Nous avons enfin obtenu quelques nouvelles au sujet du panier anti-inflation évoqué dès la mi-janvier par le ministre de l’Économie ; mais, comme presque à chaque fois avec Bruno, c’est toujours aussi flou !
Ce nouveau gadget des adeptes de la Théorie Monétaire Moderne pourrait entrer en vigueur – goûtez la précision ! – « vers le début du mois de mars ». Une date qui coïncide en tous cas avec la fin des négociations commerciales entre les fournisseurs et la grande distribution, sur laquelle nous avons déjà attiré l’attention de nos lecteurs, et qui pourrait tendre un peu plus l’arbalète de l’inflation des prix à la consommation. L’objectif du nouveau dispositif lemairien, selon le Gouvernement, est d’atténuer la énième vague (ou le pic ? à moins que ce ne soit un plateau ?) de flambée des prix dans les rayons. Ce panier, dont on espère qu’il est constitué plus intelligemment que celui qui fait référence au sein de l’INSEE pour calculer le fameux taux d’inflation, contiendrait donc des produits non alimentaires et alimentaires (jusque-là, tout va bien). On apprend même, souveraine surprise, que l’accent serait mis sur les produits frais, notamment les fruits et légumes (cinq par jour, n’oubliez pas, entre deux doses d’ARNm), dont quelques références (bo-)bios, de la viande rouge (vade retro Veganas !) et blanche, mais aussi du poisson. Exit donc l’alcool et les confiseries, qui se retrouvent bannis du panier anti-inflation : pas de drogue dure pour les petits budgets ! Bercy l’a dit et on écoute Bercy.
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Merci à EDF pour son tarif Tempo (jours de l’année bleus, blancs, rouges) et merci à TotalEnergies de compenser les taxes dont se goinfrent les socialo–fromages du régime. ???????????? Les froncés sont trop cons ????voilà la vérité. Ils ne méritent pas leurs entreprises de choc.