Y a-t-il des comportements induits par les milieux sociaux ? Non, disent la bouche en coeur ceux qui prétendent que nous vivons dans une parfaite égalité des chances. Oui, dit l’INSEE qui documente le sujet avec un intéressant portrait social de la France. Il faut lire ce document tout à fait instructif pour comprendre les enjeux de la France contemporaine. D’un côté une jeunesse misérable qui prend la malbouffe de plein fouet. De l’autre, une jeunesse à la recherche de paradis artificiels pour oublier le vide de son existence.
Bien entendu, il y a tout un bla-bla sur l’égalité des chances. La réalité est un peu différente. Dans le portrait social de la France que l’INSEE publie, on découvre que les enfants dont les parents sont inactifs (autant dire marginaux) sont, une fois sur quatre, obèses, alors qu’un enfant de cadre sur 15 seulement est dans ce cas. L’inactivité des parents est-elle la mère de la gourmandise chez les enfants ? Plutôt la mère de la malbouffe et de la compréhension des règles diététiques de base.
Inversement, les enfants de cadres sont plus nombreux à sa saouler et à se droguer que les enfants de pauvres :
9 enfants de cadres picolent, contre 6 enfants de pauvres. En substance, donc, soit tu es pauvre et gros, soit tu es riche et alcoolo. Entre les deux, tu choisis.
On peut même imaginer que l’épisode covidiste a pu accentuer cette situation….
Moralité, il faut augmenter le nombre des malades des deux groupes pour big pharma.
Société décadente “sans Foi ni Loi”. Autrefois et dans les temps plus anciens, les enfants de familles pauvres étaient plutôt maigres corporellement, en tous cas quasiment jamais obèses, et les enfants de familles riches souvent dépravés quand il étaient laissés oisifs au lieu d’être éduqués par l’accompagnement éducatif parental et le travail…autres temps, autres moeurs.
Mais la pauvreté, matérielle ou en humanité, est aussi vieille que le genre humain.
Tout ça, ça fait beaucoup d’alcooliques.
Mais il faut prendre conscience que, sans l’alcoolisme, il y aurait beaucoup moins de mômes.
Donc, statistiquement, ces salauds de pauvres se reproduisant moins vite, les mauvaises actions de la Malbouffe, à terme, vont chuter.