La BBC attaquée pour avoir laissé parler des effets secondaires mortels du vaccin

ça dépend du point de vue où on se place. Si on pense que le délire collectif est une prise anormale de risque (sanitaire, social, économique) prise au sommet pour une pandémie qui n’était peut-être qu’un pfuiiiit, de ce point de vue, en raison des dégâts sanitaires premièrement (morts à cause d’une vaccination inappropriée pour certaines personnes souffrant de façon consolidée, mais présente, de certaines pathologies (on peut avoir des problèmes cardiaques, mais lesquels peuvent avoir été consolidés par certains traitements, le cas de mon père, et puis mourir brusquement après la vaccination, ou on peut avoir un problème de pathologie touchant le système nerveux, mais ladite pathologie avait trouvé, au gré d’une intervention chirurgicale, une stabilisation confirmée dans le temps, puis mourir brusquement après la vaccination, une personne que je connais), ces questions interrogent parce qu’elles touchent à la vie et que des gens se croyant imbus de pouvoirs disproportionnés au point de mettre en danger par des interventions indélicates disproportionnées ont simplement interrompu ou fait interrompre brutalement le cours de vies de personnes qui pouvaient encore vivre une, voire deux dizaines d’années. Et alors ? Pourquoi pas ? En quoi ces personnes n’avaient-elles plus un droit de vivre ? Je ne suis pas pour l’eugénisme, et autres …..ismes d’ailleurs. Je suis pour la vie tout court et le droit à la vie bien loin d’un pouvoir qui semble décider de qui doit vivre ou qui doit mourir. Je n’aime pas le pouvoir. En raison des dégâts sociaux : qui dira, qui pourra mesurer l’impact tellement négatif du confinement, laissant loin les parents, les amis, les grands-parents surtout dont beaucoup sont morts seuls, sans leurs chers, laissant un puits béant derrière eux et un traumatisme (en Italie où les mamas sont mortes dans le plus grand silence dans les bourgs laissés maintenant à l’abandon et dont les maisons sont vendues pour qui les veut pour une bouchée de pain, c’était bien calculé. Dans les Ephad, un nom affreux en France, où les “vieux” sont morts à la pelle sans laisser même un encart dans les journaux où il n’y a pas de place pour les gens comme ça, devenus improductifs, dans le pays des droits de l’homme dit-on, bravo. Et ailleurs, où on ne parle pas, et où on a tiré le rideau en silence, ça ne gêne personne), puis surtout, tous ces vieux qui sont morts, quelle économie pour le budget retraites, bien vu, bravo Macron, celui dont à l’étranger même, on attend des actes parce qu’on ne croit plus en ses paroles (1er ministre anglais). Et puis la débâcle économique avec tous ces restaurants qui ont été obligés de fermer pendant le confinement, il y a eu une volonté de maintenir quand même des entreprises ouvertes et des commerces ouverts, aussi des restaurants, mais les pics de confinement ont causé quand même une crise économique déjà assez importante pour ne pas aller l’enflammer avec une fausse guerre Ukraine-Russie où il n’a jamais été question dans les médias mainstream du viol des accords de Minsk et du massacre de 15000 Russes, les Russophones d’Ukraine, soudain traités en sous-humains dont le massacre par un régiment d’Ukrainien néonazi ne compte pas. Pourquoi ? Pour créer massivement la deuxième crise qui était déjà prévue, la crise de l’énergie. Elle amène une autre crise, dans un cycle interminable de crises successives, celle des petits commerçants et artisans qui sont obligés de fermer boutique parce que leur facture mensuelle d’énergie a soudain été multipliée par 3 ou 4, pour atteindre des sommets qui sont impayables. Donc, oui, quand on est dans ce cas-là, au pouvoir, et que l’on sème un tel chaos, on n’a pas intérêt à ce que des chiffres dérangeants, des informations non mainstream fuitent et fassent le “buzz”, comme ils disent, sur Internet, ça fait forcément désordre. Mais surtout, ce qui dérange, c’est que ça fait se poser des questions, qui entraînent de nouvelles questions, qui ouvrent des champs d’investigation dont le pouvoir ne veut pas. Le public s’est soudain, par ces questionnements, approché très près du pouvoir et voit quelle merde c’est en fait. J’ai prévenu, je n’aime pas le pouvoir et le mal qu’il fait aux peuples, pas seulement humains d’ailleurs, mais à toute la chaîne de la vie, le pouvoir c’est l’horreur, l’horreur politique. Mitterrand, même si on ne l’aimait pas, a balancé quand même pas mal de vérités comme “les Etats sont des monstres froids. Les Français vont se réveiller un jour et voir qu’ils n’ont pas d’amis à l’Ouest. Ils vont découvrir la froideur des Etats. Les Etats sont des monstres, des monstres froids qui ne pratiquent aucune empathie.”
