La semaine dernière, le Conseil des Ministres a validé un projet de loi sur les dérives sectaires qui tire toutes les conséquences de l’épisode COVID. Sont classées désormais au chapitre de ces dérives les propositions de thérapie naturelle comme celles que proposait Thierry Casasnovas, mis en garde à vue cet été (peu de temps après l’interview qu’il nous avait donnée, et que nous rappelons ici). Si les rédacteurs des textes se sont bien gardés de faire allusion au refus de l’injection à l’ARN Messager, le texte peut néanmoins permettre leur incrimination à la prochaine pandémie. Décidément, ils ne lâchent rien !
Nous reproduisons ici l’article 4 du projet de loi sur les dérives sectaires qui explique benoîtement qu’est “punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique”.
Cette formulation byzantine sera, lors de la prochaine épidémie transformée en pandémie par l’OMS, parfaitement applicable à tous ceux qui déconseillent de subir une injection expérimentale avec un produit qui ne bénéficie que d’une autorisation provisoire de mise sur le marché. Et tant pis si ceux-là reprennent toutes les notices fournies par les fabricants pour montrer le manque de précaution propre au produit, voire la toxicité du produit, dès lors que le gouvernement aura décidé qu’il faut se faire injecter, toute personne sceptique et qui aura le malheur de l’écrire sur un réseau social sera passible d’un an de prison.
Fait exceptionnel, et illustratif des techniques Mc Kinsey de forgerie de la culpabilité et de la faute, l’étude d’impact de la loi cite nommément un individu comme cible qu’il faut combattre. En l’occurrence, il s’agit de Thierry Casasnovas :
Rappelons que, dans notre souci de défendre les libertés, nous avions interviewé l’impétrant :
Mais Thierry Casasnovas ne sert-il pas de chiffon rouge monté en épingle pour dissimuler les vrais objectifs du projet de loi, qu’on retrouvera dans la même étude d’impact ? Ce passage interroge en tout cas :
Lutter contre tous les hérétiques qui doutent de la nouvelle religion du progrès par la chimie, et enfermer tous ceux qui contestent l’autorité du nouveau clergé. Voilà une loi du lumière en préparation, qui méritera sans doute qu’on livre bataille.
La relation de confiance médecin-malade est fondée sur le secret médical et le consentement au traitement. L’histoire du Covid nous montre que la déontologie médicale a été piétinée, même les vétérinaires demandent leur consentement aux propriétaires des animaux.
Quoi qu’il en soit pour appliquer ces nouvelles menaces aux non vax, troublante serait la nouvelle notice Pfizer qui, tout en gardant le flou habituel permettant la libre interprétation et donc la sanction arbitraire, aurait tendance à viser le pesonnel injecteur, à laisser entendre qu’il endosse désormais toute la responsabilité du produit et de ses effets secondaires sur les patients, les principaux effets connus listés sur cette notice. Ce qui laisse une marge de manoeuvre vague, mais assez contradictoire avec les mesures visant à criminaliser les dénommés “non vax” ou toute personne osant polémiquer… Du moment qu’en haut lieu les doses sont vendues à l’Europe, advienne que pourra sur le terrain ?… : la question taboue entre toues demeure “à quoi servent ces injections au juste ?”. https://youtu.be/s5mVFdZkEA0?si=hTNy_Ck2EHVopdVH
Il l’avait bien dit : “j’ai très envie de les emmerder”…
et il tient parole…
Plus ils agissent ainsi, plus ils s’accusent. Nous en sommes au syndrome du fauve piégé qui pour se sauver n’a d’autre alternative que d’agresser.
Beaucoup d’entre nous savent que l’ivermertine combinée à l’azithromycine soigne réellement.
Ayant eu la Covid à l’étranger, dans un pays où ce traitement est en vente libre, j’ai été remise sur pied en 2 jours 1/2.
Quelle tristesse de constater à quel point l’occident se salit et s’étiole. Il devient putride. L’appauvrissement de sa pensée globale devenue woke est pitoyable.
Nous ne pouvons que saluer le travail exceptionnel du professeur Raoult et le courage de tous ceux qui ont su résister et qui continuent de résister. Tenter de les invisibiliser ne servira à rien, cette stratégie est celle des pleutres et des ignorants.
Ah, ah… mais …
… “la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.”
C’est le cas de la provocation à abandonner l’Hydroxychloroquine ou l’ivermectine, non?…
Encore mieux:
Ailleurs, est puni le fait de “placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables.”
Ceci s’applique très bien à l’obligation vaccinale déguisée telle que pratiquée il y a deux ans…
Reste à trouver des avocats courageux susceptibles de défendre les multiples cas qui ne vont pas manquer de s’annoncer dans les prochains mois , années… Nous vivons un véritable cauchemar depuis 4 ans.
C’est exactement cela, très intéressant
Il semble que le gouvernement veuille réduire les gens à la condition de bestiaux : aurai-je encore le droit de quitter l’hôpital en signant ma pancarte si je refuse le traitement ou la maltraitance proposée par le médecin de service? On a bien vu l’extension abusive des traitements au Rivotril dans les EHPAD au début de la pandémie COVID.
Chacun est responsable pour soi-même. Gare aux escrocs. L’abus de faiblesse a bon dos et profite à l’Etat protecteur. Place aux juges.
Bref, Thierry Casasnovas, pour Mac Kinsey, c’est à la fois un bouc émissaire et un cheval de Troie.
Merci pour cet article!
Une population prise en otage par des lois liberticides votées par ceux qui sont censés défendre les intérêts du peuple. Quel paradoxe. Nous vivons en direct la mort de la démocratie qu’il a fallu des siècles a construire. Jhonore le courage de celles et ceux qui osent dénoncer ces dérives, au risque de perdre leur sécurité et leur titre. Merci à tous les lanceurs d’alerte, à tous ces journalistes indépendants qui gardent la flamme de l’espoir allumée. Ce sont les vrais héros de cette société en déliquescence.
OUI déliquescence, dépravation, soumission…
“Ceux’ dont vous parlez sont des pédo-criminels avérés, qui ont voté les lois dite “d’éducation” sexuelle à l’école pour mieux soumettre les enfants et les river aux plus bas instincts animaux dès 4 ans ! les dépraver, les corrompre dans l’âme pour que les adultes de demain soient les animaux de batterie livrés aux pulsions abjectes de ceux qui légalisent . la dictature par les prétendus “vaccins” permet également de modifier l’ADN, une loi obligeant à s’y soumettre permet de boucler la boucle à tous ceux qui voient clair par ce plan orchestré en silence sous un couvert de “protection” des peuples.
L’OMS avance avec sa loi internationale pour imposer aux états une politique mondiale dans cette direction