A Munich, Macron a fait ce qu’il sait faire de mieux : faire plaisir à chacun tout en arnaquant tout le monde. Il a donné raison à tous – mais à personne autant qu’à Modeste Schwartz, dont il suit visiblement les brèves avec beaucoup d’assiduité.
A tout seigneur, tout honneur : il fallait d’abord faire plaisir à la clique de Kiev, à l’OTAN et à BHL, en affirmant que, bien que les négociations soient inéluctables, c’est pas pour tout de suite : on va d’abord fournir à l’amicale bandériste de quoi faire buter jusqu’au dernier des mâles de moins de 60 ans pas encore en fuite. C’est bon pour la planète !
Mais il n’a pas oublié non plus d’aider les poutinolâtres d’Occident à enfoncer une de leurs portes ouvertes préférées, par de lourdes allusions au désintérêt total du Sud global pour cette pseudo-guerre dont il n’est pas dupe. Ils vont donc pouvoir répéter leurs mantras poutinistes – généralement sans remarquer qu’ils coïncident parfaitement avec le discours de Macron (multilatéralisme, rejet de l’impérialisme, etc. – en résumé : les blancs, ça suffit).
Emmanuel Schwartz et Modeste Macron, très convaincants à Munich
Mais c’est bien sûr avant tout Davos (dont il est le dernier soldat de première ligne à peu près sûr – grâce à la PME Le Pen – de ses arrières) qu’il s’efforce de contenter, en rappelant l’importance de ces « nouvelles guerres » (comprendre : contre vous et moi) qui ont notamment lieu sur Internet. C’est ainsi qu’après avoir apporté une aide décisive à l’imposition du Green Deal en Europe, l’Opération spéciale du davosien Poutine va encore rendre un dernier service de taille : justifier le « contrôle parental » généralisé de l’information en ligne – bref : vous protéger des « discours de haine » de Modeste Schwartz.
Pour le reste, le mari de Brigitte répète, en gros, ce qu’il a lu depuis Noël dans le Courrier des Stratèges – à moins, bien sûr, qu’il n’ait lui aussi suivi les interventions de Kissinger : pas de changement de régime prévu en Russie, ni donc de « démembrement de la Russie » – lequel ne servirait en aucun cas les intérêts de Davos –, ni donc (implicitement) de « Nuremberg de l’Opération spéciale » pour condamner cette « culture du viol » russe, qu’il évoquait en introduction, avec des sanglots dans la voix. Chapeau l’acteur !
Désolé ModesteS mais votre article ne brille pas par son intérêt …
Creux , il ne veut strictement rien dire .
Quand on a pas grand-chose à dire , il vaut mieux parfois s’abstenir.
Je n’ai rien compris à cet article !
itou…
Si j’ai bien compris :
Macron li le courrier des stratèges.
Et c’est tant mieux pour lui ça le rend plus intelligent.
Par contre moi l’écouter pour être sûre !
Il en est hors de question ….
Je n’ai pas saisi !!!
Modeste Schwartz ou Klaus Schwab ?
En l’occurrence, c’est la même chose, puisque les brèves auxquelles il est ici fait référence consistent pour la plupart à exposer sommairement la doctrine de Davos, laquelle guide les pas de Macron (a priori pas via le Courrier des Stratèges: la formulation était ironique – apparemment trop pour les capacités interprétatives de certains lecteurs – heureusement pas de tous…).
L’article est tellement tiré par les cheveux qu’on finit par s’y prendre les pieds (pardon pour cette mauvaise image à la Modeste Schwartz qui aurait intérêt à se reposer de temps en temps).
Ces dirigeants abusent de la communication parce qu’ils ont un boulevard devant eux avec ces médias contrôlés. Mais au-delà, ce sont les demi-vérités qui sont des demi-mensonges, les contre-feux et distractions, les éléments de langage pour faire passer la pilule ou endormir, les vrais mensonges pour lesquels on pourra toujours feindre la fatigue du responsable éreinté ou l’erreur pour peu que l’on ne soit pas passé à autre chose dans ce tourbillon d’infos et d’images…
Quand je regarde Macron ou un Veran, je vois un vendeur avec son sourire « colgate » et qui fait du porte-à-porte à essayer de refourguer un produit invendable dans lequel il ne croit bien sûr pas un seul instant. Ils n’ont pas d’autre « grand projet » que celui de cette caste d’ultra riche qui complote au-dessus des peuples. Au quotidien et en l’absence de consigne, ils font du rapiéçage, du bricolage du dimanche.
Mais comme tous ces petits personnages peu talentueux placés à des postes beaucoup trop grand pour leurs frêles épaules, ils peuvent devenir très violents avec qui conteste leur décision (ou l’absence de…). Et on a vu ce qui arrive à tous ceux qui se frottent à eux : à la moindre faille, toute l’administration, la justice, les « chiens de garde » vous tombent dessus. Et même si la manière change et s’adapte à son époque ou la censure a pris le pas sur le bruit des bottes, le fond lui est toujours le même: Ils ne valent finalement pas mieux que tous les tyrans qui les ont précédés!