Puis on peut l’entendre d’un autre point de vue, celui des “complotistes”, un grand mot dont on n’est toujours pas assuré d’en bien saisir le sens. Qu’est-ce qu’un complot ? D’où part-il ? Qui dirige le monde ? Qui fait quoi ? Alors quand on accuse quelqu’un de complotisme, j’ai un recul immédiat. Oh la ! Encore des listes. Pendant la deuxième guerre, les listes étaient non pas seulement concernant les noms juifs, mais aussi les listes de communistes par exemple, pour pratiquer une bonne épuration. Aux Etats-Unis, on a beaucoup pratiqué par listes. En France, au Moyen Age, on a aussi pratiqué par dénonciations évidemment, c’est toujours ainsi que se constituent les listes, et on a beaucoup soumis à la question, puis brûlé sur la place publique pour bien refroidir les ardeurs de ceux qui voulaient s’écarter du “droit chemin”, le mot “hérésie” est apparu et les hérétiques ont brûlé par milliers dans les villes de France. Sous l’occupation allemande, en France, on dénonçait tous les jours. Ma grand-mère, Marilou a été dénoncée, trois fois. La troisième fois, le type qui venait à sa ferme était un nazi avec le double SS sur son col de manteau. Aujourd’hui, de nouveau, ce mot “hérétique”, il pointe timidement, d’abord, à l’horizon, puis il s’affirme, et bientôt le mot est lâché “complotiste”. Répété de proche en proche. On ne brûle plus, ce n’est pas la question, on est “woke”, on ne va pas se remettre à brûler, uniquement parce que ça ferait désordre dans son CV. Par contre, on fait disparaître d’autre façon. Aux Etats-Unis, dans sa nouvelle chasse aux sorcières, il s’agit de licencier des universités, ceux qui sont d’un courant contraire ou qui ont déplu, parfois sur une phrase, souvent sortie de son contexte. Qu’importe pourvu qu’on ait l’ivresse, et donc on licencie une pointure, un grand intellectuel, on a inventé pour ça le pouvoir par les algorithmes, et par l’instantanéité aussi, plus besoin de réfléchir, en poussant les gens les uns contre les autres, en harcelant les zélés qui n’ont rien d’autre à faire que de surveiller ceux qui s’écartent de la pensée orthodoxe. Ils sont là, comme des grenouilles du bénitier du pouvoir, ils épient, comme des hyènes. Là aussi, le petit, qui par le pouvoir d’un clic s’est vu imbu d’un pouvoir suprême, par exemple, de conspuer Elon Musk, parce qu’il a racheté Twitter, et il a osé rétablir le compte de Trump! Oh la la! Trump, le trublion, l’électron libre. Oh lala! Pas beau tout ça! Donc, on houspille les surveillants, ils ne font que ça, ils épient, ils lancent des alertes, ils conspuent, ils rampent dans l’ombre à la recherche du nouveau dissident, di-ssi-dent ! di-ver-gent ! di-sso-nant ! di……. ! C’est là, aussi, en bas, chez les accompagnateurs du bien disant des journalistes mainstream, les petites mains du pouvoir, qu’on traque et qu’on dénonce. Mais ça peut détruire toute une vie. Demandez à certains professeurs en médecine, et pas des moindres, parce qu’ils ont osé parler d’abord de virus-chimère, puis ceux qui ont osé donner de vrais cours de virologie sur le Net : qu’est-ce qu’un variant ? Comment naissent-ils ? Pas du tout ce que disent les journaux mainstream et le pouvoir, pas du tout ce que disent les labos qui produisent les vaccins et sont bien plus soucieux de leur chiffre d’affaires que de sombres histoires de morts soudaines et de multiplication des variants. En voilà une affaire ! Et nos chiffres ! Et nos billions ? Qu’est-ce qui compte ? Les divers questionnements qui amènent des nouvelles questions justement, posent le problème de la fracture phénoménale qui s’est imposée après les 30 glorieuses. Dans une lutte sans merci où toutes les sociétés humaines en ont payé le prix, les grands trusts se sont bagarrés pour l’emprise sur la planète entière, il fallait renouer avec un nouveau féodalisme, une nouvelle recolonisation des territoires pour démolir ses concurrents et prendre la place. Les trusts ont un appétit sans borne. Il ne s’agit pas simplement de prendre le territoire d’un autre, mais il s’agit de prendre là où on peut pratiquer des salaires de misère, où l’on peut dégrader sans être vus des écosystèmes aussi vastes que des pays d’Europe, où l’on peut acheter et corrompre des chefs d’Etat au détriment de leurs peuples (en Afrique et ailleurs), tous les médias ont parlé de la délocalisation. Mais non, il s’agissait de la colonisation de nouveaux territoires et de l’abattage sans pitié des concurrents en place. Ou de son imposition forcée à des populations trop pauvres et trop isolées dans les fameux pays du tiers-monde. Là, on s’est payé une belle tranche avec des actionnaires joyeux, sans voir les écosystèmes dégradés, des espèces en voie de disparition simplement exterminées (parce qu’elles sont là où on creuse, parce qu’il y a du pétrole! ) jusqu’à faire tuer ceux qui les protègent (dans le parc des Virunga contre les gorilles et les éléphants de forêt, chutttt!, ce qui compte c’est la montée irrésistible des chiffres, en mode boursier). Si toutes ces horreurs se savaient ! Pas beau tout ça! Et les enfants réduits en esclavage à Taïwan, pour Nike ? Son patron qui le sait trop bien n’a aucune gêne. Il nous dira d’ailleurs, “non vous vous trompez! regardez les chiffres en bourse, regardez, c’est ça qui compte!” Si vous avez des Nike, brûlez-les.
