Après la réduction des approvisionnements en gaz russe, l’Europe a été frappée par une crise énergétique. Désormais, les Européens craignent que la Fédération de Russie arrête l’approvisionnement en métaux et en combustible nucléaire, ce qui entraînerait un effondrement total du marché et la chute de la production.
Cet article initialement publié sur le site poliexpert.net n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Les analystes de Citigroup – une grande banque européenne – affirment que la Russie n’a pas encore épuisé tous ses leviers « d’influence » sur l’Union européenne. Les pays de l’ « Ancien Monde » n’ont pas imposé de restrictions quant à la fourniture, par la Russie, en métaux non ferreux et en combustible nucléaire. Cependant, selon un article de RIA Nvosti, si Moscou, prend l’initiative de refuser tout approvisionnement à ses « partenaires », à cause de l’évolution de la situation, cela créera une terrible pénurie et une forte hausse des prix des produits.
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Bonsoir,
S il vous plait , relisez vos écrits.
CITIGROUP EST UNE BANQUE US.
Merci
svp : lire l’origine de l’article…
Ce qui n’empêche que l’on peut relire les traductions que l’on publie… ou à tout le moins ajouter un petit [sic].