« Qami » signifie « vent » en arménien : voilà bien la seule chose que Gabriel Attal ne songerait jamais à interdire, étant donné que c’est le brassage de cet élément subtil qui constitue son principal talent social. Ces précisions – et d’autres, relevant de la linguistique historique des langues indo-iraniennes – figurent-elles dans la note de service « envoyée dans la journée aux chefs d’établissement pour clarifier la règle » ? On l’ignore. Ou plutôt : on s’en abaya les kéfiés !
Titulaire du triste privilège d’incarner le moment où le fascisme gris, pour tenter de booster la longévité du régime, commence à officiellement assumer le recours à l’antisémitisme du lâche, Gabriel Attaltürk reste néanmoins un davosien de l’Ouest et un enfant du soft power. Ici, on vous somme de vous empoisonner, mais vous recevez un hamburger gratuit pour chaque injection. Les missiles britanniques Storm Shadow (450kg de charge explosive) portent vers la Crimée un message de tolérance et de démocratie.
Et le baron Attal nous garantit que sa mesure illégale, arbitraire et discriminatoire pénétrera dans le crâne des petits sauvages à civiliser « par le dialogue, par l’échange, par l’écoute et par la pédagogie ».
Les apostats de la Laïcité, bientôt décapités en place publique ?
Cette pédagogie pourrait, par exemple, consister à expliquer aux porteurs de ces tenues (ethniques, et non religieuses) que leur présence en Europe – sur laquelle les autochtones n’ont jamais été consultés – constitue un malentendu regrettable, auquel il serait temps de mettre fin, dans le respect et la politesse. La remigration, c’est comme le divorce : ça n’implique pas la colère, et ça peut se faire pacifiquement.
Cette solution de bon sens se situe hélas aux antipodes de l’idéologie d’Attal & consorts, qui, à vrai dire, réagiraient avec tout autant (voire plus) de haine viscérale à l’apparition dans les salles de classe de costumes bretons ou occitans. Dangereux fanatiques d’une religion dite « laïcité », aux antipodes de tout libéralisme, ces derniers entendent bien généraliser de façon autoritaire un style vestimentaire et culturel « républicain », c’est-à-dire : métrosexuel, mondialement moche et avachi.
Il ne s’agit pas du tout de mettre fin à la coexistence forcée des ethnies, mais bien au contraire d’optimiser l’horizontalisation des tensions sociales censées permettre à la Caste, auto-proclamée arbitre de ces championnats de libanisation, de garder les clés du pseudo-Etat.
“Cette pédagogie pourrait, par exemple, consister à expliquer aux porteurs de ces tenues (ethniques, et non religieuses) que leur présence en Europe – sur laquelle les autochtones n’ont jamais été consultés – constitue un malentendu regrettable, auquel il serait temps de mettre fin, dans le respect et la politesse. La remigration, c’est comme le divorce : ça n’implique pas la colère, et ça peut se faire pacifiquement.”
vers quel pays vont-ils être déportés ?
En effet, comment fait-on pour ceux qui ne voudraient pas “rentrer” au bled, d’autant que beaucoup ont la nationalité française ? De plus, est-ce que leurs pays d’origine voudront d’eux ? Donc à part pour un petit nombre de volontaires, la remigration serait non seulement criminelle mais aussi inapplicable.
et la question de subsaharienne ou subsahariens en boubou dans les rues. A la sortie des écoles.
l’europe est un continent pas un pays peut etre parlez-vous de l’espace schengen ?
Il ne tient donc qu’à nous de promouvoir un style d’uniforme proprement français, qui combine la liberté pour chaque école de choisir ce qui lui semble le plus adapté avec quelques impératifs généraux positifs (sécurité des enfants, prévention de la triche, élégance, simplicité, coût, réparabilité, facilité d’entretien…)
Pourquoi subir sans rien proposer ?
Le costume breton me semble une très bonne idée