Ces enfants n’étaient pas seulement des esclaves qui coûtaient trois fois rien, la bagatelle d’un bol de riz, un tip (pourboire), et des coups, laissant des hématomes, des grandes zones violacées sur le corps, le dos en particulier. Dame, quand ça ne va pas assez vite au rendement, il faut manier le bâton. Elle est célèbre cette histoire, mais on a oublié depuis, parce qu’il y en a eu tant d’autres, que tout se dilue, tout disparaît. Et puis de toute façon, maintenant, c’est encore mieux, on n’est plus informé de ces choses. On les capte une fois un jour, faut faire gaffe, parce que l’info diffusée à la hâte ne reviendra jamais. Quand ça fait mal au système, ça ne revient jamais à la surface. Par contre, quand ça sert le pouvoir, ça tourne en boucle, sans fin, comme : la vaccination sans fin, on invente de nouvelles situations pour continuer à piquer, c’est presque du sadisme. Piquer ! Piquer ! Piquer ! Et on accuse au passage les complotistes, ceux qui empêchent d’arrondir les capitaux de Big Pharma. Combien a reçu le mari de von Leyden à Bruxelles, très impliqué dans la vaccination Pfizer ? Mauvaise question. On découvre quand même qu’il a empoché plus de 150000 dollars. Est-ce normal ? dit l’un. “Complotiste” hurle la meute. Pratique. On peut donc continuer. Et on vaccine de nouveau. Les chiffres de Big Pharma sont les seuls qui ont monté irrésistiblement pendant toute la pandémie. Il y en a qui ont de la chance. Si on suit par exemple les débats de ce qui reste du Parlement aux Pays-Bas, on voit que dès qu’une question dérange, la personne, parlementaire, qui la pose, ne peut finir sa phrase, la chef du Parlement ferme simplement le micro. Il fallait y penser. Un geste si simple. Et hop! ça dérange, je coupe! instantanément! les parlementaires hollandais ne sont pas les parlementaires français, ils restent incroyablement polis et font juste un sourire à la caméra, en montrant, de la main qui veut dire : “voyez, je pose une question qui dérange. Hop! ça coupe!” Tout le monde rit, jaune, mais rit. C’est nerveux. Mais de plus en plus disent, à raison d’ailleurs, qu’il n’y a désormais plus de démocratie en Hollande. Parler est devenu impossible. Et s’ajoute l’accusation, irrésistible, de “complotiste”; toute l’opposition est maintenant complotiste, des médecins qui s’insurgent sont complotistes, des parlementaires qui ramènent des chiffres, réels, inquiétants tant en surmortalité après la vaccination (sujet interdit farouchement), qu’en baisse drastique des chiffres de l’économie (sujet interdit drastiquement) aux ministres interrogés, ceux-ci simplement ne répondent pas. Donc la situation est ubuesque : tu poses une question qui dérange, ton micro est coupé. Tu redemandes la parole et tu tentes de reposer ta question, ton micro est coupé une seconde fois avant de finir ta phrase. Tu redemandes la parole, on te la donne et à la fin de ta question, le ministre interrogé ne répond pas. Tu veux demander une réponse, oh! alors ça c’est encore mieux, la chef du parlement te dit “vous avez épuisé votre compte de questions”. Et voilà comment on évacue les questions gênantes. Et ça marche sur tout, sur les chiffres de la surmortalité après la vaccination, sur les chiffres de l’économie, et sur les prix en hausse drastique sans bouclier de l’énergie, sur la réelle situation Ukraine-Russie, etc. Toujours le même mode opératoire : couper le micro, ce qui oblige à faire reposer la question, faire recommencer, puis recommencer encore, ah! compte de questions atteint! c’est fini. Sujet clos. Au parlementaire suivant. Si le parlementaire va dans le sens de la doxa régnante, il peut faire ce qu’il veut et prendre tout son temps en posant sa question, en traînant en long, en large et en travers. Ceux de l’opposition alors, montrent avec un geste de la main, qui veut dire, et avec le sourire : “voyez! là, ça change. Ceux qui appartiennent à la majorité et ne posent pas les questions gênantes, là ça marche. Pas de micro coupé”. Donc, au bout d’un moment, non