Un ministre de Macron veut bannir Twitter de l’Eurogoulag, par Modeste Schwartz

Conformément au programme davosien de sinisation politique de l’Occident via la société de la surveillance généralisée, le Sinistre délégué au numérique, Jean-Noël Barrot somme Twitter de respecter les nouvelles « règles contre la désinformation », sous peine d’être banni de l’Union européenne. Pourquoi les blancs jouiraient-ils d’une liberté d’expression que l’Asie ignore ?

Comme le démontre amplement l’exemple chinois, en fait, ce n’est pas vraiment de l’accès à Twitter qu’il est question : il sera toujours possible, comme en Chine, via des VPN et autres détours. Et tout un chacun pourra donc continuer à y poster depuis l’Europe, sous pseudo – tant que Big Brother n’aura pas exaucé les vœux du fragile Kevin Bossuet, en rendant impossible tout accès anonyme à Internet.

En revanche, assumer publiquement des propos tenus sur Twitter deviendra, par conséquent, punissable. Tout en visant à la rééducation des mécréants insuffisamment socialistes, le modèle chinois ne se fait pas trop d’illusions sur l’adhésion des cœurs à la foi du Parti : on peut nourrir des doutes – à condition de fermer sa gueule ! Le contraire de cette « démocratie » que l’inquisiteur Jean-Noël Barrot dit vouloir protéger n’est autre que : la liberté d’expression, dont sa Caste a peur.

Deux heures moins le quart avant le Nuremberg du Covidisme ?

On voit donc désormais de mieux en mieux de quoi la fameuse « souveraineté européenne » du Commissaire Breton et du mari de Brigitte sont le nom.

Il faut dire que, avec l’intensification – dans presque toute l’Europe sauf notre France 100% contrôlée – des scandales entourant l’épineuse question des effets dits secondaires des élixirs de Davos, le génie libertaire que les macroniens tentent de forcer à rentrer dans sa bouteille les menace probablement de rétorsions plus graves qu’un simple revers électoral.

Barrot a beau nous jurer ses grands dieux que tout cela ne vise qu’aux plus nobles des desseins, comme « l’interdiction des publicités ciblées sur les mineurs » (comme les descentes de drag-queens dans les écoles, donc ?) – personne n’est dupe.

En dépit de tous les amendements au Code pénal des dernières décennies, la complicité d’empoisonnement en bande organisée (avec ou sans préméditation), ça devrait encore promettre à l’élite Renaissante de longues années de tranquillité, avec 3 repas par jours (comme d’habitude : à nos frais), pour écrire les « règles contre la désinformation » du XXII^e siècle.