Nouvel épisode de Chaos Global, le journal hebdomadaire du Courrier des Stratèges. Cette semaine, nous abordons en priorité l’état de sénescence de Joe Biden, qui laisse planer de nombreux doutes sur la capacité des Etats-Unis à assumer leur rang dans le monde. Lors du sommet entre Xi Jin Ping et Biden, le secrétaire d’Etat Anthony Blinken a semblé particulièrement inquiet des gaffes commises par un Président manifestement en état de déliquescence avancée.
Dans ce journal, nous abordons également :
– les négociations de coulisses sur une paix en Palestine
– la rencontre de Saint-Denis organisée par Macron et le projet de loi sur la fin de la vie
– la France risque-t-elle un scénario à l’Argentine et l’élection d’un Milei ?
– l’avertissement de Générali sur l’assurance-vie
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Je trouve qu’il y a énormément de confusion dans l’analyse des conséquences de l’élection du nouveau président argentin. Il promet un massacre à la tronçonneuse sur les dépenses publiques pendant sa campagne et puis finalement une fois élu il nuance pas mal…
Et puis je serais curieux de savoir comment dans la pratique l’Argentin moyen va réussir à se procurer du dollar…
Quant à la bienveillance de l’Allemagne à l’égard de la France alors là les bras m’en tombent..
Je trouve au contraire que la France est particulièrement bienveillante à l’égard de l’Allemagne en refusant de sortir du marché européen de l’électricité ce qui lui conférerait un avantage de compétitivité certain.
Tout à fait d’accord avec le commentaire précèdent. En y regardant de plus près et sans opinion partisane, Milei ressemble à une expérimentation visant potentiellement à s’ètendre à d’autres pays. Pour moi, il ressemble surtout à un malade mental au sens pathologique du terme et il n’est pas certain qu’il arrive au terme de son mandat.
En y réfléchissant la suppression de la Banque centrale Argentine peut conduire de facto à ce que le dollar devienne la monnaie de l’argentine. Pour le plus grand profit des banques américaines et de l’oligarchie financière. Il ne restera plus qu’à appliquer les recettes habituelles du FMI. Comme pour la Grèce et les pays sous développés. Pas sûr que les Argentins s’y retrouvent…