Même si la récente – et très intense – reprise du conflit israélo-palestinien réduit à néant une grande partie des efforts diplomatiques de la Chine pour que l’Arabie saoudite reconnaisse l’État d’Israël, les BRICS demeurent à la pointe des émergents et ce regain de tensions au Proche-Orient pourrait même leur rendre un immense service, avec un possible alignement sur l’axe sino-russe de nations arabes aussi diverses que l’Iran, le Liban, la Syrie, mais aussi, pourquoi pas, l’Arabie saoudite, dont plusieurs vont rejoindre les BRICS+ dans moins de trois mois.
Mais cette recomposition du monde qui s’accélère ne doit pas nous faire occulter que le situation économique de la Chine, sans être catastrophique, s’est dégradée, alors que les perspectives, au moins pour les investisseurs, s’améliorent dans d’autres pays asiatiques (de la «Grande Chine») ou latino-américains.
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