurs toute cette idéologie néo malthusienne est à mettre à la poubelle quand on découvre que la planète reverdit (naturellement) suite à l’abondance de CO2 dans l’air. Abondance relative (414,7 parties par million (ppm) en 2021), soit 0.047% de l’atmosphère qui subit une augmentation de moins de 3% de présence dans l’air sur une période récente de 10 ans, quand le taux (281 ppm) a augmenté de 59% depuis le début de l’ère industrielle, alors qu’il était de 4.000 à 2.000ppm à l’époque des dinosaures, quand chacun sait que ces derniers roulaient au diesel, fumaient clope sur clope en navigant sur le web, sans parler de leurs infâmes barbecues en Amérique du Nord…
Alors qu’on voit paradoxalement que cette augmentation du CO2 atmosphérique profite directement à l’alimentation des populations indigentes en général sous-alimentées… Malthus et ses disciples contemporains ont vraiment du plomb dans l’aile depuis 2 siècles ! “Notre théorie ne marche pas, vite, une guerre, rasons tout !”
https://www.science-climat-energie.be/2021/06/11/la-terre-devient-un-paradis/
https://www.fredzone.org/il-y-a-environ-230-millions-dannees-la-baisse-du-niveau-de-co2-dans-latmosphere-aurait-permis-aux-dinosaures-de-migrer-de-lamerique-du-sud-au-groenland-1283
Sans compter que le principal gaz à effet de serre (et encore faudrait-il prouver, de façon certaine, cette théorie…) est, de très loin, la valeur c’eau.
L’occident entre vraiment dans une paranoïa collective délirante : déni de réalité, avec comme portevoix la science officielle, volonté exacerbée de puissance et de méga-argent de la part des dirigeants méprisants et gros commissionnaires, contrôle totalitaire pour proteger la caste dominante. Il est urgent de créer un hopital psychiatrique globalisé!
Mangez dans votre grenier, demande sans rire Macron à son peuple inepte :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/11/02/il-faut-manger-dans-son-grenier-pour-ne-pas-se-noyer-macron-et-son-gouvernement-aux-ordres-de-davos-et-des-labos-prend-decidement-les-fronces-pour-des-cons-et-des-laches-que-lon-peut-eternellem/
bonjour, en tout état de cause on ne peut pas parler de changement climatique global, et il y a un indice consensuel celui-là qui prouve ceci tous les jours depuis plus de 1500ans : le niveau des océans et des mers. Avec ça c’est terminé il ne devrait plus y avoir de discussion possible. Maintenant que votre bananier dans le jardin survive n’y change pas grand chose, peut-être les courants marins nous sont encore plus favorables en Europe et encore plus défavorables en Amérique du Nord. Mais on n’y peut strictement rien puisqu’on n’y connaît rien. Que le taux de CO2 augmente, c’est plutôt une bonne chose pour la croissance des plantes dont nous dépendons entièrement et qui ne leur est pas très favorable dans l’état actuel des choses (il suffit d’imaginer la végétation du temps des dinosaures), et dont nous devrions nous réjouir car nous nous faisons nombreux et nous avons faim. Avec plus de CO2 les plantes plus vite, les salades plus grosses et personnes ne devrait se plaindre de manquer de carottes rabougries. Par contre nous devrions faire un effort certain pour ne pas détruire les sols , les cours d’eau et les océans à coup de pesticides résidus de “médicaments” et de produits détergents.
La seule motivation pour parler de changement global est l’objectif de soumettre les populations à une gouvernance globale. A problème mondial, nécessité d’un gouvernement mondial.
Encore un point commun avec la pseudo-pandémie.
Remarquons qu’ils ont déjà bien avancé…
Merci à l’auteur de rappeler quelques vérités basiques. En effet cette histoire commence avec des mesures discutables de température, poursuivie avec une “anomalie” de température par rapport à une référence arbitraire (si ce n’est pas du parti-pris, qu’est-ce?), pour aboutir â une notion de température moyenne qui n’a aucune signification physique (est-ce que la moyenne entre le pôle nord et l’équateur reflète en quoi que ce soit le climat?).
Et ça continue avec la mise en accusation de ce pauvre CO2, gaz nécessaire à la vie (ce qui devrait interpeller…). Mais comme vous le dites, un seul contrexemple suffit à mettre en défaut une théorie. Si le CO2 est coupable, et notamment le CO2 résultant des activités humaines, pour le prouver, il faudrait voir si une diminution importante de ces activités coupables change les mesures de CO2.
Il se trouve que les élites ont trouvé le moyen de mettre l’économie mondiale à l’arrêt en 2020… Et qu’observe-t-on? Rien, aucune modification de trajectoire sur cette courbe en augmentation lente depuis la sortie du petit âge glaciaire.
https://gml.noaa.gov/ccgg/trends/
Bonjour
Je voudrais remercier tous les commentateurs pour la qualité et la pertinence de leurs apports.
Cela témoigne de l’intérêt porté au sujet du niveau de réflexion face à un véritable “matraquage”
en règle avec lequel tous les coups semblent permis.
Une mention particulière à Huger pour sa description trés instructive du “Climate gate” et de l’ambiance générale témoignant de la fébrilité grandissante de ceux qui redoutent l’apparition de la vérité.