GIEC : le Chemsex du mutilatéralisme, par Modeste Schwartz

Rassemblant les experts d’une pseudoscience – la climatologie, créée ad hoc pour élever l’hypothèse boiteuse du réchauffement anthropique au rang d’une vérité révélée – et ceux des spécialistes de sciences légitimes qui ont accepté, moyennant quelques subventions, de s’asseoir sur leur épistémologie pour prêcher cette pseudoscience, le GIEC est donc à la fois une Congrégation pour la doctrine de la foi climatique et un Synode de Sodome de la corruption tous azimuts.