Franchement j’ai eu du mal à comprendre cet article tellement les tournures de phrases sont alambiquées ……pour reprendre le vocabulaire de Macaron………
Quelques fois la simplicité vaut de l’or……
Mais qu’ont-ils tous contre ce pauvre Modeste…
C’est pourtant assez clair: j’ai de tort de heurter des convictions religieuses. Une grande partie de la dissidence croit que le contraire d’un mensonge est nécessairement une vérité (comme Macron ment en permanence, « c’est donc » que Poutine dit généralement la vérité). Ils affirment donc « ne pas comprendre » ce que j’écris – et ont objectivement raison, étant donné que (en l’absence de réflexion), « comprendre » signifie: reconnaître les mantras auxquels on s’identifie. Ou, à défaut, les mantras qu’on rejette. Comme je ne véhicule ni les uns, ni les autres, à défaut de pouvoir être décoré de l’ordre du mérite dissident, ou déclaré traître félon à la cause du Bien, je me fais psychiatriser façon Brejnev (« rien à dire », « fatigué »…).
Vous ne comprenez pas. Le problème dans cet article, comme souvent chez vous:
– c’est votre style lourd (des phrases trop longues avec trop de verbes et avec des parenthèses multiples qui n’ajoutent rien). Apparemment, même Normale Sup (Vierzon?) n’exige plus qu’on sache bien écrire.
– un manque d’info: en un mot, on n’apprend rien, on perd son temps et Le CdS perd en qualité d’ensemble. Moins d’articles et que de très bons articles serait une meilleure stratégie, si j’ose dire.
Je ne suis pas sûr de comprendre ce que vous entendez par « info ».
S’il s’agit de nouvelles fraîches (de type « dépêche d’agence de presse » – puisque pratiquement plus personne d’autre n’a de journalistes de terrain…), alors, votre remarque me laisse perplexe: ignorez-vous vraiment le sens de l’expression « brève de presse »? (« éditorial », peut-être?) Avez-vous (dans ce cas) jamais eu l’impression de trouver « de l’info » dans ces brèves, dont tel n’est pas l’objet? Si c’est le cas, je dois vous détromper: il s’agissait, comme ici, d’un commentaire, d’une interprétation. Avec laquelle vous avez le droit de ne pas être d’accord (simplement, je vois beaucoup d’indignation, mais jamais d’arguments…). En revanche, les tentatives de pression sur la rédaction via ce genre de commentaires, franchement: vous perdez votre temps.
Ou peut-être, par « info », entendez-vous: contenu exclusif, non-disponible ailleurs?
Dans ce cas: et si vous vous abonniez au Courrier, au lieu de vous exciter sur les contenus gratuits? Dans la partie payante, vous trouveriez par exemple les articles de la rubrique « vu de Russie »: des traductions inédites en France de contenus de presse récents parus en Russie. Au prix de l’abonnement, je dirais que ça vaut carrément le coup…
Cet article est un balancier ; un balancier sert à détourner l’attention et à entretenir la « confusion des genres » le but ultime étant de neutraliser le plus grand nombre pour in-fine les empêcher de descendre dans la rue et de le déloger de sa tanière élyséenne d’où il a failli sortir les pieds devants avec les gilets jaunes qui n’auraient pas manqués de le lyncher en bonne et dû forme. il a donc précipité le C19 pour sauver sa peau et se venger du peuple ; on appelle ça le syndrome de Néron (qui a brulé Rome pour se venger de son peuple)
Ah, désolé, non.
Je ne dis pas que j’aurais forcément refusé ce genre de mission (vu l’état de mâturité politique du pays, si c’est pour remplacer Macron par la Grosse, finalement, oui: autant faire des économies de révolution).
Simplement, personne ne me l’a proposée. Le Kremlin (qui est en réalité très pro-Macron) est radin, le Mossad a la tête ailleurs… Ni shekels, ni roubles pour Modeste Schwartz!
J’en suis donc réduit à écrire pour le CS, qui pousse le vieux-jeu jusqu’à vivre intégralement de ses recettes. Et qui, du coup, me permet de dire ce que je pense – indépendamment de l’impact supposé de ce que je pense sur le dénouement de telle ou telle fable eschatologique qui vous tient à coeur.
Bof !!!!!
Ce que dit ou fait Macron avec beaucoup d’aplomb et de certitudes …. c’est du vent
Il est capable de dire tout et le contraire de tout avec autant d’assurance
Tout dépend de ce que lui aura conseillé non pas les politiciens français mais McKinsey
Cette arrogance et ce jugement à l’emporte-pièce sur les qualités interprètratives de certains lecteurs , qui osent vous signifier le peu d’intérêt de votre article décousu, ressemble furieusement à l’attitude de ceux que vous vilipendez.
Inquiétant…
Kézako ????
Munich, une ville hautement symbolique. 1922.1933.1938……..et 2023?
L’Allemagne ou une barbe vaut bien une moustache.
Encore une fois macron le fossoyeur est allé se prosterner devant l’allemand !!!!!
Ce traître, cet anti-FRANCAIS se couche devant tous les autres (ursula vanderpute, zebrinsky le clown, biden le sénile et tous ses potes arabes, algériens, tunisiens, marocains …..)
ce type est une carpette, un malade dangereux.