Les propos de Macron sur la « famille monoparentale » font beaucoup de vagues, sans qu’on comprenne vraiment ce que les indigné(e)s cherchent, au passage, à nous dire : que la « famille monoparentale » est une telle panacée qu’elle est l’avenir de toute famille ? Ou, « au contraire », qu’on ne se débarrassera de tels malheurs… qu’en continuant à les subventionner, mais encore plus généreusement ?
L’émoi est tel que Elle – magazine des piquées sûres de leur bon droit – en est venu à remettre implicitement en cause les vertus du Saint Confinement, car, pendant ce véritable Ramadan de la religion covidiste, les « familles monoparentales » auraient démontré leur excellence… dans l’art de faire du gardiennage sur aides sociales – mais cette fois sans l’assistance, en journée, des matons à gosses de l’Education nationale.
Au pays des tous piqués tous protégés, pour que la levée de boucliers soit aussi complète, il faut bien qu’il se soit produit un événement extraordinaire. Et en effet : Macron, comme cela lui arrive une ou deux fois par an, a dit vrai. Effectivement, une divorcée/célibataire et l’enfant qu’elle élève ne constituent pas plus « une famille » qu’une femme en général n’est un « homme à déficience pénienne ».
Le féminisme, opium des peuples mourants
Ce qui existe, ce sont des mères, femmes du peuple qui ont pour la plupart choisi le divorce – à la faveur du véritable dispositif d’incitation au divorce mis en place par le féminisme institutionnel –, et qui ne parviennent plus à ressortir de ce célibat secondaire. En cause : leur irréalisme sexuel, d’ailleurs encouragé par le discours de l’intellectuelle féministe – généralement une grande bourgeoise mariée et/ou partouzeuse –, qui leur démontre que le mec est source de tous leurs maux, et d’ailleurs de tous les maux de l’humanité.
Et les enfants qu’elles élèvent, grandissant donc – à la différence de ceux des veuves souvent dignes d’antan – dans une atmosphère d’échec existentiel, ont en effet tendance à mal tourner. C’est une réalité statistique, comme celle du taux de suicide des transsexuels.
Ensuite, on peut toujours, si on veut, faire confiance aux poètes dadaïstes de la NUPES, qui nous garantissent que, lorsque tous les humains seront trans et toutes les familles « monoparentales », il n’y paraîtra plus.
A défaut d’y croire, on peut aussi faire sécession.
Le féminisme et l’état providence ont détruit la famille base anthropologique de notre civilisation et base de l’équilibre psychologique des individus ( même s’il existe de mauvais parents, pas de parents c’est pire) .Macron sans être orphelin a été éjecté de sa famille, a été élevé par sa grand-mère en admiration devant lui le rendant narcissique, il a été agressé sexuellement par sa prof cela qui l’a rendu pervers et transgressif et il n’a pas fondé de famille. Hollande dirait que n’est pas un président normal.
Les poètes dadaïstes de la NUPES… :-))
Le féminisme et la lutte contre le patriarcat s’arrêtent là où commence le porte monnaie.
Pas d’idéologie sans monetisation.