Le bizutage/débarquement des idiots utiles arrivés à la Macronie via la gauche sociétale se poursuit. C’est le tour d’Isabelle Rome, sobrement traitée de vieux « sac à main » par l’éternelle marcheuse davosienne Schiappa.
Mais puisqu’on vous explique que, désormais, la Macronie, c’est la droite! Après les comoriens symboliquement expulsés par Gérald « l’effort de karcheriser » Darmanin, après les parasites maghrébo-portugais du Reichsminister Le Maire et le sarrasin Sifaoui qui s’imagine – tant ces gens sont paranoïaques! – qu’on voudrait lui faire porter le chapeau, pourtant taillé sur les mesures généreuses de Schiappa, de l’affaire du Fonds Marianne, un nouveau wagon vient d’être affrété pour Isabelle Rome.
Comme cette dernière – sentant peut être le vent tourner en la défaveur des S.A. de la Macronie – avait eu le malheur de risquer des propos mi-figue, mi-raisin sur la nouvelle carrière de sa ministre de collègue dans Playboy, Marlène l’a mise à l’amende façon Crépuscule des Dieux: n’hésitant pas, comme un vulgaire Modeste Schwartz, à faire de la peine à Kevin Bossuet – qui pleure quand on s’en prend « au physique des femmes » –, elle a comparé Rome à « un sac à main de seconde main ».
Sac à main Gate: la Marche sur Rome des faisceaux de la Macronie
Bonne occasion de rappeler la typologie du féminisme post-moderne qu’avait proposée Alain Soral.
A gauche, on a « la flippée », bourgeoise assumant mal sa féminité, avec la haine du mâle et le lesbianisme en guise de ligne de fuite – un sous-type auquel il est difficile de ne pas rattacher Isabelle Rome, ayatollette féministe connue notamment pour imposer quoi qu’il en coûte l’agenda de la secte trans.
E. Borne, à leur propos, parlerait probablement de « débiles de gauche »: des gens somme toute assez sincères dans leur délire, finalement touchants. Un peu comme les S.A. d’Ernst Röhm, eux aussi connus, en leur temps, pour leur sensibilité sociale. Et exterminés en 1934 par la SS.
A droite, par contre, on a le féminisme de la pétasse. Finalement mieux masculinisée dans l’esprit que la flippée, la pétasse assume parfaitement son hétérosexualité, bien décidée à en optimiser le rendement social, c’est-à-dire à se comporter systématiquement comme une femme-objet (en couverture de Playboy), tout en réprimant durement toute tentative – surtout masculine – de faire remarquer qu’elle se comporte en femme-objet. Oui, Marlène, c’est bien de toi qu’il est question.
Merci Modeste. Maintenant que vous parlez des sacs à foutre du gouvernement, je reçois des publicités m’invitant à choper des Milfs.
Voyons! Personne ne touchera à Marlène Schiappa choisie par Schwab comme Young Global Leader. En soubrette d’opérette ou comme auteure d’ouvrages licencieux (sous pseudonyme), tous les rôles lui sont offerts.