Dire que le climat de notre planète se réchauffe uniquement sous l’effet des émissions de dioxyde de carbone dues à l’activité humaine est un dogme qui n’a jamais été scientifiquement démontré. Bien au contraire, les preuves de sa véracité sont très sujettes à caution. Il est souvent fait référence à un « consensus » d’une majorité de gens réputés « scientifiques » qui, s’appuyant sur des « modèles mathématiques » utilisés par le GIEC (qui, tout à fait opportunément, à laissé sa dénomination initiale de « Groupe Intergouvernemental pour l’Etude du Climat » vers « Groupe International d’Experts en Climatologie ») présenté comme l’autorité scientifique universelle en la matière. Ce qui est curieux, c’est que l’ IPCC (nom original du GIEC) ne se préoccupe (c’est dans sa feuille de route) que des effets de l’activité humaine sur le climat. Toutes les autres causes sont éliminées dès le départ.
D’autres beaucoup plus compétents que moi, ont apporté suffisamment d’éléments pour que cette « vérité révélée » soit légitimement remise en question.
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Je partage pleinement votre analyse, la thèse de l’origine anthropique du changement climatique est une vaste fumisterie. L’ingénieur Christian Gerondeau l’a clairement démontré dans ses ouvrages. Que le peuple tombe dans le panneau de cette religion millénariste qui prédit la fin du monde, c’est banal mais que les grandes entreprises notamment automobiles se soumettent à ce délire inepte ou c’est surprenant ???
Les grandes entreprises automobiles sont en train de quitter l’Europe. Les constructeurs allemands ont commencé à le faire depuis longtemps et plus de 50% de leur production a lieu hors l’Europe destinée principalement à des pays qui ne font pas dans la transition énergétique et les délires écolos. Et ce chiffre continue à augmenter.
Les constructeurs français sont en retard mais suivent la même mutation.
Le monde continuera à brûler du pétrole pour se déplacer à pas cher. Et certains pays occidentaux paieront de plus en plus cher pour se déplacer de moins en moins loin. Le bonheur de la décroissance en somme.
Pour comprendre les origines de cette imposture, lire l’excellente enquête d’Emmanuel Grenier: Etude sur la nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs.
On ne soulignera jamais assez – comme pour l’opération Covid-19 – le rôle des médias qui peu à peu, ont éliminé toute voix dissidente. Je me souviens d’un face-à-face entre J. Jouzel et V. Courtillot (en 2008?) censée traiter du fond mais qui contournait déjà beaucoup de questions en empêchant le second de détailler ses arguments. Quand j’ai entendu Jouzel dire que ” le CO2 était un poison” j’ai compris que cet individu n’était pas un (vrai) scientifique. A l’époque, il avait dit à Courtillot qu’il se rangerait à sa position si les températures n’augmentaient pas d’ici 2015. Ce qui s’est produit puisqu’elles ont stagné (des augmentations largement inférieures à la marge d’erreur sont insignifiantes). Mais Jouzel a dû oublier ses propos…
Le deuxième point important est la réunion de Kyoto en 1997, où les chefs d’Etat se sont laissé convaincre par la similitude des courbes de températures et de CO2.
La première dite “en crosse de hockey”, non revue par les pairs, a révélé par la suite une méthodologie biaisée. Elle contredisait d’ailleurs tout ce qu’on savait auparavant des températures du passé.
Pour la seconde, il a suffi de bien placer l’origine et de prendre une échelle ad hoc pour faire apparaître une augmentation “exponentielle”.
Seul le président tchèque a souligné que la similitude de deux courbes ne saurait induire une relation de cause à effet.
Politiciens, médias. Ainsi est illustrée la stratégie mondialiste: subversion de politiciens incultes (parfois corrompus…), propagande sur les populations. En arrière-plan, un faux consensus (*) créé par le GIEC dont les méthodes ont fait fuir des scientifiques révoltés par la façon dont leurs travaux étaient utilisés (Richard Lindzen par exemple)…
(*) les scientifiques qui travaillent pour le GIEC – qui ne sont pas tous des spécialistes du climat – et selon son cahier des charges, représentent moins de 5% des centres de recherche du monde.
Quand on mettez en place un projet de société planétaire, vous pouvez lui associer des camps d’extermination qui adviendront. L’histoire du siècle dernier fourmille d’exemples.
Les ecolos ne veulent pas sauver la planète, ils veulent votre pognon et votre patrimoine. Demandez donc aux fondateurs de Greenpeace ou sont passés les millions qu’ils ont détournés.
Eh oui… le point de non retour a-t-il été franchi ? Certainement oui, puisque le mal-être est mondial et
général.
Tout prend sa place comme dans un casse-tête résolu.
Pour la France, malheureusement, c’est un sujet qui attire de plus en plus les électeurs qui voient dans “l’écologie”, tout sauf des politiques appâtés par l’argent et le pouvoir.
Comme si être vert et gouvernés par des verts apporterait la paix dans le monde. Quelle hérésie !