On ne peut pas imaginer meilleur symbole de l'ère des anti-lumières qui est tombée sur la France que la préparation du gouvernement Borne à des coupures d'électricité. C'est l'occasion de faire un bilan du macronisme. Et d'observer comment, dans le monde occidental, c'est, au fond, partout le même combat qui se joue, contre le déni de réalité, pour la liberté.
C’est un morceau d’anthologie: « « Aujourd’hui, nous dépendons du ciel » : comment le gouvernement se prépare à de possibles coupures d’électricité massives » tel est le titre d’une dépêche de France Info datée du 30 novembre. Je prends le temps de la citer largement et j’imagine que vous allez vous frotter les yeux pour être sûr que vous êtes bien réveillés:
« Alors que les températures chutent, RTE, le gestionnaire du réseau d’électricité, l’assure, il n’y aura pas de blackout en décembre. Mais après les fêtes, impossible de prédire quel temps il fera. Alors le gouvernement se prépare et prépare les esprits.
Le message rassurant a été porté par Elisabeth Borne, la Première ministre, mardi 29 novembre, en conseil des ministres et répété par le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, qui parle en cas de scénario critique de « dispositif exceptionnel de dernier recours », c’est-à-dire de coupures d’électricité. »
Respirez un bon coup. Ce n’est pas fini: « En coulisse, certains ministres en première ligne ont des sueurs froides. « S’il doit y avoir des coupures, on entre en terre inconnue », lâche l’un d’entre eux. Car pas d’électricité, c’est pas de lumière, pas de chauffage, mais pas non plus de téléphone, ni mobile, ni fixe, rappelle un spécialiste au sein du gouvernement. »
Et cela va crescendo: « Plus de téléphone, plus d’internet, plus aucun moyen de communication, ni d’information…. Ils sont plus d’un à blêmir en évoquant ce qui ressemble à un scenario catastrophe. Le gouvernement joue-t-il à se faire peur et à nous faire peur ? Ou est-il réellement inquiet d’un risque de blackout ? Ce qui est certain c’est que la communication du gouvernement va crescendo pour que les Français, le moment venu, se mobilisent et réduisent drastiquement leur consommation.
Emmanuel Macron lui-même prendra la parole le jour où Ecowatt, le dispositif d’alerte des crises d’énergie, annoncera le premier jour « rouge », prédit un ministre, qui s’attend déjà à entendre le chef de l’Etat faire une piqûre de rappel lors de ses vœux du 31 décembre. D’ici là, le pouvoir affiche sa mobilisation : « Rien n’est exclu, rien n’est confirmé. Mais en responsabilité, nous nous préparons », dit Olivier Véran. Car en fait, tout va dépendre de la météo. Un poids lourd du gouvernement l’admet : « Aujourd’hui, nous dépendons du ciel ».
Le gouvernement des anti-Lumières
Vous avez bien lu: « Aujourd’hui nous dépendons du ciel »….Nous avons un gouvernement qui s’apprête, mi-décembre, à nous proposer un nouveau projet de réforme des retraites, qui voudrait même légiférer sur la « fin de vie » mais qui n’est même pas capable de maîtriser les interrupteurs.
Peut-on imaginer illustration plus concrète de la triste réalité de l’ère Macron? Au sens littéral du terme, par une politique de Gribouille sur l’énergie nucléaire et pour nous avoir mêlé sans motif à prendre parti dans un affrontement géopolitique entre Américains et Russes, le gouvernement va nous couper la lumière par intermittences. Au propre et au figuré, nous avons affaire au gouvernement des anti-Lumières. Nous parlions hier de la « Grande Régression ». Eh bien elle nous mène tout droit à l’obscurantisme.
Bien entendu, Macron n’est pas seul. en cause. Mais les années qu’il a passées à la présidence ont servi à rendre visible le basculement. Sarkozy et Hollande ont fait des erreurs; mais ils donnaient encore le sentiment d’essayer de faire quelque chose de bien pour les Français. Avec Macron, c’est différent. On comprend de plus en plus que, derrière les slogans, il n’a jamais été là pour ses concitoyens.
