Le pape François laissera finalement l’empreinte d’une personnalité hors norme, largement controversée en Europe, mais habile dans l’exercice d’un pouvoir très vertical et très solitaire. Edouard Husson nous explique aujourd’hui comment le pape François a tiré profit de la puissante théologie de la Libération en Amérique du Sud pour asseoir son pouvoir sur l’Eglise romaine.
On retiendra en particulier que le pape François suit les mutations qui affectent la Théologie de la Libération depuis plusieurs années, notamment son évolution vers une doctrine écologique et sociale-démocrate. Dans le même temps, le pape François tend à exercer un pouvoir sans partage sur l’Eglise, avec des méthodes autoritaires dont un évêque texan jugé trop critique vient de faire les frais, et dont Monseigneur Rey, en France, pourrait aussi faire les frais à son tour.
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Encore merci pour cette excellente analyse.
La “théologie” de la libération” est une Théorie gaucheuse, subversive et hérétique, qui fait écho à une société décadente et dégénérée au sein de laquelle le pouvoir temporel, de plus en plus déchéant, n’est plus soumis à l’autorité spirituelle et donc à ses valeurs éternelles… elle illustre parfaitement le processus de décadence sociétale qui ne peut que suivre et amplifier la décadence spirituelle et temporelle, et réciproquement dans un jeu pervers, jusqu’à atteindre la fond de la “Chute”, qui, en ces temps que nous vivons, approche chaque jour un peu plus vite.
” Le meilleur dirigeant politique serait celui qui consulte les sages religieux, et les pires sages religieux sont ceux qui acceptent la visite de dirigeants politiques.”
Qui dans l’Église catholique pourrait croire que le Pape François cherche à confirmer les fidèles et les clercs dans la foi, alors qu’il ne présente pas la foi de l’Église qui le précède et le dépasse, mais utilise la position d’autorité que lui confère le pontificat pour faire de ses positions personnelles l’enseignement de l’Église ? Il critique ce qu’il appelle le cléricalisme et l’abus d’autorité et promeut la “synodalité” mais sa manière de prendre les décisions n’est-elle pas très cléricale, solitaire et autoritaire ?
« En même remps »… serait-ce un trait des mondialistes qui nous abreuvent de belles paroles et nous culpabilisent, tandis qye leurs actes vont à l’opposé?
L’église de Vatican II s’est sécularisée au détriment du spirituel, en rejoignant les factions décisionnaires du prétendu “camp du bien”.
Paradoxalement, sa voix, censée être universelle, au-dessus des contingences du pouvoir en place, est étouffée par le tohu bohu mondialisant qu’elle rejoint.
Pendant que des chrétiens se font massacrer en Méditerranée orientale, Bergoglio préfère parader à Dubaï avec les puissants plutôt que défendre les pauvres.