Le film de Laurent Firode, le Monde d'après, dont nous avons déjà parlé, est une étape dans la constitution d'une contre-culture résistante. Il a interrogé pas mal de spectateurs sur notre droit à moquer la culture vax. Certains ont plaidé pour une réconciliation nationale avec les vacciné. La sortie du film me donne l'occasion de dire tout le mal que je pense de cette toxique réconciliation nationale.
Je crois qu’il ne faut surtout pas sous-estimer le tournant que constitue le film Le Monde d’Après de Laurent Firode. Je n’évoque pas seulement les qualités intrinsèques, cinématographiques de ce film que j’ai beaucoup apprécié, je vise aussi (et surtout) le moment essentiel qu’il constitue. Voici donc un cinéaste indépendant qui a réalisé la première oeuvre de fiction sans aucune subvention de l’État, ce qui constitue un exploit en France, pour se moquer de la culture dominante, que nous pourrions appeler la culture vax, et pour promouvoir une autre idée du monde d’après.
Il faut marteler ce point essentiel : Firode n’a pas produit un documentaire, comme on en a vu plusieurs, avec des financements parfois mystérieux. Il a produit une fiction, avec un vrai scénario, de vrais comédiens, pour un budget de moins de 1.000€. Son film ne dénonce pas les effets secondaires du vaccin. Il moque la culture officielle, bien au-delà de la crise sanitaire : les fanatismes intersectionnels dans ce qu’ils ont de plus grotesque, la société du spectacle et la zombification qu’elle produit sur les rapports sociaux, l’obéissance passive à la propagande.
Il s’agit, à mon avis, d’un point de départ : celui d’une contre-culture capable de produire, de façon autonome, ses propres fictions, ses propres oeuvres, sans obéir à la caste et à son outil de domination appelé l’État. Firode annonce d’ailleurs d’autres épisodes de ce qui devient une série. Nous espérons qu’il suscitera une vraie émulation parmi ses confrères et pairs pour qu’émerge non pas un cinéma anti-vax, mais un cinéma alternatif, sécessionniste, qui existe de façon autonome sans subir la censure officielle de la bureaucratie.
Moquer la culture vax pour construire une culture libre
L’enjeu de ce film dépasse largement le film lui-même. Il dépasse aussi les polémiques circonstancielles sur le vaccin et sa place dans la stratégie de domination déployée par la caste. Certes, ces polémiques ont leur importance, mais elles n’égaleront jamais l’enjeu qu’il y a non plus à dénoncer ce qui existe, mais à bâtir une alternative durable.
De façon très symptomatique, cette bascule vers une alternative repose sur l’excellente idée de « démanteler » l’imposture de la propagande officielle, en la moquant par des saynètes. Une intrigue continue et unique aurait nui, au fond, à la nature même du propos. Klaus Schwab, dans son Great Reset, a beaucoup parlé d’interconnexion entre les individus. Firode en fait son miel en couvrant de sarcasme chacune de ces monades qui forment le tout artificiel d’une culture dominante fondée sur l’atomisation des rapports sociaux.
Pour passer à autre chose, il fallait bien moquer ce qui existe. La voie est désormais ouverte.
La délicate question de la « réconciliation »
Lors du débat qui a suivi, de nombreux spectateurs ont parlé du traumatisme qu’à constitué leur relégation dans ce camp de concentration virtuel créé par le passe sanitaire. Certains, parmi eux, ont expliqué qu’ils avaient du mal à en rire, et un groupuscule de spectateurs a même jugé que le propos du film nuisait à l’indispensable réconciliation entre non-vaccinés et vaccinés, sans laquelle le monde d’après ne sera pas possible.
On connaît ces arguments (périodiquement contestés ici), tout droit sortis des cours de catéchisme reçus dans notre enfance, selon lesquels le pardon doit être accordé, et l’amour devrait régner. J’ai plusieurs fois sous-entendu (c’est pourquoi je m’appesantis sur le sujet aujourd’hui) que ces principes hérités d’une morale de gauche tout à fait respectable n’avaient pas leur place dans la construction d’un rapport de force politique où il s’agit de défendre les libertés.
