Au hasard d’un audit de la Cour des Comptes – a priori pas dicté depuis le Kremlin –, on découvre un certain nombre de données concernant les Ukrainiens. Et notamment : (une partie de) leur coût pour le contribuable français.
Commençons par l’énorme éléphant blond au milieu du salon : « Depuis le début du conflit et jusqu’en septembre 2022, plus de 7,1 millions de ressortissants ukrainiens avaient quitté leur pays. » Soit au moins 16% de la population (en réalité : plutôt 20%, voire 25%). Comme 3 millions sont partis en Russie, et que les zones occupées ne semblent pas s’être vidées complètement, il est mathématiquement exclu que les 4 millions qui « ont bénéficié de la protection temporaire (…) en Europe » soient tous venus d’Ukraine orientale.
Comme, par ailleurs – et en dépit des délires du G7 – il est de notoriété publique que les frappes en profondeur de l’armée russe ne visent pas la population civile (un conseiller de Zelensky ayant même été officiellement contraint à la démission pour avoir osé en tenir compte), il est évident qu’une partie au moins de ces 4 millions (et des 115 000 ukrainiens qui ont dû se contenter de la France) sont :
- soit des déserteurs (hommes de moins de 60 ans) ;
- soit des migrants économiques, feignant comme d’habitude de fuir un danger, pour fuir la pauvreté.
D’après la Cour des Comptes, chaque ukrainien nous coûte 5500€
Loin de moi l’idée de reprocher à quiconque de vouloir échapper à la pauvreté – mais ce même audit nous fait aussi découvrir le montant de la contribution de l’argent public français à cette grande œuvre humanitaire : « 634 M€ pour l’année 2022 », soit 5500€ par réfugié.
Comme il est par ailleurs statistiquement inévitable qu’une partie des heureux gagnants (notamment jeunes et originaires d’Ukraine occidentale) aient, à la tête de leurs 75 points de QI, contribué par leur vote à l’arrivée au pouvoir du démagogue Zelensky, la leçon de la fable devient assez claire : « Provoquez toutes les catastrophes que vous voulez chez vous, car vous avez un plan B : un autre pays – la France – pour vous refaire aux frais de la princesse si ça tourne mal ! »
Autre pays à la recherche duquel il se pourrait que les Français partent, eux aussi, bientôt. Le trouveront-ils ?
Question subsidiaire, où sont-ils logés vu l’état du marché locatif ?
En général, pas dans le grand luxe, a priori. Mais à 22k€/an pour une famille de 4 personnes, je dirais qu’il y a déjà de quoi faire… La CAFbis, en somme…
Dans ma commune, ils sont logés dans l’ancienne maison de retraite où des travaux de remise à neuf ont été effectués. Logement gratuit avec chauffage, eau, électricité, internet, alimentation, vêtements et portables gratuits qui ai réservé uniquement aux ukrainiens et interdits aux aux réfugiés d’autres pays et interdits aux travailleurs français ayant de faibles revenus. Ils sont prioritaires pour l’emploi et leurs enfants ont une place prioritaire en crèche alors que les autres parents même en travaillant tous les 2 sont sur liste d’attente. Ils ont des spectacles et animations gratuites interdites aux français. Etc…
Autre pays? la question elle est vite répondue (héhéhé)…. je me fais une petite maison au bord du lac Baikal !
Les guerres de religions, puis la révocation de l’édit de Nantes, ont favorisé l’émigration de toute une population qui souhaitait vivre la conscience libre. Cette population était industrieuse et compétente. Par l’intolérance des pouvoirs, ces gens ont apporté leurs connaissances et savoir-faire à l’étranger. Ils ont de cette manière fait bénéficier les pays d’accueils de leurs connaissances et les ont enrichi. Par contre leurs pays d’origine se sont appauvris. Ainsi , les Pays-Bas ont connu leur siècle d’or, l’Allemagne s’est industrialisée, on en voit encore aujourd’hui les résultats. L’Angleterre est devenue une puissance mondiale et l’Amérique est devenue ce que l’on sait. Si la France et l’Europe de Bruxelles continuent sur leur lancée, une émigration, des compétences et des cerveaux, vers des pays d’avenir (c’est-à-dire sans woke et sans lgbt…z) est bien à prévoir.
Émigrer en catastrophe car le plan A ne fonctionne pas me parait une dure leçon de vie. Je ne crois pas que je choisirais cela. C’est plutôt un manque flagrant de réflexion sur les conséquences possibles des choix proposés ou non. Dans ma société la réflexion est au plus bas des bas minimum. L’endoctrinement, la facilité, le discours mâché et remâché est au numéro 1 de l’échelle de popularité.