Le machin nommé ONU veut, d’après son site, « donner la priorité à l’être humain » … dans le cadre de ses objectifs « durables », c’est-à-dire malthusiens, c’est-à-dire anthropophobes. A l’ONU, tout s’annule – sauf l’addition.
En incluant dans une base de données les ouvrages de Klaus Schwab, ses discours à Davos et les articles publiés par sa domesticité intellectuelle sur le site du WEF, il devrait être possible de programmer un générateur de verbiage onusien. Et, pour signer les contenus générés, un autre générateur (peut-être déjà utilisé à l’époque de l’URSS) produirait les sigles – au phonétisme toujours polonoïde – censés renvoyer à des comités Théodule tous plus « responsables » et « durables » les uns que les autres.
Ensuite, il suffit d’une quarantenaire bulgare recyclée dans le parasitisme onusien, pour exposer le verbiage « au nom de l’ECOSOC », avec toute la gravité d’un sermon communiste sur le péril blennorragique devant les recrues de l’infanterie de marine au port de Bourgas.
L’ONU place l’humain au centre de son activité d’extorsion
Car toutes ces formules aussi vides que stéréotypées (« créer des opportunités pour les jeunes », « construire des sociétés et des économies résilientes », « apprentissage tout au long de la vie », etc.) convergent systématiquement vers un même point : il va falloir « assumer les responsabilités (gouvernementales) », « soutenir », « faciliter », instituer une « protection sociale universelle » (copier-coller de la page 80 du livre de Schwab et Malleret : Covid19 : la Grande Réinitialisation) – bref : dépenser, et donc d’abord prélever le pognon de dingue que le léniniste Schwab a prescrit de nous voler, pour remédier aux crises alimentées, voire créées de toutes pièces, par sa philanthropie en bande organisée.
Car « Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur » (op. cit., p. 204). Et garantira la stabilité des très hauts salaires onusiens.
Tout ce vocabulaire schwabien, inclusif (traduire sectaire) et solidaire (comprendre flux du bas vers le haut) masque une gigantesque appropriation de biens et de pouvoir, selon le processus suivant par lequel des problèmes mondiaux doivent justifier un gouvernement mondial:
=> désignation d’un ennemi: création d’un problème ou amplification médiatique d’un problème existant
=> politique de la peur focalisée sur l’ennemi et discrédit de ceux qui nient sa dangerosité
=> solution mondialiste (spoliatrice et liberticide) qui était l’objectif de l’opération
=> fabrication du consentement (nudge) et omerta sur les inconvénients des décisions pour les populations
Vous voulez dire dépenser l’argent que nous ne possédons pas …. vu notre dette abyssale qui augmente chaque jour