A la place de la liberté, nous avons eu la loi sur les fake news, la répression féroce des Gilets Jaunes, les confinements, le pass sanitaire. A la place de l’égalité républicaine, nous avons eu les déclarations sur « les illettrées », les « gens qui ne sont rien », les « Gaulois réfractaires » etc..; nous avons eu les soignants et les pompiers suspendus. Au lieu de la fraternité, nous avons eu l’intention fermement formulée « d’emm…les non-vaccinés » contre le COVID, la formule récurrente du Président: « Nous sommes en guerre ». Et puis, pour finir, la participation, de facto, à la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Avec, au bout de la route, potentiellement, inéluctablement, des coupures d’électricité.
La gestion de la crise du COVID, irruption d’un nouveau charlatanisme que confirme la guerre d’Ukraine
La crise du COVID a été le premier révélateur. D’abord, il ne fallait pas de masques puis il en a fallu; on a écarté des traitements efficaces et évidents – et ceux qui les prônaient, pour faire la place à des vaccins expérimentaux, dont il apparaît de plus en plus qu’ils ont des effets secondaires graves. On a enfermé les gens pendant des semaines, ce qui est une méthode pour le moins primitive – et reconnue aujourd’hui comme peu efficace. On a insufflé la peur aux enfants et on a plongé les étudiants en dépression.
La guerre d’Ukraine est la seconde grande manifestation de notre installation dans l’ère des anti-Lumières: avec sa propagande hystérique, ses experts incultes en stratégie qui occupent les plateaux de télévision en boucle, l’autodestruction de l’économie française et européenne et la transformation des Ukrainiens en « chair à canon » pour assouvir une haine totalement irrationnelle de la Russie – non seulement de son président mais aussi de sa culture et de sa présence en Europe. Il ne faudra pas oublier que des banques ont fermé les comptes de personnes vivant en France, simplement parce qu’elles avaient un nom à consonance russe! Mais nous sommes en France; et des banques ne feraient pas cela si elles ne sentaient pas un climat sécrété par la politique gouvernementale.
Une gouvernance française de plus en plus autoritaire
Alors que les lumières s’éteignent, on entend que Macron fait tester l’hypothèse d’un troisième mandat – malgré la Constitution qui interdit désormais plus de deux mandats consécutifs :
« Les magistrats du [Conseil d’Etat] viennent d’autoriser Édouard Fritch, l’actuel président de la Polynésie française, à se présenter pour un troisième mandat – alors que la loi organique de 2011, qui régit les institutions de la collectivité d’outre-mer, lui interdit d’exercer «plus de deux mandats de cinq ans successifs». L’astuce, c’est qu’Édouard Fritch n’a pas effectué deux mandats de cinq ans : il a été élu une première fois en 2014 suite à la démission de son prédécesseur, puis réélu en 2018 pour cinq ans.
L’éclairage du Conseil d’État, demandé par le gouvernement et exceptionnellement rendu public à la demande de l’exécutif, peut-il être étendu aux règles constitutionnelles s’appliquant à la présidence de la République ? Un président qui n’aurait pas accompli deux mandats complets (donc par exemple, qui démissionnerait avant la fin du second mandat) pourrait-il se représenter une troisième fois d’affilée ? » L’idée est défendue par l’ancien Garde des Sceaux des es gouvernements Valls et Cazeneuve, Jean-Jacques Urvoas. Et elle a été reprise dans de nombreux médias. A ce rythme on va tout droit vers le culte obligatoire du chef et la récitation de poèmes par les enfants, dans les écoles à la bougie. – et sans chauffage (il y a quelques semaines, on nous a alertés sur des écoles de la région de Rouen où il faisait 11°C dans les salles de classe)
En attendant, Madame Borne est devenue « Madame 49-3 ». Elle vient d’engager la responsabilité de son gouvernement pour la septième fois depuis le début de la session parlementaire: cette fois pour l’ensemble du projet de loi sur la sécurité sociale.
Féroces batailles, dans le monde occidental, autour de la libre circulation des informations
Ce n’est pas une consolation mais la France n’est pas seule dans sa régression à l’opposé des Lumières.
Un terrible épisode a eu lieu, aujourd’hui à Bruxelles. La présidente de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen, avait, pour une fois dit la vérité sur le conflit ukrainien, en évoquant 100 000 soldats tués. Cela aurait pu signifier le début d’une prise de conscience dans l’opinion européenne, de l’absurdité d’une attitude consistant à encourager l’Ukraine à se battre en lui fournissant des armes, sans qu’elle ait pour autant une chance de gagner la guerre; et à envoyer des dizaines de milliers d’Ukrainiens à une mort certaine. Eh bien non! Le service de communication de la présidence de la Commission a expliqué que Madame von der Leyen s’était trompée, qu’elle avait amalgamé des morts et des blessés au combat.
