Pour rappel : la « gestion du risque » est la pseudo-profession dont sont issus ceux des satrapes de Davos (du WEF de Klaus Schwab) qui jugent bon d’avoir un CV en-dehors de l’hyper-richesse et de la « philanthropie ».
Cette « profession » dont le principe même repose sur la négation de l’éthique du capitalisme (pas de profit sans risque !) est notamment celle du co-auteur de Schwab, Thierry Malleret. De ce fait, la publication par ledit Forum Economique Mondial d’un Global Risks Report à la veille de l’édition 2023 de la grande sauterie oligarchique de Davos revêt donc très clairement l’aspect d’un ordre du jour – à communiquer, notamment, aux mignons gouvernementaux et médiatiques de Schwab.
Du « risque climatique » à la défense de l’Eurosoviet : risque DU WEF, ou POUR le WEF ?
Or, dans ce classement 2023 des « risques » (comprendre : directives), on constate que l’apocalypse climatique, pourtant présentée comme imminente depuis une bonne vingtaine d’années sinon plus, se retrouve reléguée en deuxième position.
Placés devant cette dernière, on trouve désormais les risques liés à la « crise du coût de la vie » – comprendre : au mécontentement des gueux dépossédés par l’accélération du Green Deal sous prétexte de « 3e Guerre Mondiale ». Rien de surprenant à cela, d’ailleurs, pour ceux qui suivent la littérature davosienne : dans leur dernier opus (The Great Narrative), qui a à peine un an, Schwab et Malleret, mettant la pédale douce sur le futurisme et le climatisme, insistaient déjà lourdement sur les risques que ferait planer sur le bien-être planétaire (ou le bien-être de la Planète ?) le « complotisme » – comprendre : l’ensemble de toutes les opinions humaines non-agréés par la secte davosienne, et subséquemment criminalisées par la presse qu’elle sponsorise.
Le grand soir du socialisme (relooké « vert et inclusif ») appartenant une fois de plus au passé, les commissaires ont désormais une priorité claire : sauver le Soviet, c’est-à-dire leur tête.
La fiction de pouvoir limiter le changement climatique rend improbable toute adaptation au changement réel, ce qui nous conduit nécessairement au désastre écologique dans 10 ans. Le pouvoir n’aura d’autre choix que de limiter la biodiversité pour revenir à l’état de nature comme au paradis perdu.
Alors qu’il est simple d’accepter ce qui arrive et de s’adapter avec toutes les ressources disponibles, et providentielles.
Quand la volonté d’éternité nous conduit à manipuler les gènes de nos cellules humaines par des virus au risque de tuer le plus grand nombre et réduire la biodiversité, la désespérance grandit devant tant d’incohérence.