Le Forum de Davos, de sinistre réputation désormais, s’est ouvert hier en Suisse pour sa session annuelle de 5 jours. Il devrait notamment recevoir la visite d’Emmanuel Macron (après sa conférence de presse du jour) accompagné de Xavier Bertrand et de Valérie Pécresse. Voilà un casting de rêve qui souligne une fois de plus le décalage entre les paillettes mondialistes et les attentes du pays réel. Mais sommes-nous sûrs que le superbe Forum de Davos ne commence pas à en rabattre, et qu’il n’y flotte pas un parfum de Titanic ?
C’est donc reparti pour un petit tour de Davos, placé cette année sous le signe du “retour à la confiance”, ce qui, en novlangue, n’annonce rien de bon. Nous avons déjà évoqué la semaine dernière l’accent que le Forum Economique Mondial met sur la censure des réseaux sociaux, rebaptisée lutte contre la désinformation. D’autres sujets seront évoqués bien sûr, depuis l’intelligence artificielle et ses dangers jusqu’à la nécessaire aide en Ukraine. Comme le soulignent de nombreux commentateurs, Davos est devenu une nébuleuse où les thèmes ne sont qu’un emballage en papier glacé pour donner l’occasion de se retrouver entre-soi, entre membres d’une caste mondialisée où l’appartenant à une nation est devenue à la fois un handicap, une gêne et un objet de répulsion.
Dans la pratique, quelques dirigeants vont se bousculer au portillon de cet événement luxueux, où le ticket d’entrée est d’au minimum 50.000€. On y retrouvera, entre autres, Emmanuel Macron, Xavier Bertrand et Valérie Pécresse. Et bien d’autres encore : la caste mondialisée aime se retrouver dans ce bout de Suisse pour se sentir entre “élus” de l’ordre mondial. L’intérêt de l’événement est plus de pouvoir die “j’y étais” que d’apprendre la moindre nouveauté dans l’une des tables rondes. Y croiser quelqu’un est la garantie d’intégrer son cercle de prestige.
Mais Davos a-t-il encore véritablement le vent en poupe ?
C’est la question que pose le Financial Times, ce qui est déjà un fameux signe des temps.
Deux problèmes se posent aux davossiens désormais.
Le premier tient au coût de mise en place du Great Reset, que le Courrier a abondamment décrit. Depuis que les anciens Young Global Leaders (Macron, Trudeau, et quelques autres) se donnent le mot pour accélérer la révolution numérique et ses bonnes pratiques (comme la surveillance généralisée des populations), l’Occident est sous tension. La montée du populisme devient difficile à contenir et à neutraliser. Les guerres qui se succèdent compliquent l’exercice de la mondialisation.
Le second tient au proche avenir. Le retour annoncé de Donal Trump à la Maison-Blanche (largement dénigré dans le livre de Klaus Schwab en son temps) n’est pas très bon signe pour le jeu de la mondialisation à outrance.
Fin de règne ? Il est un peu tôt pour le dire, mais Klaus Schwab ne sera pas éternel et, avec lui, pourrait bien disparaître plus encore qu’un monde… une espérance et une vision.
Que votre conclusion devienne réalité… et vite !
Hélas! ce mondialisme n’a que vision irréelle et fausse espérance. Cette caste dopée par les opiacées mérite bien d’embarquer sur le Titanic au prix fort pour trouver sa propre et vraie solution finale.
Cette “pieuvre” a plus d’un tour dans son sac, et ira jusqu’au bout, c’est-à-dire le pire.
Méfiance…
On se demande pourquoi ce forum international ne se réalise pas en vidéo conférence ? cela éviterait les émissions de CO2 qu’ils appellent à réduire pour les simples mortels. La réalité est que les prostituées haut de gamme font un très beau chiffre d’affaires au forum de Davos.
https://www.businessbourse.com/2024/01/17/va-te-faire-foutre-klaus-schwab-et-va-te-faire-foutre-avec-ton-nouvel-ordre-mondial-nous-le-peuple-voulons-rester-libres/ =
https://twitter.com/damonimani/status/1747388354587463766
Les agriculteurs français se trompent de cible en croyant que déverser du purin ou du fumier sur les préfectures ou sous préfectures fera changer quelque chose. Comme les Gilets jaunes se sont trompés en cassant les biens communs et cela les a rendus impopulaire grâce au système médiatique
La France n’est pas comme l’Allemagne, elle a dégringolé depuis longtemps et simplement les français sont apathiques passifs, stupides et endormis, grâce d’abord aux médias tv radios journaux dominants qui les desinforment les manipulent et font une propagande vicieuse pour le profit des pantins qui les gouvernent mis en place par les oligarques Davossiens propriétaires de ces médias.
