A part quelques irréductibles Américains ou Européens, il est devenu clair que les opinions en Occident se sont renversées et que la victoire de la Russie sur l’Ukraine suscite de moins en moins de doute. Une fin annoncée d’ici six mois maximum … Certes, il est toujours possible que l’OTAN, dans une pulsion suicidaire, détache des régiments dans l’Ouest du pays sous divers prétextes, notamment humanitaires ou engage un blocus naval de Kaliningrad. Mais ce serait un jeu très dangereux, car les Russes ne sont pas des joueurs de poker. Poutine ne bluffe pas et ce d’autant plus que les derniers sondages montrent un réel soutien de son peuple. D’ailleurs, la presse russe, peut-être pour des raisons de propagande en vue des prochaines élections présidentielles, publie de plus en plus de papiers élogieux sur les opérations menées par le Kremlin, en particulier au plan diplomatique. Seuls les médias d’origine communiste maintiennent leurs critiques. Globalement, Poutine semble donc jouer aujourd’hui sur du velours.
Cet article initialement publié sur le site k-politika.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Dans le contexte de la guerre de l’information menée par l’Occident contre la Russie, il est rare de trouver une image objective des événements mondiaux dans les médias occidentaux, qui ont détruit leur réputation en jouant le jeu de la propagande américaine. Le conflit entre l’Occident et la Russie a conduit les médias occidentaux – autrefois respectables – à se contenter de diffuser des mensonges concernant la Russie et dont les sources proviennent des États-Unis et de l’Union européenne. Tout ceci sans oser donner une évaluation véridique des événements, y compris en Ukraine.
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