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L’assurance-vie connaît une période de vaches plutôt (voire très) maigres pour des raisons qui sont bien connues. Les unités de compte sont extrêmement spéculatives, et les fonds en euros ont beaucoup souffert de la baisse des taux d’intérêts. Face à l’inflation, l’assurance-vie perd donc de sa compétitivité, et la valeur réelle des portefeuilles a baissé depuis plusieurs années, même si la valeur nominale progresse.
Au total, l’assurance-vie est un placement “défensif” qui déçoit l’épargnant modeste qui n’a pas envie de boursicoter au jour le jour.
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Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.
© 2023 Le Courrier des Stratèges
Optez pour une assurance-vie luxembourgeoise avec banque dépositaire suisse et sans fonds en euros, évidemment.
Vos investissements pourront être libellés en devises et vous conserverez les avantages fiscaux de l’assurance-vie, tout en évitant de tomber sous le coup de la loi Sapin II.
ETF, produits structurés, private equity (pour les plus fortunés), titres vifs, européens ou non, etc. : il est possible de loger presque n’importe quel actif dans le Fond d’Assurance Spécialisé (FAS) d’une assurance-vie luxembourgeoise. Il n’y a même pas l’obligation d’en confier la gestion à un intermédiaire et d’enrichir ainsi des courtiers et des sociétés de gestion à la valeur ajoutée discutable.
Seul bémol : le ticket d’entrée minimum tourne autour de 250 000 euros.