Flanqué de quelques divers-droites, le parti-zombie LR dépose une proposition de loi destinée à « sauver nos clochers ». La très laïque République aurait donc « ses » églises ? Non, mais elle a ses perceptions, et tous les prétextes sont bons pour y acheminer les fruits de notre travail.
Le comble, c’est que les attendus du texte détaillent avec un certain réalisme les raisons expliquant que ce patrimoine bâti (des églises, pratiquement toutes catholiques, et notamment rurales) soit aujourd’hui menacé.
Au premier rang de ces dernières : l’exode rural, économiquement inexplicable dans un contexte de famine de main d’œuvre dans le secteur primaire (bûcherons, vignerons…) – mais parfaitement explicable par des raisons culturelles : la métrosexualisation et le féminisme, qui rendent improbable la formation d’un « foyer » (pardon : d’un couple) à plus d’un quart d’heure de vélo de la discothèque diversitaire la plus proche.
Ce qui caractérise la population de la France féminisée, c’est donc très précisément le rejet de la famille, de la transmission : de ce patrimoine sur lequel nous font maintenant pleurer ces chantres parlementaires de l’extorsion fiscale.
Séparons la société de l’Etat-église kleptocrate !
Mais il est assez logique que ces Français, récemment menacés de licenciement et d’enfermement pour les convaincre de se laisser administrer des thérapies censées combattre une pandémie imaginaire (qui, en soi, ne devait donc pas trop les angoisser), soient aujourd’hui menacés de perte d’identité par « leurs » élus, pour les amener à financer sur le pognon de dingue de l’Etat central l’entretien de ce patrimoine que nous avons choisi de laisser à l’abandon.
Après tout, qu’il s’agisse de santé ou d’identité, l’Etat sait mieux que la société (et son expression commerciale : le marché) de quoi nous avons besoin.
Curieusement, ces bonnes recettes de Mamie Etat n’incluent jamais aucune thérapie naturelle peu chère, ni, en l’occurrence, aucun allègement de la redistribution organisant la confiscation des produits du labeur des familles viables au profit de la « famille monoparentale ». A défaut, le jeune agriculteur catholique qui déciderait de s’installer, de façon à doter de revenus locaux la petite commune qui – selon les vœux des laïcards du XIXe siècle ! – est chargée de l’entretien de la fameuse église, devra donc aussi subventionner le dispositif de tyrannie féministe qui contribue à faire de son choix l’équivalent de l’ancien vœu de chasteté.
L’ETAT & ses Administrations sont devenus FOUS !!! Nous sommes dirigés par une bande organisée, qui doit nous voler le maximum, avant que le monde financier auquel ils sont inféodés, ne déclenche l’incendie final, qui comme à Notre Dame, avec la Thermite, réussira à cramer les chênes de la FRANCE !!!
L’État nous prend pour des cloches ! :-))
À quand la révolte fiscale? L’État socialo est il autre chose qu’une pompe à pognon de dingue directement dans les fouilles de la caste de gÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔche?
je ne comprends rien au texte de Modeste. De quel texte de loi proposé s’agit-il? je n’ai rien appris ce coup-ci. Tout ce que j’ai pu lire, c’est que Modeste a vraiment un problème, mais je ne comprend pas lequel. Si quelqu’un peut me faire une explication du texte suivant?
“Curieusement, ces bonnes recettes de Mamie Etat n’incluent jamais aucune thérapie naturelle peu chère, ni, en l’occurrence, aucun allègement de la redistribution organisant la confiscation des produits du labeur des familles viables au profit de la « famille monoparentale ». A défaut, le jeune agriculteur catholique qui déciderait de s’installer, de façon à doter de revenus locaux la petite commune qui – selon les vœux des laïcards du XIXe siècle ! – est chargée de l’entretien de la fameuse église, devra donc aussi subventionner le dispositif de tyrannie féministe qui contribue à faire de son choix l’équivalent de l’ancien vœu de chasteté.” Là, moi j’ai rien capté.