L’amalgame immédiat et systématique, de même que la jurisprudence Godwin, semblent être devenus des principes inébranlables de la vie politique française. En général, il suffit de pouvoir démontrer qu’une chose ou une idée quelconque a le moindre rapport – même de parenté au 3e degré – avec n’importe quel régime antérieur à 1945 pour discréditer non seulement la chose ou l’idée, mais même tous ceux qui oseraient la défendre.
Il existe une seule exception à ce strict régime du soupçon paranoïaque : l’Ordre des médecins, créé par l’État français du Maréchal Pétain, et jamais remis en cause depuis lors. Le principe même de son fonctionnement illustre pourtant parfaitement le mépris des libertés civiques qui constitue la substance même de tout régime fasciste (ou communiste : ils se ressemblent tant !). Dernier en date des exemples de ce fonctionnement : la radiation du docteur Stéphane Gayet – à qui on peut et doit, en tout et pour tout, reprocher d’avoir guéri des gens. Mais il l’a fait au mépris des protocoles de l’OMS, organisation « internationale » (de facto privée), contrôlée par la fondation Gates.
Bienvenue dans le fascisme des parties prenantes (*) !
Il arrive que les résultats de la modernité démocratique et ceux de la modernité post-démocratique entrent en conflit : pensons à des figures comme celles de F. Philippot ou d’A. Loukachenko. Mais il existe aussi un scénario de transition non-traumatique entre ces deux époques – et c’est bien ce scénario que Klaus Schwab entend promouvoir à travers son Forum Économique Mondial : quand le nouveau progressisme autoritaire et internationaliste de la philanthropie davosienne en bande organisée réussit à se couler sans heurts dans les moules hérités du fascisme et/ou du communisme. C’est ce second cas de figure qu’illustre si bien la scandaleuse affaire du docteur Gayet.
Dans les années 20-30, plus de la moitié des médecins allemands étaient inscrits au parti nazi. Ce qui en fait la profession la plus nazie de toutes. C’est un fait. Ce qui m’étonne, c’est qu’il reste des médecins résistants, pas que les Ordres soient …aux ordres.
A force de vous enfoncer avec genre d’article vous allez bientôt trouver du pétrole et on n’aura pas besoin d’acheter aux Russes…
Imparable argumentation.
Je ne peux pas répondre c’est effacé à chaque fois.
Alors pour argumenter…
Si vous cherchez quelqu’un qui ne veut pas se rendre compte de la réalité: ne cherchez plus: Yo est là pour vous.
Au fait, Yo, ton vaccin miracle qui tue les gens face à l’ivermectine qui sauve, çà te dis d’écouter:
https://twitter.com/Le__General_0ff/status/1607462021615783937?s=20&t=-NH75AHLHs7mlq0X33C2Xg
Quant à trouver du pétrole, y’a pas de besoin: les russes nous le vendent par le biais de l’inde, de la chine et par le détroit du Bosphore grâce à la Turquie qui laisse passer les bateaux tant qu’ils sont assurés (même par des compagnies russes).
Au moins cette fois Yo n’essaye pas de faire passer son opinion pour un argument
Cela dérange toujours mais c’est aussi cela la liberté d’expression et là il assume son orientation
“Parties prenantes” est une expression très employée par nos élites. Je la comprends au sens propre: “parties qui prennent”, c’est-à-dire qui se servent…
Si l’on ne veut pas s’égarer du coeur de l’article, on peut se souvenir que le Conseil de l’Ordre des Médecins a été utilisé pour exclure les médecins juifs. Il aurait dû disparaître après la guerre
Le conseil de l’ordre des médecins a disparu du 27 août au 12 octobre 1944.
Les premières élections du conseil de ordre, en 1943, furent les seules élections tenues sous le gouvernement de Vichy. C’est dire si le pouvoir ne se sentait pas menacé par les médecins.
‘…tout régime fasciste (ou communiste : ils se ressemblent tant !…’ : au détour d’une phrase et sans l’ombre d’une intuition qu’une démonstration serait nécessaire, la reprise décevante de la vieille scie arendtienne promus par la CIA pour faire croire que le capitalisme débridé à l’américaine, massivement investi derrière les cartels allemands qui ont fait Hitler, n’est pour rien, lui, dans les malheurs du vingtième siècle, et que le collectivisme à la russe n’est pour rien dans la restauration (provisoire) d’un ordre vivable en Europe…. Triste !