Mais, comme j’observe que la question de la réconciliation nationale revient de plus en plus régulièrement, j’en conclus que le moment est venu d’aborder le sujet frontalement.
La réconciliation nationale, la nouvelle ruse de la caste pour conserver le pouvoir
L’an dernier, j’avais annoncé que le passe vaccinal serait le Stalingrad de Macron, et ce le fut. Après plusieurs semaines de combat contre la « minorité complotiste », le Président a dû battre en retraite et ranger son outil dans les poches. De même que Stalingrad n’a pas entraîné la reddition de l’armée allemande, mais seulement son recul progressif (le combat pour faire tomber Hitler a duré deux ans de plus !), la mobilisation des résistants n’a pas empêché la réélection de Macron, mais elle a sévèrement dégradé son environnement politique et l’oblige à consommer de plus en plus de moyens pour maintenir l’ordre.
Structurellement, la caste a besoin que les résistants la laisse respirer et ralentissent leur marche. Sans surprise, donc, ceux qui, dans l’opposition, sont les plus proches des milieux mondialisés plaident aujourd’hui pour que cette réconciliation ait lieu.
L’enjeu est de taille : il doit permettre la survie d’une culture de soumission dans la société, et empêcher l’émergence d’une revendication démocratique selon laquelle chaque citoyen est responsable et doit participer au pouvoir librement.
C’est pourquoi les adeptes de la réconciliation prennent bien soin d’innocenter Mr et Mme Toulemonde dans la conduite de la politique sanitaire. L’objectif est simple et carré : expliquer que la persécution des non-vaccinés, ce fut le fait d’une petite élite, et que le reste des bureaucrates qui nous ont persécuté ne porte aucune responsabilité dans ce fascisme ordinaire qui s’est mis en place.
Mais bien sûr, le brave Français ordinaire, le contrôleur de la SNCF, le directeur d’hôpital, le bureaucrate obscur, qui ont fait de l’excès de zèle, ne sont responsables de rien. La faute ne tient qu’à quelques personnes, qu’à quelques chefs. Les autres n’ont pas été des bourreaux, ils ont été des victimes.
On voit bien la manoeuvre qui consiste à éviter de jeter le bébé avec l’eau du bain : on fait tomber quelques têtes et, pour le reste, on recommence comme avant, avec la même pulsion fascisante qu’on ne prendra certainement pas le temps d’exorciser.
Épurer et purger le fascisme ordinaire propre à la covidolâtrie
J’entends bien le calcul Sioux qui est fait, et je souhaite ici le dénoncer très calmement.
Dans la pratique, nous ne voulons pas nous venger, ni assouvir une quelconque pulsion de haine. Si tel était le cas, nous serions beaucoup plus virulents et quotidiens dans la lutte.
Nous voulons simplement deux choses.
La première est que les préjudices soient réparés. Les soignants suspendus ont subi des pertes sèches, comme tant d’autres. Les privations de liberté que nous avons subies faute d’être vaccinés ont un coût, qu’il soit matériel ou moral. Il doit ouvrir droit à une indemnisation matérielle et morale.
Surtout – et c’est notre deuxième revendication – nous nous sommes fait avoir une fois, et nous ne voulons surtout pas que cela recommence. Il faut donc que les Pinot simples flics qui ont participé à cette persécution collective soient tous sensibilisés et conscientisés sur le rôle véritable qu’ils jouent dans la société. Ils ne sont pas de simples pions, comme la caste adore le leur faire croire, et comme certains dans la Résistance le leur disent aussi.
Ils sont en réalité des acteurs de la société, des citoyens. À ce titre, ils sont indispensables à l’ordre spontané de la société. Tout défaut de leur part a des conséquences incalculables pour le reste de la société.
Je voudrais conclure ces remarques par une perspective différente sur le même propos. Depuis la mise en place de la dictature sanitaire, les Résistants s’emploient à s’organiser et à construire un rapport de force politique pour reprendre le pouvoir et le contrôle de leur propre existence. J’entends bien que, parmi eux, certains s’ingénient à savonner les planches qui servent à hisser nos canons en haut de la montagne pour empêcher notre Dien-Bien-Phû décisif. Et dans cette stratégie de diversion, tous les prétextes sont bons, tous les arguments sont mobilisés pour empêcher l’émergence d’une culture véritablement démocratique.
