L’usage acquis depuis plusieurs années veut que la communauté juive s’exprime publiquement en France pour dénoncer l’antisémitisme dont elle est l’objet. Mais les accusations d’antisémitisme ne sont-elles pas le faux nez d’une affirmation suprémaciste qui se traduit aujourd’hui par un embarrassant deux poids deux mesures. Alors que la présence de crèche de Noël dans l’espace public est de plus en plus considérée comme une violation de la laïcité, alors que les processions catholiques comme les prières de rue musulmanes sont interdites, la communauté juive semble disposer d’une totale liberté pour saturer l’espace public avec ses expressions religieuses.
On se souvient que, le soir même où Emmanuel Macron accueillait à l’Elysée la célébration de Hanouka après la remise d’un prix décerné par les rabbins européens, la Préfète du Rhône annonçait que tout participant à une procession mariale dans les rues de Lyon serait présenté à la Justice.
Depuis cette étrange annonce, les manifestations publiques de Hanouka n’ont pas cessé dans nos rues. On signale bien entendu l’allumage d’une imposante menora sous la Tour Eiffel, mais il ne s’agit que de la face émergée de l’iceberg. Partout, dans les rues de Paris, la communauté juive a pu donner libre cours, en toute sécurité, signalons-le, y compris dans des quartiers à forte présence musulmane, à l’expression de sa foi sur la voie publique.
Montée de l’antisémitisme, dites-vous ? ou bien instrumentalisation d’une peur forgée de toute pièce pour justifier une percée de suprémacisme juif ?
bien mettre de l’huile sur le feu !
Il s’agira de trouver le moment venu des justifications à l’état d’urgence, aux couvre-feu et à la mise en place de la surveillance généralisée par reconnaissance faciale.
L’autovictimisation n’est qu’une expression du particularisme juif, masquant de moins en moins un chantage préjudiciable à la paix sociale.
Cet article pose très bien le problème. Réduire au silence les opposants au régime de Netanyahou, ou simplement ceux qui sont attachés à la laïcité peut se terminer mal pour les juifs eux-mêmes.
Absolument l’autovictimisation Juive, Toujour innocente jamais coupable.Nous savons tous que c’est un mensonge qu;il trimbale depuis leur sortie des camps. Qu’il trimbale as libitum, ad nauseam, ad infinitum. 55 millions de civils et militaires sont morts dans la deuxieme guerre mondiale et, la seule chose qui les interesse, c’est leur “holocauste”. Comment le goy a -t-il ose, nous le peuple elu ,nous ???? tuer ?????? Plus psychotique est difficile a trouver. Les Juifs ( les elites en tous cas) on provoque cet “holocauste en allant, aux cotes de l’armee fasciste de Mussolini, tuer un peuple sans defence en Abyssinie. Femmes ,enfants bebes, jeunes ,vieux (tout comme maintenant en Palestine) Le boomerang ayant ete “l’holocauste” le boomerang for those crimes against humanity sera, une fois encore, un nouvel holocauste. Tant pis pour eux.
C’est curieux, ce particulariste toxique de certains à s’entêter à toujours semer le vent…
Bah, comme d’habitude, quelques documentaires ou films sur la Shoah dans les médias nous oublieront tout. À la longue, cela finira par ressembler à de la propagande.
Chut. Déjà avec ces quelques mots je vais être soupçonné de racisme, infiniment plus grave, d’antisémitisme. Parce qu’il y a des degrés dans le racisme…
Qu’advient-il de notre bon sens commun ?
Né le 8 mai 1948 dans l’épicerie bistrot de mes parents assez tôt 8 heures du matin pour apprendre (quelques temps plus tard) que cette date était celle de la commémoration du 8 mai 1945.
Dans ma jeunesse les crèches étaient seulement dans les églises qui y accueillaient chaque personne qui se présentait. Rien dans les mairies.
Aucun médias n’évoquait ce qui se passait dans les autres religions qui pourtant devaient bien elles-aussi célébrer leurs traditions.
On m’expliquait alors que c’était cela la Laïcité pour laquelle nos grands-parents s’étaient battus démocratiquement.
Malheureusement le texte de la Loi de 1905 n’arrive plus depuis 40 ans à se faire respecter.
Alors le vieil homme que je suis devenu se pose la question : les députés et les sénateurs qui ont voté cette Loi ont-ils eu besoin d’une volonté et d’un courage qui n’existerait plus dans la classe politique actuelle ???