Après s’être fait accorder des pleins pouvoirs par sa pseudo-opposition en échange d’un peu de verroterie (référendum sur l’immigration etc.), le bon docteur Macron se transforme soudain en Mr. Séjourné, pour annoncer aux dindons (complaisants) de la farce qu’ils se sont fait posséder : Il y aura autant de référendum que de beurre en branche – et d’abord, prouvez que vous n’êtes pas des agents russes !
Vous pensiez avoir déjà tout vu ?
Alors, regardez Stéphane Séjourné, « patron de Renaissance » (de ce ramassis de godillots que le mari de Brigitte redéfèque chaque matin comme le Dieu de Descartes recréait le monde à chaque seconde), s’éveillant à une vie pseudo-autonome, pour expliquer que les vagues et mesquines promesses de Saint-Denis ne seront… pas tenues !
Un référendum sur l’immigration ? Mais vous n’y pensez pas, ma bonne dame ! Séjourné tient à « éviter toute division supplémentaire de notre société ». Supplémentaire par rapport à quoi ? Probablement par rapport aux divisions que s’emploie, en parallèle, à envenimer son concubin Gabriel Attal, à qui la famille tuyau-de-poêle Borne, dans sa dernière mouture pseudo-gouvernementale, a attribué le portefeuille de l’Education.
Grecs jusqu’au bout : « Jure-moi que tu n’es pas un menteur ! »
Et Séjourné – pour ajouter l’insulte à la blessure – d’ajouter, sans ciller, qu’il songe aussi à réclamer auxdits cocus de la pseudo-opposition des « engagements moraux » contre les « ingérences étrangères ».
Oui oui, vous avez bien entendu. Le Young Leader (promotion 2012) de la Fondation Franco-Américaine Macron va – par la bouche multifonctionnelle d’un certain Séjourné – demander – en-dehors de toute légalité (on prend l’habitude) – à Bardella et au reste des serpillères de Saint-Denis de lui jurer qu’ils ne sont pas au service de « régimes autoritaires ». La collaboration, soit – mais pas pour tout le monde, et pas avec tout le monde !
Ils sont pourtant bel et bien – comme la forfaiture de Saint-Denis nous l’a encore rappelé – au service d’un régime autoritaire, d’un pouvoir personnel pratiquant ségrégation et intimidation à l’encontre de son propre peuple : du régime illibéral (quoique LBGTQ+) d’Emmanuel 1er.
Le texte de ce nouveau serment du jeu des paumes devrait donc bien préciser : « Moi, leader d’un parti de la pseudo-opposition à Vladimir Macron, jure ne partager de petits fours avec aucun représentant de régimes autoritaires et homophobes… ».