Renforçant l’économie russe plus qu’elles ne la déstabilisent, les sanctions imposées par l’oligarchie occidentale sous prétexte d’Ukraine visent en réalité la classe moyenne occidentale, qui doit être anéantie pour permettre la Grande Réinitialisation. La mise en œuvre d’un tel projet, comme la conduite d’un véhicule, doit constamment slalomer entre deux écueils : d’une part, l’excès de vitesse (qui risque d’amener les populations victimes au-delà de leur seuil de tolérance) ; d’autre part, une décélération précoce amenant la machine à s’immobiliser.
1 picture says it all…
— Guy Verhofstadt (@guyverhofstadt) January 2, 2023
9 packages of sanctions and the effect is less than 0 !
We are rewarding Russia for its war against us ! pic.twitter.com/k80XbYIkjA
Les conducteurs de telles opérations ont donc besoin, d’une part, d’un frein : dans l’Europe actuelle, ce sont les gouvernements de centre gauche qui, à Paris comme à Berlin, jettent tout juste assez d’huile sur le feu ukrainien pour l’empêcher de s’éteindre. Pour le camarade Mao dans le cadre de son propre Great Reset (nommé « révolution culturelle »), ce frein était l’armée chinoise.
Quand vos sanctions ne fonctionnent pas, redoublez de sanctions !
Mais ils ont aussi besoin d’une pédale d’accélération : les gardes rouges dans la Chine de Mao, et l’extrême-gauche du Parlement européen dans l’UE actuelle. Pour s’acquitter de sa mission, la pédale d’accélération doit être capable d’une critique acerbe : de dire certaines vérités que même la droite molle théoriquement opposée au Projet n’ose pas énoncer.
C’est cette réalité paradoxale qu’illustre un tweet récent de Guy Verhofstadt, qui, pour la première fois de sa vie, a dû assumer le rôle du diseur de vérité, en constatant que les fameuses sanctions ne punissent pas du tout l’économie russe. Sous-entendu : parce qu’il faudrait encore beaucoup plus de sanctions. N’oublions pas que le socialisme ne reconnaît jamais ses échecs que pour proposer d’y remédier par l’administration de doses encore bien plus massives de socialisme. En général, le patient ne tarde pas à en mourir – mais d’une mort extrêmement vertueuse.
Je ne sais plus qui disait que l’essence du fascisme, ce n’est pas le racisme, mais le sacrifice.
On dirait bien que nous y sommes…
Pour la caste, l’assassinat des économies européennes par l’imposture climatique suivie du film ukrainien, doublée de l’assassinat d’un certain nombre de “mangeurs inutiles” par de prétendus vaccins, et le tout précédé par l’assassinat des identités et de la culture, c’est assez bien trouvé.
Macron a dit une seule fois la vérité depuis 3 ans: « Nous sommes en guerre ».