Dans les prochaines semaines se posera la question délicate des soignants suspendus “reconvertis” depuis leur suspension, c’est-à-dire ceux qui ont rebondi dans une nouvelle vie, parfois dans le déchirement, parfois sans regret. Pire encore, se posera la question délicate de ceux qui ont rebondi après avoir fait un ou deux aller-retour avec l’hôpital, au gré des certificats de rétablissement obtenus de-ci de-là. Le gouvernement aura évidemment la tentation de les passer à la trappe, en ne retenant (comme le proposent certains députés manifestement très éloignés du sujet) que les situations de ceux qui sont sur le carreau depuis septembre 2021. J’ai déjà dit qu’il y aurait une vraie injustice à ne traiter que ceux-là, et à pénaliser ceux qui, parfois dans la souffrance, ont fait l’effort de se reconvertir. En revanche, leur situation sera difficile à évaluer.
Dans l’imaginaire de nombreux députés peu concernés par la résistance à l’ARN Messager, la question des soignants suspendus est assez simple à résoudre : dans la majorité des cas, pensent-ils, les soignants suspendus ont attendu patiemment de réintégrer, ou alors ils ont décidé de se reconvertir et ne sont plus concernés par la question de la réintégration. Jusqu’ici, aucun député n’a proposé un texte réglant la question de l’indemnisation du préjudice subi du fait d’une loi qui a rompu avec la tradition juridique française en matiière de suspension.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.
Il ne faudrait pas non plus oublier les autres corps de métier qui ont été touchés par cette suspension. Et quid des professions libérales? Bref, tout est loin d’être résolu.
Ma fille, soignante suspendue, s’est reconvertie. Mais pour accepter son nouvel emploi, elle a été contrainte de démissionner de son poste de soignante. Nombreux sont ceux qui sont dans cette situation. Comment seront traitées les indemnisations dans ce cas ? Un vrai casse-tête… Nos cabinets de conseils très grassement rémunérés n’auraient-ils pas une petite idée ? Je doute par contre que la solution soit en faveur des “suspendus”.
Des injections qui en plus, cyniquement sont déclarées inefficaces pour protéger des transmissions et contaminations. Nous pensons qu’après avoir fait avaler un anaconda de cette taille , il n’est plus impossible de faire avaler n’importe quoi à la béatitude populaire.
Oui il y en a même qui ont avalé que ces injections contenaient des nanostructures de graphène qui allaient fabriquer (avec leur petites mains) des interfaces 5G dans le cerveau, en vue de recevoir des instructions mentales!!
En attendant la télévision pourvoit à cette fonction.
Les boucles telegram sont visiblement 10x plus efficaces dans ce domaine!
Quid des professions libérales et des salariés du secteur privé ?
Tout à fait. Les serveurs de restaurant ou les empliyers hôteliers par exemple. Tous ceux qui avaient besoin du pass!! Beaucoup ont perdu leurs jobs!! Et dans ces métiers là on n a pas la sécurité des longs congés maladie.
Macron a cette formidable capacité à mettre tout le monde dans la merde et de se laver les mains des répercussions que cela aura sur le futur, suivi en cela par une cour de sinistres, ayant comme fonctions premières, les courbettes, le cirage de pompes et le 49.3.
Il est à gager que si les professionnels de ces corps de métier touchés par l’ignominie de l’interdiction d’exercer ont été mis au ban de leur profession et n’ont pas été réintégrés à l’issue de cette mascarade, cela relève, sans doute, du casse-tête provoqué par ce choix politique, totalement arbitraire et tyrannique, qui n’a pas été réfléchi dans sa globalité.
Il ne suffit pas de dire, un macronien, “je veux que”, tel un gamin capricieux et égocentrique sans, à un moment donné, devoir faire face à la réalité de la chose et sans en subir les conséquences.
Mais non. La Darpa ( je vous laisse “googler” car je présume que vous êtes sur gogol pardon “google”), a déposé des brevets sur ce vaccin par pure misanthropie. Nulle nanotechnologie ici voyons. Dormez tranquille.