C’est dans une semaine que doit s’ouvrir à Davos l’édition 2023 de la grande conspiration oligarchique mondiale chapeautée par le Forum (dit) Economique (dit) Mondial de Klaus Schwab – où l’on ne parle naturellement pas d’économie, mais de confiscation, et où la « philanthropie » est l’un des noms de code de la dépopulation.
Des listes de confirmations de participation qui ont comme d’habitude fuité, on peut d’ores et déjà s’efforcer de tirer quelques conclusions hypothétiques. Sans surprise, les minions ouest-européens de Schwab seront tous au rendez-vous, représentant généralement leurs provinces impériales respectives au niveau des chefs d’État et de gouvernement : Sánchez, Scholz, Berset, Rutte, Mitsotakis, la belle et pas farouche Sanna Marin, les polonais Duda et Morawiecki, le slovaque Hager, tous les chefs de bantoustans baltes ou moldaves (hors Estonie – détail intéressant ?) – et, bien entendu, le personnel au grand complet de l’Eurosoviet bruxellois, dont on peut d’ailleurs se demander s’il vient à Davos en qualité d’invité ou de domesticité.
Fuites sur Davos 2023 : deux bonnes nouvelles
La meilleure des nouvelles de cette fournée de fuites, c’est que la Biélorussie reste un pays sûr : dans la caverne d’Ali Schwab et des 40 000 voleurs, elle sera « représentée », non pas par les autorités légitimes et démocratiquement élues de Minsk, mais par la marionnette prognathe Svetlana Tikhanovskaïa, ancienne professeur d’anglais devenue résidente lituanienne.
Du côté de la Turquie, on ne peut pas ne pas remarquer que l’administration Erdoğan, à supposer qu’elle soit invitée et compte se rendre à Davos, n’a encore confirmé aucune participation – alors même que l’ex-ministre Ali Babacan, renégat de l’AKP qui se positionne depuis 2020 en vue d’une OPA euro-mondialiste sur le régime turc, lui, a d’ores et déjà confirmé la sienne. Cette quasi-absence (ou pire-qu’absence) contraste avec la très lourde représentation de l’Azerbaïdjan, avec son dictateur Aliyev en tête de délégation. Il est vrai que cet autocrate héritier d’une dictature policière semble dernièrement être cul et chemise avec Ursula von der Leyen, dite Miss SMS, premier commissaire de l’Eurosoviet.
Il me semble que Biden ne s’y rendra pas. D’un autre côté, comment le pourrait il ?
Et chez nous, qui seront les heureux élus ?