Alors que la Turquie et l’Espagne ont tranché leur crise politique par les urnes, Macron s’enlise dans un passage tumultueux. Le traumatisme des retraites est loin d’être “plié”, puisque le président de la Commission des Finances, le LFI Eric Cocquerel, refuse de déclarer irrecevable la proposition de loi abrogeant la réforme Macron. Rien n’exclut une reprise des mouvements sociaux, une sorte de regain contestataire. Surtout, Gérald Darmanin se trouve pris au piège des propositions formulées par les Républicains sur l’immigration. L’affaire risque d’être épineuse pour tout le monde, en débouchant rapidement sur un débat sensible autour de l’engagement européen de la France. Et, à ce jeu-là, rira bien qui rira le dernier. Le pays peut-il encaisser ce nouveau traumatisme ? La question ne semble pas tarauder les Républicains…
La fin de semaine de la Pentecôte a été marquée par deux résultats électoraux surprenants du point de vue de nos médias subventionnés. En Turquie, Reccep Tayyip Erdogan a été réélu président. Le Courrier des Stratèges vous avait annoncé, avant le premier tour, que le président sortant tutoierait la majorité absolue. Et nous vous avions indiqué, vendredi 26 mai qu’il n’y avait plus guère de suspense, puisque le “troisième homme”, Sinan Ogan avait appelé à voter pour Erdogan.
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Je ris et toutes ces magouilles confortent tous les commentaires que j’ai fait précédemment sur les divers éditos sur le sujet et sur Macron. Ou quand des tartuffes, adoubés par le peuple gouvernent.
Oui, adoubés par le peuple, c’est bien de le rappeler.
“”j’en assume personnellement les résultats“, a déclaré Pedro Sanchez.
Voilà qui n’est pas très macronien!”
Si seulement c’était vrai! Quoique cette convocation rapide d’élections, en pleines vacances, capitalisant sur la faiblesse de sa gauche déboussolée, et le “barrage au fascisme” sur sa droite victorieuse (pour autant qu’elle devra s’exercer aux alliances locales avec Vox contre lui), pourrait bien être une stratégie gagnante pour cet animal politique innommable de Sánchez!…
“En même temps”, faut-il se réjouir de sa faiblesse apparente.
Le problème, avec ce genre d’article, c’est qu’on n’en sait pas beaucoup plus après l’avoir lu qu’avant !
Me reste donc à signaler ce pluriel bizarre : “D’autres figurent de la Macronie l’ont écrit…”