Les médias français subventionnés ont un pouvoir gigantesque et ont anesthésiés les français. Ils ne subissent, eux et leur propriétaires, aucune conséquence de leurs méfaits mensonges manipulations malversations corruptions désinformation, et prévarications et ils n’en payeront jamais les conséquences car ils continueront comme avant et comme si de rien n’était grâce aux subventions d’Etat et au soutien financier des oligarques pour l’intérêt desquels ils travaillent car pour ces derniers la presse et les médias grand public sont un investissement lobbyiste visant à défendre leurs intérêts à long terme comme la publicité c’est le court terme et l’Europe soumise au US et dollars sont leur jardin et leur fromage. . L’éducation nationale et la drogue de l’assistanat après les médias ont fini le reste du boulot de destruction des cerveaux.
Ce n’est pas un hasard si les putschistes et les révolutionnaired s’emparent immédiatement de la TV et de la radio car le médiatique en Europe est un pouvoir jamais puni de ses méfaits et entre des mains malfaisantes.
C’est pourquoi Je recommande aux agriculteurs aux Gilets jaunes et à tous ceux qui veulent que “ça change” de déverser le purins et le fumier chez TF1 Bouygues, la TV publique, la 6 Arte cnews la 8 de Bollore Canal+ de Bollore sans oublier BFM de l’escroc Drahi, soutien inconditionnel de Macron, idem pour les radios, et qu’ils aillent joyeusement taper à la tractopelle dans leurs beaux immeubles.
Je conseille de balancer des tonnes de purin puis du fumier puis du béton à l’entrée de leur parkings souterrains pour bloquer leur bagnoles qu’ils veulent interdire aux sans dent et ensuite à la tractopelle sur les sièges sociaux vitres high techno et nous verrons ce que ces degenrés ont dans la culotte.
Je n’oublie pas la presse papier de Bernard Arnault de son gendre Niel le Monde le Parisien Libération le Figaro des Dassault le grand lobby militaro industriel français sans oublier le petit de Valeurs Actuelles le Point de Pinault et l’express et Mediapart.
Car tous sont pour l’Europe l’Euro et l’Otan, tous sont inféodés aux US, à son soft power et, finalement à DAVOS et servent les intérêts des 13 familles possédant le fond VANGUARD 7000 milliards de $ (non côté en bourse donc impénétrable + de 2 fois le PIB de la France ) qui contrôlent les 10 000 milliards de BLACKROCK (1/3 du PIB des US) puisqu’ils en possèdent au moins 10%.
Pour les paysans il y a aussi la presse régionale qui contribue largement à leur misère comme les autres. Sud ouest de la famille Lemoine qui s’est acheté un beau château à Casteljaloux grâce à nos subventions. Toute la PQR est aussi puante que la presse nationale.
L’idée c’est
1 qu’ils soient bien obligés de montrer et de parler de ce qui leur arrive et qu’ils tiennent leur habituel couplet stupide sur la soi disant liberté de la presse et la noblesse du métier de journaliste qu’ils trahissent quotidiennement
2 de les obliger à dire et reconnaître la haine dont ils sont l’objet et par conséquent à changer leur discours
3 obtenir vraiment la popularité et l’adhésion des français
4 si c’est insuffisant ou si un discours malhonnête de leur part ressort quand même il sera toujours possible de s’en prendre aux relais fm ou tv.
En conclusion je pense que s’en prendre à l’Etat ne sert à rien et c’est même contre productif, ilfaut s’en prendre aux oligarques et à L’UE leur jardin. Tous les moyens légaux et institutionnels n’y arriveront jamais. Une révolution est souhaitable mais sans la cgt et sans drapeaux rouge mais bleu blanc rouge.
Pouvez passer ce message à toute les organisations coordinations Gilets jaunes et agricoles non fnsea ??? C’est urgent…
Retour à la confiance : censure, crédit social, pénuries chroniques, camps de concentration.
Même si Klaus Schwab n’était pas là l’agenda se poursuivrait.
Il y a 40 personnes dans le premier cercle qui pousse le Great Reset.
C’est soit ça, soit leur fin. Donc ils ne s’arrêteront pas.