Leclerc – nous disent ces « associations » – vend la viande et les produits laitiers trop bon marché aux gueux, freinant ainsi la « transition alimentaire » (vers le légume sec et – à terme – l’insecte). Dans ce lointain passé où j’ai vécu du temps de ma jeunesse, les gens cotisaient à des partis et à des syndicats, pour que ces derniers représentent leurs intérêts. Ces structures ont été avantageusement remplacées par un « monde associatif » subventionné, qui, curieusement, a toujours plutôt tendance à considérer – éclairé qu’il est par l’avis des experts – qu’on vit trop bien, qu’on fait trop d’enfants et que trop de ces enfants conservent jusqu’à l’âge adulte le sexe de leur naissance.
Les « associations » militent donc pour la transition sexuelle (vos enfants seront des trans), la transition alimentaire (apprenez à manger comme les paysans sous Marie-Antoinette), et la transition démographique (les enfants qu’on n’a pas engendrés seront importés d’Afrique) – autant de déclinaisons de la fameuse transition écologique, c’est-à-dire du compostage post mortem (et même un peu avant) de la société occidentale, sous la houlette de ses dernières élites, converties au transhumanisme.
Les supermarchés, sommés de rationner la viande
Cette dérive « associative » étant le résultat du remplacement progressif des classes sociales par un précariat indifférencié, la masse des néo-serfs du néo-féodalisme, au-dessus de laquelle seule une étroite oligarchie de milliardaires surnage encore – ces mêmes « associations » ont naturellement aussi tendance à inciter l’État-nounou, pour renforcer ce nivellement, à se substituer toujours davantage au travail et au marché – grâce à la baguette magique de la fiscalité.
C’est ainsi que – non contentes de tancer les supermarchés parce que la viande industrielle y est trop bon marché –, pareilles à Marie-Antoinette nous incitant à consommer plus de brioche, elles demandent à présent aussi à cette Macronie dont elles sont l’avant-garde hors les murs de rendre « plus accessibles financièrement les produits issus de (…) l’agriculture biologique ». En d’autres termes : de subventionner ce que consomment les électeurs d’Emmanuel Macron, en saignant toujours davantage les PME (puisque les milliardaires qui financent ces associations disposent, eux, du joker des paradis fiscaux).
Faut dire ce qui est : pour l’oligarchie, en rapport qualité-prix, ces associations, c’est le meilleur investissement de l’histoire.
C’est une lutte à mort qui vous est faite, jusqu’à stériliser en partie votre descendance et effacer votre présence et tout ce que vous êtes sur terre.
Vous pouvez continuer de manifester en rond et épuiser votre énergie savamment canalisée: pour quel résultat ?
Désormais ce sera eux ou vous : que voulez-vous faire en conséquence ? Votre temps est compté.
Mais agissez très intelligemment.
Et vous?
N’oubliez pas que certains courants veulent anéantir l’humanité jusqu’à 500 millions d’individus survivants à la fin du 21eme siècle.
Pourquoi, à votre avis les documents Pfizer devaient être, à l’origine, interdit de consultation jusqu’en 2097 ?
On remerciera le courage d’un juge Texan qui a ordonné la mise à disposition pour une libre consultation :
https://phmpt.org/pfizers-documents/
https://icandecide.org/pfizer-documents/?t=full-productions
La Terre-gaïa, dépolluée, c’est pour eux, pas pour vous et vos descendants….
Les militants de ces associations semblent ignorer qu’ils seront jetés comme des kleenex une fois leur rôle rempli, c’est-à-dire qu’ils ne seront pas exonérés de ce qui va être infligé à la classe moyenne.
Ainsi vit ce système parasitaire qui ne considère l’homme sue comme un moyen…
Ces militants devraient donc se réjouir de la guerre en Ukraine et manifester pour que Poutine et Zelensky tuent encore plus de femmes et d’enfants.
Autant je partage votre indignation et la dénonciation de ces dérives woke, autant je trouve que l’exemple choisi n’est pas fondé.
En effet, on ne peut pas soupçonner un Mahatma Gandhi par exemple, de verser dans ce genre de décadence, lui qui militait déjà pour le végétarisme, au tout début de sa vie, lorsqu’il vivait en Angleterre, avant de déménager en Afrique du Sud.