La mésaventure de madame von der Leyen – mais n’a-t-elle pas largement contribué au climat hystérique de déni de la réalité de la guerre d’Ukraine? – n’est finalement qu’un épisode de la lutte féroce qui se déroule, à l’échelle du monde, entre ceux qui parlent du réel et ceux qui veulent le camoufler. On apprend que Google et You Tube ont remis 13 millions dans un fonds pour les « fact checkers ». Et ceci la semaine même où ‘Fact & Furious » a explosé en vol en France.
Finissons pourtant sur une note d’espoir. Apple a menacé Elon Musk, s’il continue à promouvoir le rétablissement de la liberté d’expression à partir de twitter, de faire disparaître l’application de l’Apple Store. Cela ne semble pas impressionner Musk plus que cela. A un message qui lui demandait s’il pourrait créer sa propre marque de smartphones en cas de guerre totale avec Apple et Android, Musk a répondu; « J’espère qu’on n’en arrivera pas là, mais, oui, s’il n’y a pas d’autre choix, je ferai un téléphone alternatif ».
Au fond, quand Musk aura réglé les problèmes de twitter, nous devrions lui demander de s’intéresser à notre nucléaire civil et notre approvisionnement en électricité!
I certainly hope it does not come to that, but, yes, if there is no other choice, I will make an alternative phone
— Elon Musk (@elonmusk) November 25, 2022
Strategie de manipulation des cervelles bien connue (quoi que..) les Mougeons acceptent toujours un mesure inacceptable si elle est différé. On appelle cela la stratégie du différé. Micron et toute sa clique en use et en abuse..
Exemple tout bete..un employeur veut virer des salariés.. Il va les préparer psychologiquement « que l’avenir est incertain qu’il va falloir faire des économies pour sauver l’entreprise.. et donc faire des sacrifices. et patati et patata… « enfin bref vous avez compris.
Il faut arrêter de blablater sur la bête et AGIR !!! Il doit être mis hors d’état de nuire. Dire qu’il est méchant, pas gentil, dur avec les français il a en rien à battre le psychopathe, au contraire c’est même jouissif pour lui. Allons un effort changez de braquet sur cds,a moins que vous aillez des craintes ? Si « oui » lesquelles je vous prie ?
Pas d’accord: maqueron est le plus convaincu d’entre NOUS voilà tout. Le plus agissant du pays des socialo. Enlevez maqueron et 80% d’entre NOUS le réclameront à grands cris.
Bien envoyé. Par contre il manque un élément essentiel de mon point de vue: maqueron c’est NOUS, le monde occidental c’est NOUS, les meilleurs d’entre nous et personne d’autre. Apple &ses iPhone pareil. Combien de Elon Musk au pays des socialo? SVP.
Il suffit de voir quand on discute avec les gens la remarque typique : mais tu voulais que l’on vote pour qui d’autres ? On n’a pas le choix, c’est le moins pire
Les gens pensent réellement que Macron est un centriste un peu pour les riches mais aussi un peu socialo… personne ne comprend que sa clique fait partie des extrêmes ; le narratif créé autour de lui a fonctionné
Les gens ont tellement peur d’être traité de raciste ou de populiste en France qu’ils sont obligés de rester dans leurs positions quitte à se faire égorger ou décapiter dans la rue comme la France le permet aujourd’hui
Mieux vaut perdre sa tête que de sauver l’avenir de ses enfants … quand un peuple en arrive là ; il est à mon sens grand temps qu’il disparaisse ; il ne mérite plus le salut
Ceux qui veulent y échapper devront s’allier avec une civilisation amicale car le gaulois est mort
A force de nier l’évidence on perd son énergie dans les mauvais combats
@Trucmuche Ça va même plus loin. maqueron est l’aboutissement de 40 ans qui ont façonné le pays des socialo, NOUS tous, personne d’autre. Il est le meilleur d’entre nous, pas du tout le résultat d’une manipe comme je le lis partout. Le classique: nous sommes intoxiqués, matrixés comme on dit maintenant. Je prétends que nos media, d’abord, et nos politiques ensuite nous suivent. Nous puis eux, dans cet ordre: la demande vient de nous. Attitude de consommateur gâté, de boumeur socialo. Je suis beau je suis bon, faites péter des animateurs /candidats qui me méritent, briyants, beaux gosses. Et puis comme c’est jamais assez beau on enchaîne: maqueron m’a tueR, kess kisson NULS!! crétins, comiques, je suis trahi; moi-je, moi-je…
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le socialisme même toujours à la pénurie, mais beaucoup ne veulent pas le voir.
