Il a fallu le terrible attentat d’Arras, commis par un étranger en situation irrégulière et considéré comme dangereux, pour que l’État passe aux aveux sur sa passivité en matière de traitement réservé à ces clandestins repérés comme radicalisés et susceptibles de passer à l’acte. Mais les informations données par Gérald Darmanin sont confondantes : on découvre que 500 irréguliers sont fichés S, officiellement, dont 200 environ sont privés de liberté, et une centaine sont assignés à résidence. Il en reste 200, dont Darmanin annonce que leur situation sera examinée au cas par cas… Visiblement, le ministère de l’Intérieur est très soucieux de respecter des règles de droit qui l’ont beaucoup moins embarrassé lorsqu’il s’est agi de réprimer les manifestations en tous genres. Un deux poids deux mesures qui interroge sur la passivité de l’État régalien en matière d’immigration.
On se souvient tous des violations flagrantes de libertés publiques durant les manifestations : tirs de LBD, parfois à bout portant, pendant les Gilets Jaunes, nasses et interpellations sans motifs durant les manifestations contre les retraites. Et que dire des retraits autoritaires de contenus sur les réseaux sociaux pendant la grande crise du vaccin et du passe sanitaire ?
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On peut comprendre que laisser les délinquants ou criminels en liberté permet de garder la population sous état d’urgence.
Pas si simple… Il faut connaître leur identité réelle, et leur nationalité, souvent fausses. Il faut que le pays d’origine accepte de les reprendre, ce qui nécessite des moyens de pression qu’on refuse de mettre en oeuvre. Pour l’expulsion, il y a des voies de recours à respecter, et avec la magistrature qu’on a, les diverses organisations de défense et les avocats payés grâce à diverses subventions et soucieux de se mettre en avant, ce n’est pas une sinécure! La solution est évidemment de mettre ces illégaux dangereux en prison en attendant… Mais les prisons ne suffisent déjà pas à enfermer les multi-condamnés… Il faut donc prendre les choses logiquement: d’abord appliquer les lois et ne pas les laisser venir, ensuite changer les lois et dénoncer les conventions qui nous paralysent, enfin construire des prisons de manière a appliquer au moins les décisions de justice. Actuellement, il y a des tas de multi-condamnés qui n’exécutent pas leur peine et qui émargent à diverses aides sociales. On est dans un système de fous…
ah la la ! mais quel boulot si l’on veut surveiller tout le monde !!!
Qui a parlé de nos élites super compétentes ,soucieuses du droit et de la justice bien rendue? (sans parler de ce qui est restitué sous forme de bavettes pour bavures )
Je pense que dans un but humanitaire on devrait comme les britanniques expulser les migrants arrivés illégalement , au Rwanda , pays avec lequel notre président a de bonnes relations .
Ou encore les renvoyer par avions au Tchad à Djamena dont plusieurs routes mènent :
• En RCA
• Au Niger
• Au Nigeria
• Au Cameroun
Mais avons-nous encore de bonnes relations là-bas ?
Pour les algériens et maliens , ( Faire une caravane « direct Françafrique » ) et les envoyer à Fort Chegga en Mauritanie où ils pourraient rentrer chez eux sans passeport consulaire .
Une autre solution pour les criminels (En aménageant quelques conteneurs ) serait de les expédier à Magadan si Vladimir est d’accord .
Mais pourrons-nous, nous passer de ces « travailleurs » qui améliorent l’image de la France
pour les J.O 2024 ?
Il me semble que ce matin, sur la radio de Bernard Arnault, il nous était proposé une explication qui pouvait répondre à certaines questions que vous vous posiez, sans toutefois y apporter de solution précise, en l’état actuel de notre droit : https://www.radioclassique.fr/podcasts-et-emissions/l-invite-politique/