L’administration Biden a renouvelé l’urgence de santé publique Covid-19 mercredi. Annoncée par le secrétaire américain à la santé et aux services sociaux, Xavier Becerra, cette disposition donne à l’exécutif le pouvoir d’accorder une autorisation d’urgence des vaccins, des tests et des traitements COVID-19 gratuitement. Comme au début de la pandémie, on voit bien ce qui se présentait comme “scientifique” n’est en fait qu’une politisation des crises sanitaires.
Dans l’émission 60 minutes sur CBS du 18 septembre, le président Joe Biden avait déclaré que la pandémie du Covid-19 est désormais « terminée » aux États-Unis. Alors que de nombreux Américains songent à un retour à la vie normale, l’administration Biden vient pourtant à nouveau de prolonger l’urgence de santé publique. L’urgence de santé publique a été déclarée pour la première fois en janvier 2020 et renouvelée tous les 90 jours.
Une décision prise suite à la hausse des cas d’infection
L’administration Biden a annoncé officiellement le prolongement de l’urgence de santé publique Covid-19 mercredi 11 janvier. Il s’agit d’une mesure attendue vu que le nombre de cas d’infection est à la hausse actuellement – en tout cas c’est ce que prétendent les statistiques. Par ailleurs, les responsables ont déjà déclaré qu’un préavis de 60 jours serait donné s’ils décidaient de mettre fin à l’urgence.
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cela permet à l’administration Biden de passer outre les règles de Nuremberg.
« il y a encore beaucoup de cas Covid dans la nature »
Pour sûr, le caractère scientifique de cette affirmation saute aux yeux.
« des pouvoirs étendus dans la gestion de la crise sanitaire»…. ce qui est important, c’est « pouvoirs étendus ». Le prétexte importe peu.
Covid-19 est une opération sous contrôle des autorités de la Défense camouflée en crise “sanitaire”.
Pour protéger les acteurs de cette machination, il est nécessaire de prolonger l’urgence de sabté publique
https://reseauinternational.net/nouveaux-documents-explosifs-la-mascarade-revelee-usa/
Quand on a trop menti, il ne reste que la fuite en avant…
Oui, fuite en avant. Avec une bonne couverture mediatoc c’est jouable, des expertologues de plateau retranchés dans des mines de sel pour semer la peur. Ce sera une course poursuite contre les myocardites. Lu dans FranceSoir:
Depuis le lancement de la vaccination en population générale, de nombreuses études scientifiques confirment un risque de myocardite survenue après la vaccination anti-Covid. L’inflammation du myocarde toucherait majoritairement des hommes jeunes, des adolescents ou des enfants. Cependant, les myocardites étudiées sont généralement les cas les plus graves qui ont nécessité une prise en charge hospitalière. Qu’en est-il des patients qui présentent des lésions myocardites peu symptomatiques ou asymptomatiques, et qui, par conséquent, n’ont fait l’objet d’aucune prise en charge médicale ? Si aucun diagnostic n’est posé sur ces personnes, comment appliquer d’éventuelles mesures de prévention et de protection ? Enfin, comment évaluer l’incidence réelle des cas de myocardites survenues après une injection de vaccin anti-Covid-19 dans la population ?
Pour pallier l’absence de données cliniques chez les sujets qui ne présentent pas de lésions symptomatiques, des chercheurs ont publié une étude prospective dont les résultats ont été présentés le 24 octobre 2022 à la Société européenne de cardiologie. Cette étude avait pour objet d’évaluer l’augmentation de probabilité de myocardite après la troisième dose de vaccin contre le Covid-19. Dans le compte rendu de cette étude publiée sur le site cardio online, il est rapporté qu’en tenant compte de tous les cas de myocardite post vaccinale, l’incidence réelle serait non pas de 0,0035 %, mais de 2,8 %, soit un chiffre 800 fois supérieur à celui de l’incidence habituelle des myocardites.
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