C’est à nous de prouver notre maturité en déjouant ces sophismes et en restant debout, résolus, sereins et libres face à notre destin historique.
Une fois que nous aurons réglé les problèmes, nous pourrons nous réconcilier.
Oui, la réconciliation ne peut se faire sans vérité, ni le pardon être accordé sans repentir et volonté de ne plus recommencer.
Une prise de conscience est nécessaire: chacun est responsable de ses actes, et ce qui est légal n’est pas forcément moral.
Gorbatchev avait dit qu’après la chute de l’URSS, la France était le dernier pays communiste d’Europe. Le communisme commence dans les cerveaux, quand on croit que l’Etat dit toujours la vérité et qu’il veut forcément notre bien. C’est cette mentalité qui autorise tous les abus de pouvoir et le sacrifice des individus sur l’autel d’un bien collectif manipulé.
Ce n’est pas pour rien que c’est en France que le pouvoir s’obstine à ne pas réintégrer les soignants (et autres) suspendus…
Une remarque: les « Pinot simple flic » ont été souvent les entreprises, fidèles relais de la propagande et de la coercition. Comme elles continuent pour beaucoup à promouvoir la culture woke (il n’y a qu’à voir leurs publicités… ).
Bien vu sur le ‘capitalisme woke’ qui en ‘Occident collectif’ otanisé s’occupe de « l’intérêt général » en intimité avec l’oligarchie politique en place.
Cher Eric, lors de la première le réalisateur a dit 35000E si j’ai bien entendu. J’ai déjà vu le film deux fois. Je ne comprends pas ce que vous dites : « l’émergence d’une revendication démocratique », « l’émergence d’une culture véritablement démocratique. » Je veux de l’électricité à gogo et pas cher, voyager en France sans problème, sans pénurie alimentaire ni trop d’impôts, diminuer la dette de la France, ne pas voir de femmes voilées ou de brabidous dans la rue mais plein de jeunes enfants. Nous sommes en postdémocratie Eric.
Totalement d’accord avec vous, M. Verhaeghe.
Je souhaiterais illustrer vos propos par un épi-phénomène qui m’a marqué lors du premier confinement.
C’était dans les premiers jours, en mars 2020 donc.
Le JT d’une chaîne de télé montrait dans un reportage comment la maréchaussée contrôlait les citoyens qui sortaient pour faire quelques courses.
Il s’agissait dans ce cas d’un petit groupe de gendarmes dans un village.
Et soudainement une officier gendarme prenait à partie une femme sortant d’un super-marché avec un caddie contenant 6 grosses bouteilles de Coca.
Et elle lui disait avec véhémence que » les produits de première nécessité » ce n’était pas çà !
Cela m’a profondément choqué.
Je me suis fait la réflexion que jusqu’alors les policiers et les gendarmes méprisaient ouvertement les gardiens de prison et les traitaient de » matons « .
Et qu’il avait suffi de 24 heures pour que les policiers et les gendarmes se transforment en matons …
100% en phase! Résister selon moi est bien plus qu’une posture. C’est avant tout un combat. Or l’ennemi est loin d’avoir perdu la guerre qu’il nous a déclarée. Donc en tant que résistants nous devons combattre. Qui est l’ennemi? Bien sûr il y a les criminels eux mêmes, ceux qu’on peut appeler les délinquants avérés de premier rang (corruption, mesures délirantes et immorales, etc, la « caste et ses inféodés » en somme) mais il y a aussi tous ceux qui les approuvent explicitement, i.e. activement (fact chekers bidons, trolls, « experts de plateaux TV, rédacs chefs mainstream, etc) ou implicitement par peur ou ignorance ou passivité ou déni ou autres, au fond peu importe. Comment cet ennemi polymorphe? Là est la question. Nous devons travailler en meute (comme font les délinquants, d’ailleurs) en nous efforçant de faire perfuser l’objectif de notre combat: « purger le fascisme ordinaire propre à la covidolâtrie ». Et pour cela nous devons impérativement « toucher l’opinion », pas que nous raconter le film entre nous! Pour aborder modestement les choses on se contentera dans un premier temps, de fissurer autant que possible ce que la propagande planétaire et donc aussi locale a perfusé depuis bientôt trois ans dans l’opinion. Le film de L Firode et ses suites va dans ce sens à condition que nous en soyons les relais et soutiens très fermes. Bien d’autres idées de cette nature sont faisables, je pense.
