C’est en 1821 qu’André Tardieu lança en pleine séance de l’Assemblée à l’intention d’Aristide Briand cette phrase qui allait passer à la postérité, en l’accusant de suivre : « cette méthode qu’un vieil ambassadeur appelait : la politique du chien crevé qui suit le fil de l’eau »
Certes, les temps ont changé, mais l’incapacité des gouvernements semble être une constante dans notre pays.
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1921…
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Oui 1921
Comme le fait utilement Jean Goychman, il faut replacer les événements actuels dans le cadre du projet mondialiste, auquel s’activent ses partisans depuis longtemps. Pendant que l’on soupèse les fautes et les responsabilités des uns et des autres, population issue de l’immigration et forces de l’ordre, d’autres se frottent les mains en voyant se défaire des nations séculaires. On a l’impression qu’il ne faut pas dire vraiment les choses. Ne surtout pas avoir l’air complotiste est devenu un impératif catégorique. Il y a là une sorte de puritanisme de l’esprit. En dépit de cela, la volonté des Français de maîtriser leur destin existe plus qu’on ne le croit. Mais elle sera mise en échec tant qu’on ne désignera pas l’ennemi (pour reprendre la formule de Zemmour qui l’applique à tort aux populations allogènes). L’Open Society et les autres organismes de ce genre ont un projet qu’ils appliquent méthodiquement et patiemment : déplacer les peuples et les mélanger. Comme le personnage allégorique de Fritz Lang (“Doktor Mabuse, der Spieler”), ils “jouent avec les êtres humains et avec leur destinée”. Vu la situation, on ne peut plus faire l’impasse là-dessus. Ne pas se tromper d’ennemi, telle devrait être la devise des peuples qui ne veulent pas mourir.
1821 ?
Les ghettos sont en effet à l’origine des problèmes que vit notre société française mais nous ne sommes pas les seuls. Leur fort développement est principalement lié à la fin des colonies et il s’appuie sur 2 piliers, d’une part la nécessité d’accueillir des ouvriers pour construire les infrastructures et une industrie manufacturière permettant le développement économique du pays tout en évitant qu’ils vivent dans les quartiers des villes habités par les bourgeois et les classés moyennes, et d’autre part le besoins des étrangers de se retrouver entre eux pour vivre comme au pays autant que faire se peut. Tout à été fait pour empêcher l’assimilation et cela consciemment. Et les gouvernements successifs ont voulu faire croire qu’ils luttait contre cela en développant les zones d’éducation prioritaires, les maisons de quartier, les politiques de la ville, etc. en déversant sans cesse de l’argent inutilement. Cela ne pouvait être ignoré puisqu’il est évident que le problème n’est pas celui qui nous est affiché mais bien toujours le même, la cupidité du petit nombre de ceux qui possèdent la majeure partie du patrimoine et de ceux qui les servent politiquement, médiatiquement, etc.