Lors du sommet des dirigeants des États membres de l’UE, qui s’est tenu les 9 et 10 février, l’une des questions clés était le maintien de la compétitivité de l’économie européenne et les problèmes de respect de l’agenda « vert », écrit Kommersant.
Cet article publié en russe par le site Svpressa n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Le bloc économique des responsables européens réfléchissait aux réponses à apporter à l’« Inflation Control Act», adopté aux États-Unis en août 2022. Ce texte, qui a provoqué l’indignation des politiciens européens à l’époque – ce qu’ils ont d’ailleurs pourtant peu montré en raison de la nécessité de respecter la solidarité transatlantique sur fond de crise ukrainienne – prévoit de larges mesures de soutien aux entreprises américaines. En particulier, des incitations fiscales, des subventions, des prêts abordables, etc. Le montant total des aides aux entreprises aux États-Unis est estimé à 369 milliards de dollars.
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l’une des questions clés était le maintien de la compétitivité de l’économie européenne et les problèmes de respect de l’agenda « vert »… parce que les grands stratèges qui nous administrent n’ont pas compris qu’il s’agit d’objectifs incompatibles. Car précisément, l’agenda vert aura pour conséquence de saper la compétitivité européenne et il ne faut rien de moins que de parfaits technocrates sans véritable culture économique ni scientifique pour parvenir à ce résultat.
La version complotiste est que la ruine d’une UE dirigée par des traîtres/complices/corrompus est l’objectif l’agenda vert…
Certes il n’ y aura guère dans le monde que les idiots européens pour appliquer cet agenda verdâtre, comme la crétinerie grandiôse d’acheter de l’énergie russe plus cher via des intermédiaires en guise de sanction idéologique sensée affecter cette Russie incorrigible. On se demande s’il faut en rire ou en pleurer.
Quant à la France c’est le podium et la médaille d’or de cette euro-crétinerie.