Après la visite du président américain Joe Biden en Israël, le discours de Washington à l’égard du gouvernement israélien semble devenir plus dur. En fait, les Américains ne veulent pas d’opérations terrestres dans la bande de Gaza. Mais le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, lui, en a besoin comme de l’air qu’il respire. Sans cette offensive, il perdra le pouvoir, mais avec elle, il en sera certainement de même.
Cet article initialement publié sur le site vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
« Justice doit être rendue. Mais mon avertissement est le suivant : pendant que vous ressentez cette rage, ne la laissez pas vous consumer. Après le 11 septembre, nous étions furieux aux États-Unis. Nous avons demandé justice, mais nous avons commis des erreurs », a déclaré le président américain Joe Biden dans un discours télévisé spécialement destiné au peuple israélien.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.
La grande anomalie dans cette histoire c’est le financement par le Qatar du Hamas qui fait régner la terreur sur les palestiniens qui sont nourris par le Hamas et qui sont sacrifiés pour/par le Hamas manipulé par l’Iran.