Aux anti-avortement qui enjoignent aux femmes – dernièrement, par collage sur Vélibs – de laisser vivre les enfants qu’elles conçoivent, les pro-avortement répondent, dans la logique désormais dominante de la Macronie, qu’ils feront tout pour que le débat n’ait pas lieu.
A titre personnel, je ne suis ni « pour l’avortement », ni « contre » – deux positions qui reviennent chacune à reconnaître à l’Etat un droit de regard sur l’intimité des familles. Si le fœtus est une personne (ce que je pense aussi), on a raison de considérer sa destruction comme un meurtre – mais, pour peu que le père ne s’en mêle pas, c’est un crime sans victime capable de s’en plaindre. Or un système capable d’empêcher de tels crimes sera toujours et inévitablement une tyrannie totalitaire. Tous les systèmes totalitaires ont en commun de vouloir nier le tragique de la condition humaine, tel que les Grecs de l’Antiquité l’avaient compris : ce qui est vertueux du point de vue de la famille peut être criminel du point de vue de l’Etat, et vice-versa.
Pour autant, l’émoi hystérique soulevé par la pose de quelques autocollants sur des vélos en libre accès (« Vélibs ») à Paris pose une vraie question : les pro-avortements étant en principe convaincus de l’innocuité de l’avortement – présenté, dans leur propagande, comme l’équivalent de la suppression d’une verrue –, ils devraient tout au plus jeter un regard apitoyé sur leurs contradicteurs vaincus, ces pauvres bigots affligés d’un « ami imaginaire » dans les cieux.
Big Brother : aimez-le, ou quittez sa Planète !
Caramba, encore raté ! Les adeptes de l’idéologie du mainstream euroslave ne se contentent plus d’exiger aux factieux qu’ils plient leurs actes aux règles de leur système : ils nous somment de penser et de ressentir exactement comme eux.
Non contente d’afficher les bourrelets de la République dans Playboy, Marlène Schiappa exige qu’on la trouve mince. Nous avons accepté que la montée des marches de Cannes devienne un privilège de filles-de, mais ça ne suffit pas : maintenant, il va falloir les trouver belles.
Face au délire paranoïaque de la Caste et de ses prétoriens woke, laisser fonctionner les cliniques d’avortement dans la paix du commerce ne vous mettra plus à l’abri des purges, tant que vous ne réussirez pas à vous réjouir sincèrement de la non-naissance des petits pollueurs blancs.
L’IVG est devenu une manière de régulation des naissances contrairement à l’esprit de la loi Veil, mais la porte humaniste ouverte l’effondrement civilisationel s’engouffre et nous constatons le génocide de la population blanche. VGE aura détruit son peuple, remplacé son peuple avec le regroupement familial, détruit l’école avec le collège unique, aliéné les finances avec le début du déficit budgétaire de l’état, petites décisions grandes conséquences, C’est pour cela que je JE MET EN GARDE le courrier des stratèges à propos du contenu de ses publicités : je vois « Filles Faciles Locales « = vous allez être accusés de proxénétisme !
VGE aura détruit la France, la loi Veil sera à l’origine de la dépopulation du pays, le collège unique a détruit l’école, le regroupement familial remplacé le peuple, l’habitude du déficit budgétaire de l’état initiant la dette qui aliène notre pays à l’étranger.
Sous le communisme dans les pays de l’Europe de l’Est, l’avortement était une contraception. La contraception de l’état, car la pilule abortive, les globules Z, causait trop d’effets secondaires néfastes chez les femmes qui la prenaient. Le stérilet ne marchait pas bien, lui non plus.
Il y beaucoup de choses que les pays occidentaux d’aujourd’hui empruntent au système communiste d’il y a 50 ans, dont le même usage de l’avortement.