Désormais officiellement chargé de « représenter » l’indépendantisme (pro-Bruxelles…) des Ecossais, le britannico-pakistanais Humza Yousaf – alors qu’il vient d’être ministre – se plaint de la surreprésentation des Blancs aux postes de responsabilité de son …bantoustan blanc.
Car l’Ecosse reste – horribili dictu – blanche à 96%. Ce que critique Yousaf, c’est donc – en version décodée – une insuffisante sous-représentation desdits Blancs. Or cet appel voilé à un numérus clausus anti-blanc passe crème. Pourquoi ?
La gauche (trotskyste) occidentale, ayant signé un chèque en blanc à toute initiative de diabolisation de l’homme blanc hétérosexuel, n’a évidemment rien à redire à la transformation du débat anglo-écossais en une négociation entre l’indien Sunak et le pakistanais Yousaf.
Même les évidentes analogies entre ce putsch de l’Occident pigmenté et l’antisémitisme européen des années 1930 (les Blancs/Juifs sont trop riches, ils grandissent dans des maisons où on lit trop de livres, ils se favorisent entre eux etc.) ne parviennent plus à lui arracher le petit cri reptilien du geste-réflexe antifa.
Elle ne trouve même pas grand-chose à redire quand des extrémistes – naturellement recrutés parmi les psychopathes de la secte trans –, trouvant ce remplacement palliatif trop lent, se constituent – comme hier à Nashville – en Einsatzgruppen du wokisme, pour accélérer un peu le processus.
L’europhile Yousaf : trop de whites, trop de blancos
Et la droite, me direz-vous ? En Occident, la droite actuelle, c’est soit une gauche un peu trop friquée et paresseuse pour aller en manif et faire sa transition de genre, soit une extrême-droite de hooligans, déclarativement raciste, mais en aucun cas ethno-différencialiste.
Dans son logiciel pourri par les fantaisies futuristo-progressites du socialiste Hitler et de sa bande de comiques troupiers bavarois, cette extrême-droite n’a de sympathie pour les Blancs qu’en vertu du mythe de leur supériorité raciale, c’est-à-dire de leur meilleure efficacité technocratique.
Conséquence : depuis qu’il est établi que Sunak et Yousaf pouvaient procurer à Davos autant de satisfactions vertes et inclusives que Johnson et Sturgeon, l’extrême-droite n’a, en réalité, plus rien à redire – se contentant de petits jappements aigus pour réclamer que la nouvelle direction pigmentée de la Firme ne soit pas trop musulmane et homophobe.
Elle n’a, l’extrême-droite, même plus assez de mains pour applaudir un V. Poutine nous expliquant – devant un parterre bien eurasien – l’obsolescence de l’homme blanc. Reste donc à trouver comment gueuler « Gloire à la Victoire ! » en ourdou.
C’est un peu délirant ce qui est écrit là
Vous pensez réellement des hommes blancs de Davos veulent exterminer les hommes blancs de l’occident car les pigmentés seraient moins homophobes ?
C’est ça le message ou suis je trop bête pour saisir votre ´narratif ?
Ah… j’ai compris que les pigmentés sont désormais certifiés par la bande du Davos, autant sinon mieux que les visages pâles. Arrivé là, l’ancienne hiérarchie entre humains ne vaut plus; l’extrême droite délivre des laissez–passer y compris aux extravances des nouveaux Écossais comme Humza Yousaf.
*extravagances
C’est pourtant simple: aujourd’hui, la Caste est multi-raciale (sans cesser d’être parfaitement occidentale culturellement).
A l’époque où le comte Koudenhove-Kalergi ramenait sa japonaise (mère de l’auteur du fameux plan) à Vienne, ça leur a fait mener une existence de pariah, parce que l’élite devait (au plus fort de la culture des Etats-nations) au moins maintenir les apparences d’une solidarité avec les “gens de quelque-part” (qui travaillaient et mouraient au front pour eux), ces derniers étant généralement racialement homogènes (n’ayant pas trop le temps d’aller draguer sur d’autres continents).
Aujourd’hui, les élites blanches et pigmentées sont enfin réconciliées, mais le bouc-émissaire qui garantit la solidité de cette nouvelle alliance, c’est cette classe moyenne blanche qu’ils ont décidé de sacrifier en commun.
@ModesteS Voilà, parfaitement clair et abyssal à la fois. Nous en sommes là.