Vendu aux pigeons, sur fond d’émeutes, moyennant un marketing sécuritaire façon Zemmour, le flicage des RS ne dissuadera pas forcément beaucoup de racailles d’avancer, face à une police désavouée, vers les magasins de godasses. Aux naïfs qui se demanderont : « Mais alors, à quoi va servir le Digital Service Act ? », le think tank écosocialiste Institut Rousseau apporte un début de réponse : « A vous bâillonner, gueux, lorsque vous oserez blasphémer contre le climatisme ! »
Dans les années 1980, soudain, des députés et des sénateurs se sont découvert une vocation d’historien : ils ont passé des lois mémorielles, criminalisant la remise en cause du récit historiographique produit, après 1945, par les vainqueurs de la dernière guerre. Comme ces textes ne semblaient viser que quelques excentriques plus ou moins monomaniaques, consacrant leur existence à démontrer que, dans tel ou tel bâtiment de Pologne orientale, une vitre avait ou n’avait pas existé, nous n’avons, pour la plupart, pas accordé une grande attention à la manœuvre.
En réalité, la France et l’Occident, à peine débarrassés de leur vieille religion catholique (devenue minoritaire en France, en termes de pratique, dans le courant des années 1960), venait de basculer dans une nouvelle religiosité dite antifasciste, et de renier le legs démocratique des libertés civiques.
Pas d’expertise pour les ennemis de l’Expertise !
En mars 2020, les « historiens » des années 1980 sont brusquement devenus épidémiologistes. Ou, plus exactement, épistémologues : les autorités publiques se sont arrogé le droit de sanctifier les méthodes de certains experts (Fauci), et de déclarer hérétiques celles d’autres experts (Raoult).
Dès cette époque, d’ailleurs, Schwab expliquait très clairement à ses ouailles que « le Covid » n’est que le petit frère passager « du Climat », et qu’il convenait donc de fermer les yeux sur ces « confinements » totalement injustifiés d’un point de vue sanitaire, mais qui allaient nous aider à « sauver la planète ».
Et voilà, nous y sommes. Pendant que les infirmières-dansantes des confinements remontent sur scène pour le Climat, grâce au Digital Service Act de l’Eurogoulag, qui entrera en vigueur en août, l’Institut Rousseau – en l’occurrence : une brochette d’experts de la com’, se plaçant (gracieusement ?) au service de l’expertise du Saint GIEC – propose de faire monter le climato-scepticisme dans le même wagon que le révisionnisme et le covido-scepticisme.
Fidèle adepte de l’euro Goulag Macron ne tolère que la parole officielle, seront déclarés hérétiques les covidosceptiques , les climatosceptiques, les Ukrainosceptiques, comme étaient criminalisés les révisionnistes de la révolution culturelle. Voici venir Maocron ☹️
Et pourtant, elle tourne. Galilée a sauvé sa peau : il savait que même les dogmes d’un pape n’allaient pas tenir dans le temps contre la réalité. Patience.
C’est la nouvelle danse à la gloire du soleil dont l’ardeur irradiante se réveille, le wokisme solaire!
Dire que ceux qui prévoyaient, il y a déjà plus d’un an, que le climatisme allait succéder au covidisme, étaient traités de “complotistes”….
C’était pourtant facile à deviner, puisque la brutalité de la narration de peur mise à part, les ficelles politico-médiatiques utilisées avec l’ennemi désigné “Covid” l’avaient déjà été pour la propagande anti-CO2 depuis deux décennies.
Sans oublier la légalisation des mutilations et des pratiques sexuelles sur les enfants pour le plus grand bonheur des actionnaires de big pharma.