Entre 1945 et 1973, la théorie keynésienne reçoit une large confirmation grâce au succès des politiques économiques des Trente Glorieuses.
Après le premier choc pétrolier cependant, les libéraux prennent leur revanche sur Keynes.
Ces économistes néolibéraux considèrent que le marché est le meilleur régulateur de l’économie et préconisent donc un désengagement de l’État.
Ces idées ont été mises en œuvre au cours des années 80 par R. Reagan aux Etats-Unis,
par M. Thatcher en Grande-Bretagne, et par F. Mitterrand en France.(le fameux tournant de la rigueur de 83 !)
En France, un processus de privatisation est mis en place et les marchés financiers sont partiellement délégués.
Les salaires sont désindexés sur les prix pour la première fois depuis trente ans.
Enfin, le choix est fait de rester au sein du Système Monétaire Européen, afin de réduire la différence d’inflation vis-à-vis de la RFA.
Mitterrand adopte alors les politiques libérales de Libéralisation, Privatisation et Déréglementation.
Il est important de retenir que les conséquences de ce tournant politique sont, autant sur le plan économique que sur le plan social, très mitigées.
Si c’est cela que vous appelez « socialisme », alors Mitterrand est le plus grand traitre à son propre parti !
Tout comme Sarkozy l’a été pour la droite stupide, sur le plan sociétal et économique en nous vendant aux U.S.A…
Bien utile ce petit rappel en tout cas je partage.
J’apprécie le courrier des stratèges mais cette fixette récurrente sur une caricature de socialisme est un peu agaçante.
Parfois on croirait entendre Fillon c’est tout dire…
Merci Pierre 493, quelques commentateurs se contentent de cracher dans la soupe et de tirer à »boulets rouges » dès qu’il s’agit de SOCIAL, comme s’ils n’en profitaient pas eux aussi !
Leur argumentaire inexistant s’apparente plutôt à l’aile gauche qui vocifère sans proposer une interprétation CONSTRUCTIVE, à part : « Ailleurs c’est mieux ! »
A vérifier…
Après le choc pétrolier (et l’accès de VGE au pouvoir), la place de l’Etat, ainsi que la dette étatique ne cessent de monter : c’est aussi cela le socialisme.
Quel raccourci tiré par les cheveux !
État =Socialisme ?
L’anarchie vous conviendrait-elle davantage ?
La loi de la jungle est précisément celle que l’on cherche à faire régner, en jetant le bébé (équité) avec l’eau du bain (sociétale) !
Il a raison : il ne faut pas gêner. La masse idiote soumise et collabo les rend encore plus fous et autoritaires
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/11/30/les-vrais-coupables-ce-sont-les-victimes-suite-jai-toujours-pense-que-labsence-totale-de-resistance-rend-un-pouvoir-toque-encore-plus-totalitaire-et-fou-et-cest-ce-qui-se-passe-en-france-o/
Si nous étions vraiment en guerre, le gouvernement se tournerait vers l’autorité de sûreté nucléaire (ASN) et prendrait d’autorité une dérogation pour remettre en route de façon temporaire quelques centrales nucléaires. En effet, une bonne part de nos 26 centrales à l’arrêt le sont par mesure de précaution, parce que des traces de corrosion ont été détectées dans le circuit de refroidissement de certaines d’entre elles. L’ASN, qui cultive depuis toujours le fantasme du risque zéro, a ordonné l’arrêt de toutes les centrales du même type jusqu’à ce qu’une solution pérenne soit trouvée.
Or il est évident que la plupart de ces centrales pourraient fonctionner quelques mois de plus sans qu’une fuite survienne. Et même si une fuite survenait, il s’agit du circuit secondaire, le circuit de refroidissement, qui n’est nullement radioactif. En cas de fuite l’exploitant pourrait arrêter la centrale en toute sécurité.
Mais l’ASN reste fidèle à ses principes ayatollesques. On ne peut pas le lui reprocher c’est en connaissance de cause que le législateur a voulu un organisme de contrôle rigoureux et fiable.
