Dès le début de la crise covid, la vaccination a été présentée comme l’outil majeur pour contrer la propagation du virus. Les gouvernements et les agences de santé ont martelé l’efficacité des vaccins, insistant sur la réduction des risques de formes graves et la protection qu’ils offraient. L’Agence européenne des médicaments (EMA) vient de publier un point de situation du rapport périodique de sécurité (PSUR) du vaccin Comirnaty (vaccin Pfizer-BioNTech) pour la période allant du 19 décembre 2021 au 18 juin 2022. Le rapport déclare que la « majorité des effets secondaires sont attendus et non-graves ». Le constat est cependant nettement plus inquiétant. Parmi les dizaines de milliers d’effets secondaires, seules les myocardites/péricardites, et l’hypertension artérielle sont confirmés en tant qu’effets secondaires directs des vaccins. Les autres sont en cours de surveillance. Depuis le déploiement des vaccins, des signalements d’effets indésirables se sont multipliés, suscitant des demandes d’indemnisation. Malgré cela, l’EMA semble maintenir sa position, ce qui soulève des interrogations sur son silence face à ces préoccupations grandissantes.
Les effets secondaires causés par le vaccin Pfizer sont aujourd’hui surveillés de près. Les résultats des évaluations des nouvelles données du Comité de pharmacovigilance (PRAC) de l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) mettent en exergue les données de sécurité en lien avec le vaccin Comirnaty. Durant la période allant du 19 décembre 2021 au 18 juin 2022, dans le rapport, les nombreux effets secondaires du vaccin Pfizer ont été soulevés. Si la question est encore taboue en France, elle commence à être posée aux États-Unis et dans certains pays européens tel que l’Allemagne. Ces pays ont mis en place des programmes d’aide pour les victimes des effets secondaires des vaccins et les personnes atteintes de Covid long.
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Certaines études évaluent au total 5% d’effets indésirables post vaccination ARN messager, avec les vaccins traditionnels nous n’étions pas habitués à tant d’effets secondaires. Ces effets indésirables sont 1/ parfois très graves la mort ( les assureurs américains grognent devant l’explosion de cas de morts inexpliqués) 2/ Des effets indésirables graves ( =hospitalisation) myocardites, infarctus du myocarde, thrombose embolie, maladie auto-immune ( SEP) récidive de cancer, 3/ des effets indésirables pas graves mais pénibles ( 4 mois de crises hémorroïdaires accessible au traitement) les effets indésirables en France sont très largement sous déclarés ( 10%). Les médecins ont dit à leur patient que l’infarctus du myocarde survenu une semaine après le vaccin n’était pas en rapport avec le vaccin. Circulez il n’y a rien à voir.
En plus ils pourront se cacher derrière le fait que ce n’est pas le vaccin mais que c’est les effets du virus qu’ils ont dû attraper au même moment ; l’arnM obligeant le corps à fabriquer la protéine spike comment prouver que c’est le corps ou le virus qui a causé tel ou tel effet ? Même si on peut s’appuyer sur les dates d’injection ça va être compliqué… il suffit de voir les procédures judiciaires contre l’oxycontins : le nombre d’années qu’il a fallu pour faire reconnaître les ravages de ce médicament et malgré tout il continue d’être vendu… et pourtant pas de doute possible sur les effets de ce médicament mais dans le cas de l’ARNm le coup de génie c’est que le corps fabrique le mal normalement généré par un virus, comment prouver par la suite de qui a fait quoi ?
Le monde pharmaceutique a compris les règles du monde judiciaire et si tout cela n’est pas réformé en profondeur cela va être de pire en pire dans les années qui viennent
On m a dit que : La spike produite par l injection est différente de celle de la « maladie » ! C est vérifiable par autopsie !
La spike produite par l’arnM (quand ce n’est pas le placebo qui a été injecté !) est une toxine dans l’organisme. Selon les individus, les réactions peuvent être imperceptibles ou virulentes. Il n’est pas normal qu’on promeuve un produit non testé sachant que c’est une roulette russe. Personnellement, j’avais fait mon choix et assumé l’opprobre qui m’est tombé dessus pendant 2 ans…
Par chez moi il est dit que « ON » est un con…
C’est qui ce « ON » ? Des sources pour étayer le propos ?
L’article ne parle pas de sur la mortalité durable en pays très vaccinés et le refus des autorités à partager le statut vaccinal de ces morts (demande faite en France par Chaillot / Tubiana). Refus également de rechercher la cause de cette surmortalité, aucune étude en cours, refus de regarder les autopsies déjà réalisés qui incriminent largement les vaccins. Les données actuaires américaines sont édifiantes aussi, voir dernière vidéo de Dr Campbell. Enfin, Ed Dowd a compilé des données impressionnantes sur l’augmentation des “disability claims” aux US, qui vient s’ajouter à la mortalité. Ce manque de transparence devant de telles observations incrimine nos autorités, elles doivent lever le voile si l’on veut un jour retrouver confiance dans nos systèmes de santé, dans la médecine et nos institutions.
Aux USA des avocats déclarent que le virus et le vaccin sont des armes biologiques dont le développement a été financé par la DARPA, labo de recherche du pentagone, à hauteur de 25 millions de dollars.
Le fait que tous les lots n’aient pas la même dangerosité signe, au mieux une expérimentation sordide sur des milliards de gens, au pire un génocide discret mais efficace.
La caste des élites corrompues par les oligarques de connivence, s’enferre dans sa toute puissance et sa propagande du mensonge. A nier l’évidence et la simple raison logique, elle se décrédibilise aux yeux de tous. Cela ne peut être durable.
Ainsi vous êtes malades quand vous vous faites vacciner, vous payez la taxe d’habitation quand vous n’habitez pas votre bien, tout élu devenu traitre ne peut être destitué selon le droit international, etc. Et cette caste irresponsable prétend en plus donner des leçons de bonne gestion et de pragmatisme, en instituant des tuteurs IA pour les crétins.
Comme l’intelligence artificielle apprend tout énoncé sans en reconnaître ni la vérité, ni l’origine (IA ou pas), ni l’authenticité, nous nous acheminons vers la barbarie où le bon sens humain, la chose du monde la mieux partagée, n’a plus droit de cité.
Une étude du Lancet de 325 autopsies après la vaccination contre Covid a révélé que 74% des décès étaient causés par le vaccin ou y ayant contribué de manière significative – mais l’étude a été supprimée dans les 24 heures.
L’article, une pré-impression qui attendait un examen par les pairs, est rédigé par le cardiologue de premier plan, le Dr Peter McCullough, l’épidémiologiste de Yale, le Dr Harvey Risch et leurs collègues de la Wellness Company et a été publié en ligne mercredi sur le site en pré-impression de la prestigieuse revue médicale.
Cependant, moins de 24 heures plus tard, l’étude a été supprimée et une note est apparue indiquant : “Cette pré-impression a été supprimée par Preprints avec the Lancet car les conclusions de l’étude ne sont pas étayées par la méthodologie de l’étude.”
Le résumé original de l’étude peut être trouvé dans Internet Archive.
https://numidia-liberum.blogspot.com/2023/07/covid-arnaque-les-autopsies-revelent.html
Non seulement ils nient ou minimisent, mais, si ce site de hackers dit vrai (étrange, d’ailleurs, puisque le VAEES n’est pas censé compiler les déclarations des pays autre que les États-Unis), l’UE a demandé d’effacer un demi-million d’enregistrements du VAERS : https://www.howbad.info/deletion.pdf
Que dit la cellule investigation du CdS à ce sujet ?