Off record: Il faut en discuter mais « pas sur les réseaux sociaux! » . Ces réseaux sont un livre ouvert pour la caste. De même que les sites du white web (blogs, sites)
En effet, il ne peut pas y avoir de de réconciliation avec des gens qui ont non seulement manqué de courage et se sont soumis à n piqures sans broncher, et qui ont aussi déclaré de la haine vis à vis de ceux qui ne se sont pas fait vacciner, leur reprochant même de les empêcher eux vaccinés de vivre, rendant les non vaccinés responsables de toutes les mesures liberticides décrétées par la caste. Un radiologue voulait même affamer les non vaccinés et leur interdire l’accès aux commerces alimentaires. Tant de bêtise, de veulerie et de bassesse est impardonnable. Une majorité de mes compatriotes sont des imbecikes,des salauds ou des lâches. Il faut le savoir et en tenir compte. Et les médecins ne sont pas les derniers. Je ne donnerai plus un rond à l’institut Curie, après les avoir » shamé « . Et mon voisin du pays basque qui reprochait aux non vaccinés de ne plus pouvoir aller au concert ne sera plus jamais invité!
Je comprends cette colère. Je dirais plus « objectivement » qu’une majorité de nos compatriotes se sont laissés « embarquer ». A nous de leur fabriquer des passerelles pour « débarquer »….
Fabriquer des passerelles pour « débarquer » dites-vous : OK, mais ceux qui se sont laissés embarqués voudront-ils emprunter nos passerelles, et avec quel état d’esprit ? Je reste dubitative sur ce point. Tant qu’ils n’auront pas compris où sont (et quelles sont) leurs responsabilités dans ce que nous avons vécu, tous ensemble mondialement, le passage par les passerelles risquent de râter leur but.
Le pardon en tant que chrétien n’est un simple dû. Il faut d’abord que celui qui a fauté demande à ce qu’on le pardonne. C’est à lui de prendre l’initiative. Ensuite si le mal fait est trop important, le fautif doit être jugé et condamné équitablement par la justice. A partir de là, on peut lui pardonner.
Le pardon en tant que chrétien n’est pas un simple dû.
Bon, une question tangentielle : vu la diffusion restreinte du film « Le Monde d’Après » en région parisienne, ou peut-on voir ce film sur internet, ou peut-on acheter un DVD, quand on vit en province ?
Je n’ai pas vu le film lui même. Que des extraits. Mais j’ai écouté Laurent Firode s’exprimer sur son « plan d’action » que je trouve très sensé. J’espère ne pas trahir sa pensée: d’abord une phase cinéma, au sens salle de cinéma réel, impliquant un contact avec le réel que nous voulons, une sorte de rupture avec une diffusion lâchée sur internet en pâture pour la censure sur les réseaux sociaux ou autres, et l’inévitable travail de sape des « chasseurs de complotistes ». Je crois qu’il a bien prévu une phase « édition de DVD » ultérieurement. A Paris Laurent et les acteurs du film étaient présents pour certaines séances. C’est à dire que les premiers pas c’est presque comme si on allait au Théatre! Pour info: Laurent dispose en plus d’un Monde d’après 2 presque terminé. Si le premier a fait beaucoup rire Eric Verhaeghe et obtenu beaucoup d’entrées cinema, on croise les doigts pour le deuxième!
Je précise, j’habite aussi dans une lointaine province du Sud de la France et la dispo du DVD m’arrangerait bien!
Le film a du succès. Il est reprogrammé actuellement indéfiniment au St Michel 75005 mercredi vendredi samedi à 19H. Oise salles ok. Puis province et en fin de compte DVD.
