Cette phrase m’a fait tressaillir. Je me posais depuis plusieurs semaines la question de la démocratie s’opposant à la souveraineté. Il y a quelques années, au cours d’un débat mettant en cause la nature de la Commission Européenne dont les membres ne sont pas élus, la notion de « démocratie transitive » avait été évoquée. Vieux souvenir de terminale, la transitivité était une des conditions de l’équivalence entre deux relations mathématiques.
Que le lecteur veuille bien me pardonner ces propos un peu abscons, que je vais tenter d’expliciter.
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Macron veut faire la différence entre le Peuple & la Foule, ce n’est qu’une INEPTIE de plus d’un esprit malade, car, comment peut-on oser dire que la Foule ne fait pas partie du Peuple !!! Quant aux maths, c’est une science relativement exacte, mais insuffisante pour gérer les relations humaines…Reste la légitimité, & là nous avons un gros problème, car le logiciel SCYTL, utilisé pour les élections, mériterait
une analyse approfondie de nos spécialistes “cyber”…Personnellement, je suis persuadé qu’il y a eut fraude volontaire, donc “usurpation de la plus haute fonction d’Etat”… Donc illégimité de Macron….
Autrement dit: nous ne sommes rien, face à ces grandes gens du Parlement
Une fois de plus Macron nous teste: il nous a testé avec le couvre feu, avec les vaccins, le pass vaccinal…., et maintenant il nous dit très naturellement, que nous ne sommes rien.
D’ailleurs il sait déjà que nous allons, une fois de plus, nous soumettre.
Macron cherche vraiment les ennuis…
c’est plutôt la légitimité du Parlement qui est à discuter.
La foule fait partie du Peuple qui est le seul souverain.
Que ce projet soit soumis au referendum, tout simplement…
L’idée de “transitivité démocratique” est révélatrice d’un vieux problème relatif à la notion de peuple dans l’Etat moderne. Une telle “transivité” renvoie en définitive à la logique de fond du système selon laquelle le peuple n’a pas réellement de souveraineté – quoi qu’en dise la Constitution – et n’existe politiquement que dans le processus de légitimation de l’Etat et de ses dirigeants. Le peuple est alors nécessaire comme élément structurant du pouvoir effectif, mais ne compte pas lui-même (à la différence d’un peuple qui serait maître de l’Etat). Pendant longtemps, cette conception était loin d’être appliquée dans toute sa rigueur et la classe politique ne se permettait pas d’ignorer totalement la volonté de la population. Il semble que la caste se le permette désormais et révèle ainsi, sans le vouloir, la nature du système : seule la technostructure est souveraine et le parlementarisme, ingénieuse invention des financiers anglais du XVIIIe, est là pour donner l’illusion. Si l’ambiguïté est maintenant levée, c’est que la caste n’a plus vraiment le choix. Les compromis ne sont plus de mise, au regard des contraintes qui s’imposent à elle aujourd’hui. Le problème est qu’en affirmant aussi froidement sa légitimité formelle, la caste affaiblit sa légitimité effective, celle qui repose, sinon sur un consentement, du moins sur une acceptation tacite.
Bonjour. ils peuvent dire ce qu’ils veulent, employer les mots qui les arrangent… Entre autres, j’aime la citation suivante et que j’applique “Développes au max. ta perception sur le monde extérieur et ton intelligence fera le reste”. A quoi bon remonter dans l’histoire, il est préférable de garder son énergie pour le présent! Pourquoi? Einstein disait entre autres: Si vous voulez changer le monde, il faut changer le cerveau des humains. Pourquoi? Nous avons toujours une partie reptilienne dans nôtre cerveau. Le passé on s’en fout. Pourquoi? Il y aura toujours dans le présent et le futur un DOMINANT qu’il faudra combattre. Depuis que le monde est monde, c’est le rapport de force qui prédomine!!! Point barre!!!