L’attaché de presse du président de la République d’Afrique du Sud, Vincent Magvenia, a vécu sa « minute de gloire » en commentant la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’« arrêter » le président russe Vladimir Poutine. Il a déclaré que le pays était « conscient de ses obligations légales » lors de la visite du dirigeant russe au sommet des BRICS en août prochain. Ainsi, dans les six prochains mois, l’intrigue va continuer et le pays hôte du Sommet devra poursuivre « l’interaction avec les différentes parties intéressées ».
Cet article initialement publié sur svpressa.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Auparavant, nous avons principalement suivi les commentaires sur divers sujets de la représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, et de Karine Jean-Pierre de la Maison-Blanche américaine. Selon Reuters, c’est au tour de l’attaché de presse africain d’être sous les projecteurs, ayant eu l’occasion de déclarer publiquement que son pays est favorable à une résolution pacifique du conflit en Ukraine, tout en déclarant simultanément prendre en considération le mandat d’arrêt émis par la CPI.
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