Le tremblement de terre en Turquie a permis à Erdogan de relever à nouveau l’agenda de la communauté des États turcs. Outre les liens économiques et politiques, Ankara accorde désormais plus d’attention à la coopération humanitaire.
Cet article publié en russe par ritmeurasia.org n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Les tentatives de la Turquie de former une union des pays turcophones, par analogie avec l’Union européenne, sont encore loin d’être achevées. À bien des égards, cela est une conséquence de la politique trop affirmée des années 90, lorsque les tentatives d’Ankara de remplacer Moscou ont conduit au retrait de l’Ouzbékistan et du Turkménistan du Conseil turcique. Depuis, la politique de Recep Erdogan s’est assouplie, ce qui a permis à Tachkent de revenir dans l’organisation.
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