«Je suis l’être le plus pacifique qui soit. Mes désirs sont : une modeste cabane avec un toit de chaume, mais doté d’un bon lit, d’une bonne table, de lait et de beurre bien frais avec des fleurs aux fenêtres; devant la porte quelques beaux arbres; et si le bon Dieu veut me rendre tout à fait heureux, qu’il m’accorde de voir à peu près six ou sept de mes ennemis pendus à ces arbres.
D’un cœur attendri, je leur pardonnerai avant la mort, toutes les offenses qu’ils m’ont faites durant leur vie – certes on doit pardonner à ses ennemis, mais pas avant qu’ils soient pendus.»
Heinrich Heine, cité par Freud dans Malaise dans la civilisation.
Dans les commissions « Vérité et réconciliation » en Afrique du Sud, au Rwanda, on a commencé par exposer publiquement la vérité. Après la 2de guerre mondiale la dénazification de l’Allemagne a commencé par le renoncement des millions d’inscrits au parti nazi. Une sorte d’apostasie collective. Et devinez quelle corporation avait le plus d’adhérents au parti ? Les médecins, oui Monsieur.
Il n’y aura pas de réconciliation sans épuration. L’offense est trop ėnorme.
« …le plus d’adhérents au parti nazi ? Les médecins… » Mais dans le cas présent les médecins ont été simultanément collabos et dindons de la farce. Beaucoup vont en payer le prix (sur leur santé) tôt ou tard. Ils paieront d’avoir refusé de s’informer et de s’unir.
Les médecins « modernes », actuels, sont les plus stupides zelateurs des conneries covidistes. Évidemment, ils sont ultra-hygiéniste par nature, soumis à l’ordre des médecins et ceux des plateaux télé sont vendus aux laboratoires ou achetables si on leur fait une offre.
Mon généraliste, après m’avoir avoué qu’il n’était pas scientifique et qu’il n’avait pas le temps de s’informer lors d’une premiere consultation, m’a dit lors du e seconde consultation, soit vous vous faites vacciner, soit vous mourrez! En 3 ans je n’ai pas eu le covid, et je n’ai pas revu ce praticien. Si je suis malade j’irai voir un vétérinaire!
Ultra-hygienistes
Oui, les médecins sont (pour la plupart) complètement abrutis et c’est un vrai problème.
Mais il ne faut pas perdre de vue que ce ne sont pas les seuls, nous assistons au naufrage intellectuel et moral de toute la classe diplômée.
Il n’y a rien de pire que les subalternes à qui l’on donne un peu de pouvoir pour persécuter les autres, et le gouvernement le sait très bien. Quand ils auront retrouvé leurs esprits, ceux-là se demanderont peut-être comment ils ont pu en arriver là.
Mais derrière les « Pinot simple flic », se trouvaient de zélés responsables d’entreprises ou d’administration qui, non seulement n’avaient pas à subir les conséquences des ordres qu’ils donnaient, mais infligeaient la propagande à l’écrit ou à l’oral, façon abrutissement.
Bien vu HUGER sur le ‘capitalisme woke’ qui en ‘Occident collectif’ otanisé s’occupe de “l’intérêt général” en intimité avec l’oligarchie politique en place.
Et la contenance de ces injections ainsi que leur véritable intention sont pour moi un flou artistique plus angoissant qu’une fiction de stephen Kings.
En effet. Peut-on « passer l’éponge » après cela:
https://www.bitchute.com/video/2YXJRxLHObfZ/
Sous prétexte de « je ne savais pas’, j’ai obéi aux ordres »?
Alors, afin de dissiper ce flou, permettez-moi de vous orienter vers des sites tels que « planete360.fr – nouveau-monde.ca –
mondialisation.ca – sott.net
Déjà avec ceux-là, votre vision sur ces injections devraient rapidement s’éclairer.
(si bien sur vous le souhaitez sincèrement et si vous êtes prêt psychologiquement).
Bonne journée.
Pour ma part, je suis plus choqué par les gens qui obéissent et font obéir que par les pervers d’en haut.
Car les pervers d’en haut, c’est dans leur nature et ils ont beaucoup à y gagner.
Mais les petits kapos d’en bas ? Ils ont à y gagner un petit pouvoir local de rien du tout, c’est minable.