En revanche le pouvoir exécutif a le droit de décider contre l’avis de l’ASN, qui n’est qu’un conseiller. Et à la guerre, tous les militaires vous le diront, il arrive que le chef décide de s’affranchir de certaines règles de sécurité, après avoir évalué les risques et les bénéfices. C’est sa prérogative, et c’est pour faire ce genre de choix qu’il y a un chef.
Des commentaires, monsieur le président ?
Quant un projet d’OPA est planifié sur une entreprise, pour un peu plus tard la revendre à la découpe, il est opportun de faire en sorte que le prix d’acquisition de la « victime » soir au plus bas augmenter d’autant la plus-value à la revente.
C’est ce qui c’est passé en 2014 pour Alstom, alors que Macron était déjà dans le gouvernement Hollande et organisait secrètement la partition de cette entreprise avec ses « contacts » américains de chez Rothschild.
Même opération aujourd’hui pour « liquider » EDF en trois groupes distincts dont seule la partie électronucléaire vieillissante sera conservée par la France, à la charge du contribuable. La nouvelle partie électronucléaire (les EPR-2) sera cédée au revendeurs alternatifs étrangers, opérants sur le marché EPEX de l’énergie. Et il en ira de même avec la partie « Energies alternatives ».
Et aussi de belles opérations boursières en perspective par l’achat massif de valeurs cotées au plus bas, pour les revendre ensuite au plus haut.
Eh bien…
En tout cas il est clair qu’EDF est dans une canule qui va plomber durablement ses comptes. Incapable de répondre à la demande au plus fort de l’hiver, elle devra acheter de l’électricité au prix spot, à la fois pour servir ses clients et pour alimenter les fournisseurs alternatifs, alors que tous deux payent au prix réglementé.
La terre reverdit pourtant. +14% de vert en trente ans.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/12/01/coupures-de-courant-cet-hiver-et-les-autres-le-gouvernement-a-un-plan-dixit-le-figaro-en-se-tordant-de-rire-parlement-de-saligauds-miraculeusement-paralyse-et-devenu-totalement-inutile-il-justi/
Depuis 1981, la défense des surendettés reposent sur la théorie de l’imprévision qui est le contraire du consentement éclairé. Le réel m’a trompé, la justice me donne un moratoire ou absous ma dette.
Ce qui était du domaine privé et restait l’exception, devient la règle d’état.
Dans son imprévision l’Etat oublie de sécuriser l’énergie nécessaire au développement de l’humanité. C’est trop risqué politiquement, car la rumeur lancée par le G7 dit que la consommation d’énergie réchauffe la planète et crée des déchets indestructibles, matière radioactive ou gaz carbonique. Un deuxième volet idéologique encore plus pernicieux dit que la consommation générale, moteur de la croissance économique, génère des plastiques indestructibles car ils ne valent pas la peine d’être recyclés et sont jetés à la mer.
La génération Macron, dont le QI est en chute libre, est complètement dépassée par les faits et ne voit d’autre solution que de réduire l’humanité à sa plus simple expression: Cyborg.
« Alors que les lumières s’éteignent… » et cætera et cætera… Mais les français ont voté et réélu Macron, idem pour les abstentionnistes car c’était voter pour, ce qu’à certainement fait l’auteur de l’article, et je le lis. J’ai fait mon bois , allumé mon insert, et regarde vitupérer tout un monde contre celui qu’ils ont conforté, et je ne plains personne. Comme on fait son lit on se couche. Je dors bien et sans états d’âme, tout simplement curieux de la suite.
C’est pas Macron qui avait dit que celui qui ne voulait pas la 5G qu’il aille vivre comme les Amish aux Etats Unis.
Finalement c’est lui qui nous dirige vers ça.
Moi ce qui me semble important c’est que les coupures d’électricité qui seront effectuées par tranches de 2000 foyers et qui ne dureront en principe que 2 heures ne soient effectuées qu’une seule fois, c’est-à-dire qu’Enedis et RTE tiennent un registre de toutes les lignes déjà coupées pour éviter de les priver à nouveau d’électricité pendant l’hiver. Ainsi la situation grotesque des coupures deviendrait presque supportable.
Bien vu !
Notre petit papa Macron nous infantilise, il fait les gros yeux, joue au père Fouettard, si nous obtempérons sagement, il suspend ou revoit la punition à la baisse.
C’est ainsi que l’on dresse le troupeau.