ALERTE : Macron tente désespérément d’interdire Internet à ses opposants

C’est ce qui s’appelle avancer masqué. Sous couvert de lutter contre la pédocriminalité et les arnaques en ligne, le gouvernement, en la personne du ministre Barrot, déposé à l’Assemblée Nationale un projet de loi qui permettra de bannir des réseaux sociaux pour une durée allant jusqu’à un an les personnes condamnées « pour des infractions constitutives de cyber-harcèlement, d’atteintes à la dignité des personnes et des mineurs, de provocation ou d’apologie d’actes de terrorisme et pour les délits de presse les plus graves, lorsque ce compte a été utilisé pour commettre ces infractions ». On comprend le vaste champ de bannissement qui s’ouvre désormais pour tous ceux que le gouvernement parviendra à faire condamner pour ces infractions avec la précieuse aide d’un Parquet aux ordres et de quelques juges obéissants. Le Conseil d’Etat n’a rien trouvé à redire à cette disposition, si ce n’est qu’elle ne portera que sur le compte qui a servi à constituer l’infraction.