Il y a trois arguments en faveur d’une alimentation végétarienne — ou en tous cas moins carnivore :
La santé, la lutte contre la faim dans le monde par une plus grande quantité de nourriture disponible, et le refus de la cruauté envers le monde animal.
Il est bien connu que trop manger de viande favorise le cancer. Trop souvent, les gens s’imaginent qu’un régime végétarien entraîne nécessairement des carences alimentaires, ce qui n’est pas le cas. Un régime végétarien, plus précisément lacto-végétarien, autorisant la consommation occasionnelle d’œufs et de produits laitiers, est bien plus favorable à l’entretien de la santé sur le long terme.
Par un repas carné plutôt que végétarien, on prive six autres personnes d’un repas, en moyenne. Si plus de personnes choisissent de manger végétarien, on pourra nourrir tout le monde sur Terre sans difficulté.
Et enfin, il est évident que la consommation de cadavres d’animaux exige leur abattage, ce qui est toujours, qu’on le veuille ou non, une forme de cruauté envers ses frères du règne vivant. George Ivanoff Gurdjieff disait qu’il ne recommandait aux gens de manger de la viande uniquement s’il pouvaient tuer eux-mêmes, de leurs propres mains, l’animal consommé. Si ce critère était appliqué, nous aurions, bien sûr, infiniment moins de carnivores sur Terre !
Aucun de ces arguments multi-séculaires en faveur d’une alimentation moins carnée, n’exige de se plier aux dérives moralement inacceptables du wokisme.
Autant je partage votre indignation et la dénonciation de ces dérives woke, autant je trouve que l’exemple choisi n’est pas fondé — la préférence pour une alimentation plus “durable”.
En effet, on ne peut pas soupçonner un Mahatma Gandhi par exemple, de verser dans ce genre de décadence, lui qui militait déjà pour le végétarisme, au tout début de sa vie, lorsqu’il vivait en Angleterre, avant de déménager en Afrique du Sud où ses combats ont commencé à le rendre célèbre.
Il y a trois arguments en faveur d’une alimentation végétarienne — ou en tous cas moins carnivore :
La santé, la lutte contre la faim dans le monde (par une plus grande quantité de nourriture disponible), et le refus de la cruauté envers nos cousins les animaux.
Il est bien connu que trop manger de viande favorise le cancer. Trop souvent, les gens s’imaginent qu’un régime végétarien entraîne nécessairement des carences alimentaires, ce qui n’est pas le cas. Un régime végétarien, plus précisément lacto-végétarien, autorisant la consommation occasionnelle d’œufs et de produits laitiers, est bien plus favorable à l’entretien de la santé sur le long terme.
Par un repas carné plutôt que végétarien, on prive six autres personnes d’un repas, en moyenne. Si plus de personnes choisissent de manger végétarien, on pourrait nourrir tout le monde sur Terre sans difficulté.
Le fait qu’un régime végétarien est moins onéreux pour le budget d’un ménage ou d’un individu est un reflet de cette réalité.
Et enfin, il est évident que la consommation de cadavres d’animaux exige leur abattage, ce qui est toujours, qu’on le veuille ou non, une forme de cruauté envers ses frères du règne vivant. George Ivanoff Gurdjieff disait qu’il ne recommandait aux gens de manger de la viande QUE s’il pouvaient tuer eux-mêmes, de leurs propres mains, l’animal à consommer. Si un tel critère était appliqué, nous aurions, bien sûr, infiniment moins de carnivores sur Terre ! La plupart d’entre nous sommes totalement inconscients des étapes ayant précédé l’arrivée d’un morceau de viande sous cellophane dans un supermarché. Dans une boucherie, déjà, nous voyons d’un peu plus près la réalité à l’origine de ce que nous consommons.
Aucun de ces arguments multi-séculaires en faveur d’une alimentation moins carnée, n’exige de se plier aux dérives moralement inacceptables du wokisme.
Et bien sûr, malgré ce bémol je partage tout-à-fait votre combat en faveur du maintien de valeurs de bon sens et le refus de ces idéologies décadentes, dénoncées dans cet article.