sans sourire mais avec un certain cynisme, des parlementaires se déplacent, vont au micro et disent qu’ils constatent que puisque leur collègue parlementaire est traité comme ça, par conséquent, la démocratie …. Hop! micro coupé! Puis après, les parlementaires voulant aller dans cette direction parlent tout simplement dans des micros muets, on n’entend plus rien. Ils font tous un geste d’impuissance et ils disent à certains journalistes non mainstream :”Voyez, on ne peut plus parler. La démocratie ne joue plus. Ils ne veulent pas répondre (les ministres) sur les questions que nous leur posons sur la surmortalité après la vaccination, sur les variants suivant ce que disent les meilleurs virologistes du monde entier, sur un confinement inutile qui a nui à la société, sur l’économie en berne, sur le conflit Ukraine-Russie, sur l’augmentation drastique des prix de l’énergie, sur les agriculteurs et la grève, sur même leur projet écologie qui n’en est pas un puisqu’il met en péril la forêt d’Amazonie. Rien, ils refusent le dialogue…”
Et là, dans ce cas, on ne parle plus de confidentiel mais de totalitarisme politique, puisque ce système politique ne supporte plus le moindre contre-courant et puisqu’il s’obstine dans la mauvaise foi, ne regardant que son agenda contre le peuple, pour l’intérêt de certains groupes financiers, et contre à peu près tout. Et les parlementaires fidèles, les idiots utiles, montrent leur niveau en abordant dans cette période de crise énorme des questions d’une telle importance que : “est-ce que l’on peut aborder maintenant une autre dénomination dans le groupe LGBTQI etc car il y a maintenant de nouveaux genres, de nouvelles tendances?” C’est le genre de question qui ne remet pas en cause un gouvernement du chaos, mais qui va dans son sens, avec des cons qui ne raisonnent que par leurs sens, donc ce genre de question passe bien au parlement hollandais. On surenchérit, les ministres s’étalent longtemps sur le sujet, là, il y a de la discussion. On débat lourdement et âprement. On est à la maternelle, tout simplement. Les questions compliquées, et qui exigent un niveau BAC+5 évacuées avec mépris, les questions simples du niveau du CP, acceptées avec joie et même, on le voit par les gestes et toute l’attitude physique, avec un soulagement. Ouf! on l’a échappé belle!
En France, on débat surtout sur la correction des mots, on ne répond pas non plus sur le fond des questions. On évacue les questions jugées sérieuses, encore que parfois les questions qui devraient être posées, là c’est pire, ne sont carrément pas posées. Dont acte. Là non plus, la démocratie ne joue plus et d’ailleurs ça n’intéresse franchement plus aucun parlementaire des pays de l’UE. Les gens qui meurent du covid, qui trouvent le moyen de mourir de la vaccination (encore pire, là il faut être con, sans doute!), ou qui développent des pathologies depuis la vaccination en parlant de la protéine Spyke, des gens qui posent des questions médicales compliquées, non mais où on est ? Y a plus moyen ! des gens qui trouvent le moyen de fermer leur boutique parce qu’ils trouvent le moyen de ne pas pouvoir payer leur facture d’énergie multipliée par 4 d’un seul coup, comme ça, comme une envie de pisser, alors là! tu parles de sujets plaisants! On préfère parler du toupet du peuple de demander des comptes sur le combien reçoit un parlementaire comme salaire et comment il le dépense! De l’abus, non ? Non seulement ils n’ont rien à dire parce qu’ils ne savent tout simplement rien et qu’ils ne savent ce qu’ils font, ne faisant que suivre les directives apparemment de Bruxelles, qui suit les intérêts de Big Pharma d’abord, puis ensuite ceux des consortiums d’énergie. Si les gens ne jouent pas le jeu, en mourant, en tombant malades de pathologies diverses et variées, ou en ne pouvant plus payer leurs factures et en fermant boutique, que voulez-vous qu’on y fasse ?
Je pense que nous sommes gouvernés par des imbéciles et des vauriens, des “vaut rien”. De la part des “sans dents”.