En exigeant de Paris une violation des règles de l’athlétisme (par l’exclusion des athlètes russes), le dictateur entretenu de Kiev met ses michetons occidentaux dans une situation délicate.
Il se trouve en effet que l’athlétisme est international, impliquant donc cette majorité mondiale de pays dont les leaders n’ont pas de raison particulière de trop faire semblant de croire à la comédie sanglante en cours en Ukraine, ou de se sentir concernés.
Ceux dont la crédulité doit, en revanche, à tout prix être entretenue le plus longtemps possible, ce sont ces sans-dents ukrainiens exposés, tel des adolescents attardés, à la maltraitance meurtrière de leur tuteur abusif Zelenski. Et même ça, au vu des images d’enrôlement forcé qui circulent sur Internet, à vrai dire, ça n’a plus l’air de trop fonctionner. Aux dires de certains experts israéliens et hongrois, le suicide serait devenu une cause de mortalité majeure dans les rangs de l’armée ukrainienne.
Jeux olympiques du bobard : Kiev vise l’or, Paris mérite l’argent
L’équipe de com’ que les médias de la Macronie nous présentent habituellement sous le nom de « gouvernement ukrainien » doit donc s’ingénier, entre deux annonces d’arrivée d’armes miraculeuses (15 Léopards par-ci, 20 Marder par-là), à exiger – contre un « ennemi » que Kiev n’a en réalité pas le droit de frapper – des brimades d’autant plus inventives qu’elles ne quitteront jamais la sphère du discours.
Ce que la Lolita kiévienne, en échange de ses faveurs masochistes, réclame maintenant à ses sugar daddies occidentaux, c’est l’exclusion des athlètes russes. Sinon, elle boude. Sinon, pas d’athlètes ukrainiens à Paris – alors que, avec ce que Volodymyr « le pianiste » Zelenski leur fait subir, ils sont l’avenir du paralympisme. Dilemme.
Mais c’est compter sans la non moins inventive Anne Hidalgo, qui a déjà la parade (naturellement verbale) : les Russes et Biélorusses pourront participer, « mais sous bannière neutre ». C’est-à-dire ? Devront-ils, avant de courir, prêter serment sur une bible LGBT, et promettre, en cas de médaille, de ne pas faire la bise à Tonton Vladimir une fois de retour au pays ? On attend impatiemment les détails de cette nouvelle avancée historique de l’autisme radical.
Notre « plus grand écrivain » Houellebecq qui se filme aller aux pu…, âne Hidalgo en charge de l’organisation des JO, le mari de Jean-Michel Trogneux ré-élu par les français euphoriques : nous vivons une époque formidable ! Encore !!!