Certes, les exécutants de cette basse politique ont fait du zèle mais ça n’était possible que par la large adhésion des gens ordinaires, dont l’agressivité s’exprimait en toute occasion qu’offre la vie courante (conversations dans la rue, les commerces, au travail, en famille, chez le médecin…). La politique sanitaire a empoisonné le climat social, la « guerre » contre le virus s’est réorientée avantageusement pour ce gouvernement d’autant plus manipulateur qu’il est incapable. Pardonner à celui qui souhaite ne pas voir soigner les non-vaccinés, reproche à ceux-ci le coût des tests auxquels on les contraint, persécute des soignants auxquels il doit tant, pour finir par ruiner l’hôpital et la santé aux frais de tous? Vraiment non!
Il y a, dans cette histoire, de l’irréversible et remarquons que beaucoup de gens se situent désormais en fonction de cette crise ( » c’était avant le covid.. » entend-on dire).
Je suis d’accord avec vous : il est bien trop tôt pour parler de « réconciliation ». C’est une manœuvre du Pouvoir visant à passer l’éponge sur toutes les saloperies qu’ils ont commises. Mais, je crois qu’il y a une seconde raison résultant du manque de réaction apparent de la population à la politique mortifère du régime et surtout une absence de coopération d’une bonne partie de cette population. En clair, çà obéit encore un peu mais mal et surtout, une très faible adhésion au discours dominant, en regard de la propagande massive pourtant déployée. C’est une sorte de « l’Aventin mental » où nombreux ont trouvé refuge et dont il ne faut pas sortir tant que le tyran sera encore en place. Cela doit se voir sur le taux d’écoute réel des interventions publiques de la caste. C’est tout un peuple qui s’est terré et cela doit inquiéter beaucoup dans les sphères du pouvoir car c’est vu comme un mouvement de résistance semi-clandestin.
D’accord sur le fond, mais pour l’instant c’est la doxa qui domine. Même parmi ceux qui demandent la réintégration des soignants à l’assemblée nationale la majorité restent dans le narratif officiel : « le vaccin c’est bien, il faut qu’ils se testent(tous les jours !! ?? ) , le masque c’est bien ».
Oui. Je trouve que beaucoup de résistants crient victoire beaucoup trop tôt :
1) Le délire fasciste covidiste n’est absolument pas remis en cause. On concède quelques excès mais « dans l’ensemble, on a bien fait ».
2) Ces excellentes méthodes absolument pas remises en cause sont donc prêtes à servir pour une autre cause, ou la même réactivée.
Ne pas oublier le moteur très puissant du fascisme contemporain : dans une société atroce, désocialisée, déshumanisée, beaucoup trouvent du réconfort dans la fausse sociabilité et dans la fausse sociabilité du fascisme (succès des slogans débiles « pour les autres »).
Ni pardon, ni oubli !
Un texte magnifique de Sébastien Recchia, à l’adresse des moutons de Panurge : https://crowdbunker.com/v/sKz8VBmTi5
Lors de la seconde guerre mondiale, en France, il y a eu moins de 1% de résistants. A la fin de celle-ci, il n’y a eu aucune épuration, ce qui a permis aux artisans et aux « soutiens » (forcés, lol) de la collaboration de continuer leurs activités sans remord et de permettre à leurs descendants de se comporter exactement comme eux dans le cadre des entailles de plus en plus sanglantes dans nos libertés. Le tout sans la moindre vergogne, passés à travers les gouttes une fois, passeront à travers ad vitam. Donc ni pardon, ni réconciliation. Les fossés de Vincennes ou les pontons de Niort…
Comme il est de plus en plus manifeste que toute cette manipulation covidiste est à l’initiative d’une forme de conjuration de type maffieux, il faudrait tout de même commencer par identifier et juger en premier lieu tous les responsables au cours d’une « opération mains propres » à l’instar de ce que la justice italienne a tenté en son temps. Car il n’y aura point de réconciliation possible sans que justice ne soit rendue.
https://odysee.com/@GiletteJaune:8/Hommage-aux-collabos-S%C3%A9bastien-Recchia-officiel-24-11-2022-:b